En Quoi Meursault Est Il Un étranger

ici Attention : le devoir sur Erasme a été déplacé à cause d’une convocation à un stage. Lundi 1er décembre (1S2) et mardi 2 décembre (1S4) Rapporter le texte de Camus Répondre à la question posée. Texte 1. La porte s'ouvrit. Un groupe étrange et violent apparut sur le seuil. Trois hommes en tenaient un quatrième au collet. Les trois hommes étaient des gendarmes; l'autre était Jean Valjean. Un brigadier de gendarmerie, qui semblait conduire le groupe, était près de la porte. Il entra et

Un anti-incipit ? 6. L’écriture de cet incipit semble paradoxale. Nous avons déjà montré que le personnage était décrit par la négative. Cette écriture négative peut aussi signifier qu’il n’y a pas grand-chose à raconter, ce qui est assez étrange de la part d’un narrateur. En effet, le but premier de l’incipit est d’éveiller la curiosité du lecteur. Rien de tel ici : l’intrigue ne démarre pas, et on a l’impression que le roman va être une sorte de longue prétérition, avec un narrateur

corps s'offrent sous des aspects voilés : pénombre, fumée, halo de lumière brumeuse, rideau aquatique et vapeur des douches. Malgré les apparences, on est loin des problèmes de censure, car il y a dans cette forme de dissimulation une «[...] force étrange qui contraint l'esprit à se tourner vers l'inaccessible», écrit Jean Starobinski (p. 9) à propos du portrait de Sabina Poppea souriant sous la gaze dont le peintre a recouvert son corps; «[...] ses amants ne meurent pas pour elle, ajoute-til, ils

reflète dans cette pièce. On y respire mal, c'est un fait. Mais nous avions tous la respiration courte, en ce temps-là. Il n'empêche que la noirceur de la pièce me gêne autant qu'elle a gêné le public. » [4] Tiré d’un fait divers sordide dont Meursault trouve le compte rendu dans une coupure de presse cachée sous sa paillasse de prison. La pièce est l’histoire même de ce que relate le journal, sauf que Jan n’a pas d’enfant, et qu’il n’est pas tué à coups de marteau (marteau - Martha ?), mais jeté

la suite. La suite, c'est le retour inconscient dans la chaîne, ou c'est l'éveil définitif » [14]. 2. Description du sentiment de l'absurdité Retour à la table des matières La conscience vient d'être éveillée. Elle est envahie par un étrange malaise qui ne peut d'abord qu'être décrit [15] : il appartient à l'ordre du sentiment plus qu'à celui de la raison. Camus parle d'un sentiment irrationnel ; irrationnel non pas au sens où il serait contraire à la raison (celle-ci ne fera que le confirmer

qui travaille douze heures par jour sans savoir pour quoi il travaille. » Il fallait que ce travail prît un sens, devînt une patrie. Les questions individuelles ne se posaient pour Kyo que dans sa vie privée. « Et pourtant, si Kyo entrait et s’il me disait, comme Tchen tout à l’heure : « C’est moi qui ai tué Tang-Yen-Ta2 », s’il le disait je penserais « je le savais ». Tout ce qu’il y a de possible en lui résonne en moi avec tant de force que, quoi qu’il me dise, je penserais « je le savais… ». Il regarda

provoque la suite. La suite, c'est le retour inconscient dans la chaîne, ou c'est l'éveil définitif » 14 . 2. Description du sentiment de l'absurdité Retour à la table des matières La conscience vient d'être éveillée. Elle est envahie par un étrange malaise qui ne peut d'abord qu'être décrit 15 : il appartient à l'ordre du sentiment plus qu'à celui de la raison. Camus parle d'un sentiment irrationnel ; irrationnel non pas au sens où il serait contraire à la raison (celle-ci ne fera que le confirmer

Mourot Pauline 2ème année de master arts du spectacle conception et gestion de projets artistiques et culturels Université de Strasbourg SUJET : A TRAVERS LEUR THEATRE EN QUOI JEAN PAUL SARTRE ET ALBERT CAMUS SONT DES PILIERS DE L’ENGAGEMENT INTELLECTUEL 1 SOMMAIRE INTRODUCTION p.4 PREMIERE PARTIE : L’Engagement intellectuel et les figures de Sartre et Camus au lendemain de la seconde guerre mondiale. p.8 1. Définition de l’engagement intellectuel p.8 2. Camus et

le héros, en démystifiant ce dernier. Les héros ne sont ni plus ni moins que des hommes, et vivent dans un monde aussi sinistre que le nôtre. Cette citation semble remettre en question le statut du héros. Il serait dès lors intéressant d’étudier en quoi le héros a-t-il perdu de sa valeur au fil des siècles. Afin de répondre à cette question, nous allons tout d’abord évoquer l’évolution du héros à travers le temps, pour ensuite développer sur le héros du roman, afin de conclure sur le statut actuel

annule, exclut hélas ! celle de « révélateur ». Et comme il ne lui est pas loisible de lire d’un œil objectif sa création, il a besoin d’un intermédiaire, d’un autre qui se charge de l’acte de lire ce qu’il a écrit, puisque «l'objet littéraire est une étrange toupie, qui n'existe qu'en mouvement. Pour la faire surgir, il faut un acte concret qui s'appelle la lecture, et elle ne dure qu'autant que cette lecture peut durer. Hors de là, il n'y a que des tracés noirs sur le papier.» (p.48) Par conséquent la