En Quoi Le Théatre Reflete T Il La Realité

figé, qu’incarnent à ses yeux des peintres comme Cabanel ou Gérôme. En face de ces « douceurs de confiseurs artistiques à la mode », les toiles de la nouvelle école débordent de vie et de vérité. Car une œuvre ne doit être « qu’une traduction de la réalité, particulière à un tempérament, belle d’un intérêt humain », et « chaque grand artiste est venu donner une traduction nouvelle et personnelle de la nature » (« Mon Salon », 1866). C’est Manet, dont les toiles suscitent de violents sarcasmes, que Zola

> L’Illusion comique de Pierre Corneille Frédéric Fisbach mise en scène du 23 septembre au 23 octobre 2004 Odéon-Théâtre de l’Europe aux Ateliers Berthier - Petite Salle Photo . Fred Naucziciel/see-you-tomorrow > Service des relations avec le public scolaires et universitaires, associations d’étudiants réservation : tél 01 44 85 40 39 - scolaires@theatre-odeon.fr actions pédagogiques : tél : 01 44 85 40 33 dossier également disponible sur http://www.theatre-odeon.fr > Prix

de l’auteur Nicolas Ancion né à Liège le 23 mais 1971, de parents marionnettistes, a étudié la philosophie romane à l’Université de Liège. Il ressentit très tôt le besoin de raconter des histoires. A 8ans, il écrivit déjà sa première pièce de théâtre, puis un roman, inédit ce jour, et à 17 ans, une nouvelle pièce, « Le Wagon », couronnée par le Prix Liège Jeunes Auteurs. Son premier roman qu’il a publié à l’âge de 24 ans, « Ciel bleu trop bleu », où l’on peut y lire sa poésie absurde et cruelle

ne montrait d’intérêt que pour les choses de l’esprit. À l’âge de dix-sept ans, entrant à ‘’Trinity College’’, il choisit le français et l’italien comme langues étrangères, se destinant à une carrière de professeur de langues romanes. Il goûta le théâtre vibrant qui fleurissait dans le Dublin d’après l’indépendance, préférant les reprises des pièces de J.M. Synge. Surtout, il put voir des films américains et découvrir les comédies muettes de Buster Keaton et de Charlie Chaplin. En 1926, après avoir

Lettres – Théâtre Pourquoi peut-on lier le genre théâtral avec la politique ? INTRODUCTION : Qu’est ce que le genre théâtral ? Genre littéraire qui a été théorisée très vite (Platon et Aristote). Les deux rappellent que s’il y a dans l’art littéraire manière de représentation de l’homme il y a soit la représentation directe (mimésis : l’imitation des hommes en action et en situation), soit l’imitation indirecte (diégésis : par le récit

les paroles du père avec émotion. La scène se déroule dans un milieu simple, sans luxe, sans pauvreté. Leur richesse est celle du travail et du cœur. Diderot est séduit par la peinture de Greuze qui correspond particulièrement à sa vision du théâtre. Loin des passions tragiques des héros anciens, la peinture comme l’art dramatique doit exprimer l’acte vertueux d’hommes simples. L’annonce du réalisme : En peignant des scènes de vie quotidiennes, Greuze tente d’élever ce genre réputé mineur au

strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Les limites chronologiques du Romantisme qui sont fixées sont aléatoires car il a continué

capable de s'étudier de façon objective et ainsi de ne pas comprendre les contradictions qui les constituent. Selon I. Grelle, dans l’autofiction , il imagine que depuis Freud, le « moi » s’échappe à lui-même. La mémoire emmêle réalité et fiction, le « je » est déconstruit. Il ajoute que selon lui, l’autofiction est conçu comme l’autobiographie revisitée par la psychanalyse, l’image de soi est une construction plus ou moins fictive dont il faut essayer de comprendre les raisons

universelles elles ont des extensions plus ou moins grandes : ex = le mot “corps” a une extension plus large que le mot “homme” et l’englobe (tout ce qui est homme est corps et tout ce qui est corps n’est pas h) 2) Platon, La République • La réalité sensible n’est pas la seule ni le vraie = le monde des apparences au-delà duquel il y a le “monde des essences ”ou des “formes intelligibles”. • Monde sensible : ns voyons arbre dont le point commun est d’ê arbre mais ils sont tous singuliers

( 11 + 8 = 19 heures ) OBJECTIF GÉNÉRAL : Lire une pièce de théâtre. OBJECTIFS SECONDAIRES : • Aborder l’argumentation (3) à travers le dialogue théâtral. • Explorer les différentes interprétations d’une scène. LECTURE : - DE TEXTE : Une pièce de Molière : L’Avare - D’IMAGES MOBILES : Deux mises en scène du monologue d’Harpagon : • Réalisation (téléfilm) de Christian de Chalonge , avec Michel Serrault dans le rôle titre • Réalisation (film) de Jean Girault et de Louis de Funès, avec