En Quoi Les Mécanismes De Marché Ont Ils Un Effet Régulateur Sur La Demande De Pétrole

subprimes Marie Musard-Gies http://www.mgies.com Séminaire Master 2 MBFI, Jeudi 6 Mars 2008 Université de Nice Sophia Antipolis Introduction (1/4)  Turbulences financières depuis juillet 2007   Effondrement du marché immobilier américain Difficultés du marché des crédits subprime  Contagion rapide à l’ensemble des places financières du monde   Globalisation financière Innovations financières, titrisation, montages financiers complexes  Intervention des autorités

La répartition des richesses au niveau mondial............................................................ 1. Les grandes zones de l’économie mondiale .......................................................................................... 2. Les effets ambigus de la mondialisation ................................................................................................ Dossier documentaire : La participation des pays en développement à la gouvernance mondiale ............................

Qu’est-ce qu’une économie de marché ? | -------------------------------------------------   ------------------------------------------------- Remarques liminaires------------------------------------------------- Voilà un sujet qui ne semble pas, au premier abord, poser de difficultés particulières. Pourtant la consultation d’un certain nombre de dictionnaires économiques usuels, montre que le concept d’économie de marché n’y est pas défini. Preuve sans doute qu’il s’agit d’un objet qui n’est

Si la répartition des ressources hydriques exploitables est extrêmement inégale tant en quantité qu’en qualité, il n’en reste pas moins que la disponibilité varie d’une région à une autre, rendant hasardeuse toute tentative de généralisation. En effet, si certains aires géographiques connaissent un manque chronique d’eau , d’autres disposent des ressources nécessaires ; il y en a même qui souffrent d’une surabondance en eau continue ou saisonnière, rendant la vie aussi difficile que dans les déserts

moyens employés et vérifier les résultats obtenus. Les décisions sont prises dans le cadre d’objectifs, de stratégies et de contraintes. Par ailleurs, des facteurs de contingence (caractéristiques de l’organisation, technologie utilisée, évolutions du marché, contraintes légales, dynamique des relations sociales) influencent sensiblement la nature des choix exercés. Il peut être utile de faire remarquer aux élèves que les individus qui prennent des décisions dans les organisations ne sont pas tous des

cultiver pour se nourrir, 2 donc à se sédentariser ? Ou bien s’agit-il d’un choix raisonné, d’un projet social pour cet homme du néolithique qui, affranchi de la terreur divine, aborde désormais la nature non 3 plus en victime mais en producteur ? Quoi qu’il en soit, la sédentarité change tout : elle amorce une forte expansion démographique, la population mondiale passant de 10 millions au néolithique à 200 millions au début de l’ère chrétienne. Elle engendre la division du travail, elle-même source

bénéfices du crédit. Les bonus se généralisent en même temps que l’activité de salle de marché. L’internationalisation s’accélère largement freinée par des considérations nationalistes. La banque en Europe reste largement balkanisée. 5) Le XXI siècle et sa crise importante : La crise des subprimes de 2007₋ 2009 est la crise financière majeure qui a débuté par la glaciation du marché des CDO puis par le blocage du marché interbancaire remet largement en cause une économie devenue largement financière et

financière………………………………8 I- Crise des subprimes aux Etats-Unis………………………………………………………….10 1- Responsabilité du gouvernement américain…………………………………..9 2- Le rôle de la FED dans le déclenchement de la crise…………………….10 3- Evolution du marché des subprimes……………………………………………….12 II- La propagation de la crise : la contagion mondiale………………………………….14 1- Les moyens de propagation de la crise financière…………………………14 2- Responsabilité des agences de notation…………………………………………16

autorégulation du marché (l’Etat n’a pas à intervenir). David Ricardo : Les avantages comparatifs relatifs. Contrairement à la théorie mercantiliste qui prévalait jusqu’au 17° siècle, Ricardo, reprend la théorie d’A. Smith sur les avantages absolus et la généralise en concluant que tout pays à intérêt à se tourner vers le commerce international. C’est le principal père fondateur du libre-échange international. Jean-Baptiste Say : sa loi des débouchés stipule que l’offre créée sa propre demande. Donc l’offre

morales qui jouissent d’une autonomie de décision, produit des biens et des services marchands. Rôle économique de l’entreprise : a pour but la maximisation de la richesse obtenue par une combinaison de facteurs de production garantie par la pression du marché et de la concurrence. Selon les gestionnaires, la rationalité supposée de l’homo-oeconomicus est démentie et l’entreprise est considérée comme une convention d’efforts. LACAN : « je suis (être) donc je suis (suivre) » On transforme l’homo-oeuconomicus