En Quoi Le Personnage De Roman Est Il Révélateur Du Regard Que Porte Le Créateur Sur Le Monde

– L’espace démocratique du roman Jean DELABROY – Cœcum – Préalables à la philosophie de l’histoire dans Les Misérables Claude HABIB – « Autant en emporte le ventre ! » Yves GOHIN – Une histoire qui date Josette ACHER – L’anankè des lois Nicole SAVY – Cosette : un personnage qui n’existe pas Jacques SEEBACHER – Le tombeau de Gavroche ou Magnitudo parvuli France VERNIER – Les Misérables : un texte intraitable Anne UBERSFELD – Les Misérables, théâtre – roman Guy ROSA – Réalisme et irréalisme

ensemble de relations entre différents personnages, et met en évidence entre eux l'existence d'une crise ou d'un problème. « Crise » et « problème » sont à prendre au sens large, et dans cette définition nous semble rentrer Le Soulier de Satin malgré sa complexité et sa non-conformité à une idée « simple » de l'histoire. En résumé, l' « histoire » est la mise en forme d'un certain nombre d'événements et d'agissements, dans et par les discours des personnages. Si l'on excepte le terme, assez problématique

1re partie : le vers o 2e partie : les groupements de vers et les formes fixes o 3e partie : la prosodie • Étudier un texte poétique • Étudier un texte théâtral • Étudier un texte romanesque • L’analyse d’un personnage • L’analyse d’un thème • Le point de vue du narrateur • Comprendre la focalisation (avec un exemple) • La fiche de lecture • Quelques notions pour le commentaire stylistique Autres fiches de méthode • L’argumentation

met en valeur la part d’imagination et de construction que comporte toute représentation du paysage ; selon Michel Collot, c’est sur cette évolution que s’appuie la critique thématique lorsqu’elle définit le paysage littéraire comme cette image du monde, inséparable d’une image de soi, qu’un écrivain compose et impose à partir de traits dispersés mais récurrents dans son œuvre.[…]. Les questions que pose la représentation du paysage en littérature se retrouvent en d’autres termes dans le domaine des

étude ne fera pas allusion aux passages supprimés : il s’agit bien de lire le texte tel qu’il est donné et de ne pas imposer, au moins dans un premier temps, une connaissance de l’œuvre intégrale. On sait d’ailleurs que l’auteur publiait d’abord son roman en feuilleton, comme Alexandre Dumas et tous les romanciers de l’époque, et qu’il était payé à la ligne ! Cela explique, en partie, la longueur de certains passages. De plus, c’est bien grâce aux versions abrégées que nous avons eu très tôt accès aux

périodes de découragement. Dès l'âge de dix ans, il commença à écrire, remplissant des cahiers d'écolier de quantités de poèmes, dont beaucoup furent déchirés, refaisant les livres de l'égyptologue Maspero qu'il trouvait insuffisants, rédigeant des romans et des pièces de théâtre, traduisant Virgile, s’intéressant aux langues dérivées du zend et du sanscrit. De plus, il fréquenta assidûment les cinémas avec son père, se passionnant pour ‘’Fantômas’’ ou ‘’Les vampires’’ de Louis Feuillade. Il s’intéressa

L’humour Juif [pic] Un jour pas comme un autre au paradis. Le Créateur est de mauvaise humeur. Il y a l’autre fou qui est encore venu lui parler d’amour sur terre en l’appelant « Pôpa », et puis il a reçu un lot massif d’Américains aujourd’hui. Une histoire de tours, semble-t-il. Bref, il en a assez de tout ça, il est lassé de voir ce que l’Homme (avec une grande « hache », parce que sinon, il faudrait aussi nommer la femme…) de voir donc ce que l’Homme a fait de la Terre. Lui qui s’est

Beijing, pour avoir accepté d’être membres de mon jury et pour l’intérêt qu’elles ont porté à mon travail. Mes remerciements vont également à Madame Inès OSEKI-DÉPRÉ, Professeur de Littérature française à l’Université de Provence et à Monsieur Henri SCEPI, Professeur de Littérature française à l’Université Paris 4-Sorbonne, pour avoir accepté d’être les rapporteurs de cette thèse et pour l’intérêt qu’ils ont porté à mon travail. Mes remerciements vont également à Monsieur CHE Jinshan, Professeur à

c'est encore l'écrire. Parce qu'il ne cessa de s'engager en faveur de la scène, voyant dans le théâtre « le plus haut des genres littéraires et en tout cas le plus universel2 », son œuvre théâtrale mérite pour le moins autant d'attention que ses romans ou ses essais. D'où vient donc qu'on n'en peut parler sans donner © Éditions Gallimard, 1958, pour Caligula, 1993, pour la préface et le dossier. 1. « Pourquoi je fais du théâtre » (1959), in Tkéâtre, récits, nouvelles, Pléiade, p. 1727. 2. Ibid

abordent la thématique de la condition de la femme sous une nouvelle perspective. Toutes les deux s’attellent sur la condition de la femme et la quête de son identité par le biais d’une écriture subversive. Les sujets féminins sont au cœur de leurs romans. Elles mettent en exergue leurs sensualité, leurs corps et la violence qu’elle subie, et ce avec des variances. C’est sur leurs œuvres que nous focalisons notre étude. Il serait pertinent de présenter les auteurs avant de donner un aperçu historique