En Attendant Godot Et Le Théâtre Classique

Au XXème siècle, le théâtre se lance dans un tout nouveau genre appelé théâtre de l’absurde. Il se démarque par son antiréalisme et par sa grande liberté, l’auteur peut en effet utiliser son imaginaire sans se limiter et revendique le rejet des conventions classiques du théâtre comme la règle des trois unités. Samuel Beckett, grand auteur irlandais, fait partie de ce mouvement dramatique à part entière et, tout comme Brecht, il ne cherche pas à donner l'illusion de la vraie vie mais de réveiller

LE THEATRE DE L'ABSURDE Le théâtre de l'absurde Au xxe siècle, le théâtre de l'absurde (terme formulé par l'écrivain et critique Martin Esslin en 1962) est un type de théâtre apparu dans les années 1940, se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. Il s’agit d’un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant très souvent à la mort. L’origine de cette pensée étant

Le dénouement Chaque pièce de théâtre possède un dénouement. Etymologiquement, dénouement vient du verbe dénouer : défaire un nœud qui lui-même vient du latin « nodare » : «  faire un nœud ». Au théâtre, le dénouement constitue la partie finale d’une pièce de théâtre où, traditionnellement, le « nœud «  se défait et les problèmes se résolvent. Dans le théâtre moderne l’intrigue peut être suspendue et son dénouement ouvert. Qu’attendent l’action et les spectateurs du dénouement, que veut-on

Introduction - Absurde = contraire à la raison, au sens-commun - Théâtre de l’Absurde = Anti-théâtre = Nouveau théâtre = Théâtre de dérision I. Les origines - Existentialisme = courant philosophique et littéraire du début du XXème siècle plaçant au cœur de la réflexion l’existence individuelle, la liberté et les choix personnels. (Exemple : Camus, Sartre) - Le philosophe allemand Nietzsche annonce en 1882 la « mort de Dieu » = solitude, homme sans repère. - Certains écrivains développent

• Un bouleversement de ces règles : une tradition d’avant-garde, opposer radicalement à ce qui avait été fait avant, briser les codes du théâtre classique. Brecht (dramaturge allemand du vingtième siècle), briser le quatrième mur, briser l’illusion, la distanciation, rupture avec les règles classiques de façon à ce que le spectateur puisse avoir assez de recul quant à ce qu’il voit pour y réfléchir et le critiquer, développer une pensée critique sur le monde, le spectateur est toujours conscient

Pensez vous qu’au théâtre l’effet de surprise a son importance ? I. L’effet de surprise : élément central de la comédie A. Un élément essentiel pour l’effet comique • « Les fourberies de Scapin », Jean-Baptiste Poquelin : scène où le vieux (tu chercheras son nom) est pris au piège par Scapin et où il se fait rouer de coup de bâtons ; situation inattendue dans le déroulement de la scène, le valet piège son maître. • « Amphitryon 38 », Jean Giraudoux : scène cocasses qui exploitent le quiproquo

avec la plus grande attention. Elle contient les principaux renseignements qui vous seront nécessaires au cours du semestre. La tutoriale MELALLS/301 vous donne des renseignements d’ordre plus général sur le fonctionnement du Département de Lettres Classiques et de Langues Mondiales et doit être consultée conjointement avec la présente tutoriale. 5 FRC3703/101 ® TABLE DES MATIÈRES ® Page Ø Ù Ú Û Ü Ý Þ ß FRC3703 : Étendue et objectifs .......................................................

Le théâtre de l’absurde est un style de théâtre apparu dans les années 1951, se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. C'est un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours à la mort. L’origine de cette pensée étant sans conteste le traumatisme, la chute de l’humanisme à la sortie de la Seconde Guerre mondiale. Ce mouvement littéraire s'est inspiré des surréalistes et des

Histoire du théâtre I. Naissance du théâtre et ses débuts •Antiquité : Grèce : Vème s avt J.-C., pdt fêtes de Dionysos. Enjeu religieux, social et éducatif obligation d’y aller car fonction de citoyens. 2 grands genres : Tragédie : Catharsis ; Comédie : dénoncer la démagogie. Rome : Comédie caricature sans finalité (divertir) +Tragédie  même fonction mais moins bonne + Cirque : le + apprécier (plaisirs de voir des morts). • Moyen-âge : Théâtre religieux pour exercer forme terreur + Farces ave

Deuxième groupement de texte : Texte théâtraux I-Don Juan (Molière) Cursife (II- Ruy Blas (Victor Hugo) ) III- En Attendant (Godot Beckett) IV- Tartuffe (Molière) V-Les Justes (Albert Camus) I- Dom Juan Molière (comédie classique) Pièce écrite en 1605 par Molière. 3 scènes qui constituent la fin et l'épilogue de la pièce. On assiste à la mort du personnage éponyme 1) Registre Tragique Ce qui montre que la pièce