En Quoi Mes Opinions Sont Elles Miennes

comme positive (créatrice, inventivité) et négative (fuite de la réalité). L’imagination est immédiatement impliquée dans une évaluation. Par exemple, si on prend la mémoire, l’intelligence, la raison, l’observation (facultés de l’esprit humain), elles ne le sont pas immédiatement. Il y a un caractère descriptif et axiologiquement neutre. L’imagination au contraire est tout de suite appréciée ou dépréciée. Comment se fait-il que l’imagination soit, parmi tous les traits de l’être humain, l’enjeu

citoyens ! Ils ne sont pas puissants du tout. — Comment le tyran qui peut tuer, exiler, dépouiller et faire tout ce qu’il veut n’est pas puissant ? — Non, car il ne fait pas ce qu’il veut, par la raison qu’il ne veut pas ce qu’il fait, mais ce en vue de quoi il fait ce qu’il fait, c’est-à-dire en vue de son avantage ou de son bien. Or, en tuant ou bannissant, il fait tout ce qu’il y a de plus contraire à son bien, puisqu’il fait une injustice. Il n’est donc ni puissant, ni heureux. — Cependant, réplique

comte. - 4 -ACTE I SCÈNE PREMIÈRE. Hortense, Marton. MARTON. Eh bien, Madame, quand sortirez-vous de la rêverie où vous êtes ? Vous m'avez appelé, me voilà, et vous ne me dites mot. HORTENSE. J'ai l'esprit inquiet. MARTON. De quoi s'agit-il donc ? HORTENSE. N'ai-je pas de quoi rêver ? On va me marier, Marton. MARTON. Eh vraiment, je le sais bien, on n'attend plus que votre oncle pour terminer ce mariage ; d'ailleurs, Rosimond, votre futur, n'est arrivé que d'hier, et il faut vous donner patience. HORTENSE

caractère hasardeux d’une telle estimation, nous y recourons volontiers, parce qu’elle est rapide et nous dispense d’une évaluation approfondie. Pourquoi on ne s’aime pas Amour, rejet, acceptation… Les relations avec notre corps sont fluctuantes. De quoi sont faits les liens entre le moi et l’enveloppe charnelle ? Approche d’une relation intime, souvent douloureuse, toujours complexe. Chaque matin, le miroir est notre interlocuteur. Après une mauvaise nuit, il est impitoyable : « Ces cernes, cette

précieuses conservées sous 1792, en Diderot. en Une français texte soins traduction RosKNKRANz, jour. tard, l'Institut posthume ouvrage au le premiers Exemple mises la copies être traducteur, plus ans Cette doivent au de 1. Elles confier pas de Thalie^. und les de dans publié sous traducteur Le imprimée non vingtaine dépôt. en parut, pièces des avait en journal Jacob : Mylius. une littéraire Il connu Pommeraye, le titre ce par est La pour

de Montaigne dans sa tour. Montaigne a été élevé dans la religion catholique et en respectera rigoureusement toutes les pratiques jusqu’à sa mort. Ses contemporains n’ont pas douté de la sincérité de son comportement. Ses convictions intimes sont-elles en harmonie avec cette dévotion extérieure ou se contente-t-il d’accepter la religion en usage dans son pays (« Nous sommes chrétiens au même titre que nous sommes ou périgourdins ou allemands15. », « Ce n’est pas par la réflexion ou par notre intelligence

comme une marque de supériorité. Celui qui dans son corps ou dans son esprit, s’écarte d’une norme statistique (le fou par exemple) a très souvent été considéré comme étant animé d’une présence divine. Si les hommes naissent avec des différences, elles ne sont jamais par elle-même marques de force ou de faiblesse. Naître femme, dans bien des sociétés, est une marque de faiblesse, mais dans une société matriarcale c’est un avantage. L’idée même de force ou de faiblesse est culturellement déterminée

interlocuteur. « Paroles en crise, crise de la parole dans le théâtre moderne » Texte 1 Claire et Solange, deux sœurs, sont les bonnes de Madame. En l'absence de leur maîtresse, et jusqu'à la sonnerie du réveil qui annoncera son proche retour, elles se livrent à un étrange jeu de rôles : Claire joue Madame et Solange joue Claire. Le passage proposé se situe un peu après le début de la pièce et à ce moment de l'action, le spectateur — à la différence du lecteur — ne sait pas avec certitude qui

c’est être libre de faire ce que l’on veut Libre dans ses choix, libre dans ses actes, libre dans ses pensées A quoi s’oppose la liberté ? aux contraintes : une contrainte c’est ce qui empêche le pouvoir de correspondre avec mon vouloir (je peux pas faire ce que je veux) Contraintes extérieures = les lois (pour respecter la liberté d’autrui, je suis obligé de limiter la mienne), les limites physiques (je ne suis pas libre de voler) Contraintes intérieures = phobies (quand on a la phobie

hausse 580 À connaître un pourpoint d’avec un haut de chausse. Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien Leurs ménages étaient tout leur docte entretien ; Et leurs livres, un dé, un fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles ; Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœurs Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n’est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu’en aucun lieu du monde ; Les secrets les plus hauts s’y laissent