En Quoi Consiste La Dictature De La Bourgeoisie

A quel besoin cela rpond trange besoin des humains fabriquer un pouvoir auquel ils se soumettent et regle comportement et relation. Qui a besoin de ca (ncessit, lgitimit). Autre problme quel est le but du pouvoir, a quoi sert il quels sont ses fonctions et ses dysfonction a quoi il sert, comment il fonctionne Enfin Quels sont les idaux, principe qui dfinissent, dterminent les relations entre les individus, quelle place/ quel sens on accorde la notion dgalit pour def les rapport entre les individus

la fois de la loi et de la morale. Il existe autant de moral et de droit que d’Etat. La morale et la loi sont l’illusion du plus grand nombre, elles peuvent donc faire l’objet de critiques mais inversement ; puisque la loi peut être simplement ce à quoi la majorité des individus croient et dans la mesure où la loi n’a pas besoin d’être fondé en nature, rien n’empêche d’établir des législations et des morales de manière volontariste et artificielle. C’est là que l’on voit germer le positivisme juridique

d’une phase de lutte des classes puis une phase de dictature du prolétariat puis enfin l’abolition des classes sociales). En face, « le Credo », une loi de nature qui est l’idée de la supériorité absolue de la race aryenne. * Ces idéologies là vont vers le souhait de créer une société parfaite, le totalitarisme a le projet d’atteindre une forme de perfection sociale, politique… Et ceci n’est pas la caractéristique de toutes les dictatures. Cette idée implique d’abolir les distinctions sociales

Autre point, il y a aussi un élargissement de l’origine sociale des élus, donc l’accès politique se démocratise. Le pourcentage des nobles dans les assemblées va baisser : en 1871, 34% et seulement 23 % en 1893. La haute bourgeoisie passe de 36 à 32%. La moyenne bourgeoisie passe elle de 27 à 40%. L’arrivée des couches nouvelles est confirmée par un discours prophétique de Léon Gambetta, le discours de Grenoble du 26 septembre 1872. «  Je pressens, je sens, j’annonce la venue et la présence dans

révolutions : 1789, 1830 et 1848. A la fin du règne de Louis Philippe, une crise économique financière et politique à été provoquée, en partie, par le maintient du régime électoral censitaire : le pouvoir politique est le monopole de la riche bourgeoisie. Le gouvernement de Louis Philippe hésite beaucoup sur ce point. En février 1848, les étudiants engagent le mouvement et les ouvriers les rejoignent : manifestation. Les bourgeois qui forment la garde nationale hésitent et refusent de tirer sur

monarchie dur (Comte de Chambord petit fils de Charles X). Jules Ferry, jules Simon, Jules For, jules Drevy sont des républicains modérés. Ils étaient favorables à une paix avec la Prusse pour permettre le retour de la croissance (proches de la bourgeoisie financière). Les monarchistes orléanistes se rapprochent des républicains modérés. Ils veulent un pouvoir exécutif fort. L’assemblée élue n’est pas constituante mais législative. Il n’y a pas d’accord à l’assemblée pour savoir quel régime installer

Ernesto rencontre six cubains dont Antonio López, dit Nico. Ce dernier, ouvrier, est ami de Fidel Castro. Il raconte à l’argentin l’assaut du Moncada, et tous les périples qu’ils ont pu vivre. Les Cubains relèvent chez Ernesto son tic linguistique qui consiste à prononcer che en début de phrase. Les argentins se font reconnaitre ainsi. Dans leur langue d’origine, c’e signifie « il y a ». Ainsi est né le surnom d’Ernesto, Titi, aujourd’hui, El Che. Guatemala Ciudad, Guatemala, fevrier 1954 Le Che et Hilda

histoires de pauvres s’emparant des armes de leurs ennemis, d’imaginer une ribambelle de curetons rejoignant plus tôt que prévu leur Dieu, de savoir que des églises furent prises dans les flammes bien réelles d’une révolte de leurs ouailles. Voilà de quoi est fait l’incendie millénariste, de moments de réappropriation et de partages, de pillages et de destructions de biens et de vies d’exploiteurs et de nantis, d’affrontements, de tentatives collectives... À la lecture de toutes ces folles histoires

Méditerranée occidentale. •La Grèce devient le centre d’un vaste courant d’échanges de toutes natures : commerciaux, techniques, de croyances et de mythes •Des ports se développent, ainsi que les assurances : 500 ans av JC, le prêt de « grosse aventure «  consiste à se faire avancer par un financier tout ou partie de la valeur d’un bateau de marchandises, prêt qui sera remboursé par les intérêts, mais uniquement si le bateau arrive à bon port. En cas de naufrage, le prêt sert d’assurance et la somme est conservée

publique à partir de 1750, plus d’échanges, meilleure éducation au sein de la société hausse générale du niveau de vie donc meilleure formation, éducation. On aime se retrouver pour échanger ça se voit à Paris où se constitue les salons (haute bourgeoisie, noblesse, membres du clergé) le phénomène se développe en province. Pour le reste du peuple il y a les cafés même si on ne s’est pas lire il y a des crieurs, on distribue des affiches : partage des idées. L’importance des académies de province