Emma Est Victime Ou Coupable

Mémoire Emma Bovary et Thérèse Desqueyroux: deux femmes face à un même destin tragique fait de rêves, de péchés et de désillusions Författare: Mariam El Abidi Handledare: André Leblanc Examinator: Mattias Aronsson Ämne: Franska Kurs: FR2001 Poäng: 15 Betygsdatum: 2011-05-30 Högskolan Dalarna 791 88 Falun Sweden Tel 023-77 80 00 Sommaire I. Introduction. .........................................................................................................................

roman, Copie conforme parait, autre œuvre : Félicidad, Le parfum du ruban vert, L’anorexie : Emma est anorexique. Cela n’a rien à voir avec sa découverte du journal de Jacques Desroches, il n’y a pas de rapport entre le trouble du comportement alimentaire de Emma, et la folie nazi au sein de sa propre famille. Emma va se servir de son corps famélique pour confronter son grand père à son passé de nazi. Emma est une jeune fille qui a eu du mal à passer de l’enfance à l’adolescence dans son rapport à

induit dans la technique du romancier de s’interdire toute intervention personnelle, une distanciation vis-à-vis de ses personnages. II. LE ROMANESQUE D’EMMA  Le romanesque de Madame Bovary apparaît intimement lié à son personnage principal, Emma, qui, tel Don Quichotte de l’écrivain espagnol du Siècle d’Or Cervantès, ayant lu des romans de chevalerie remplis d’exploits, se lance à travers le monde pour en accomplir de semblables et croit dans son cas que les romances qu’elle a lues au couvent

induit dans la technique du romancier de s’interdire toute intervention personnelle, une distanciation vis-à-vis de ses personnages. II. LE ROMANESQUE D’EMMA  Le romanesque de Madame Bovary apparaît intimement lié à son personnage principal, Emma, qui, tel Don Quichotte de l’écrivain espagnol du Siècle d’Or Cervantès, ayant lu des romans de chevalerie remplis d’exploits, se lance à travers le monde pour en accomplir de semblables et croit dans son cas que les romances qu’elle a lues au couvent

élevé plus décevante est la confrontation avec la réalité de l’existence. En outre Gustave Flaubert se moque de la littérature dont Emma se gorge. En effet les romans que Emma a lu au couvant sont extrêmement émouvants et irréalistes c’est le cas de Paul et virginie dans lesquels après la mort de l’un, l’autre amant se suicide. C’est cette collision qui a poussé Emma de rechercher du romantisme et de la passion qui va l’entrainer à nouer des liaisons amants-amante avec deux hommes qui la conduit finalement

bras, empoisonnée en lui avouant tout. Thésée regrette.   2. personnages essentiels -Phèdre: épouse ennuyée, amoureuse d’Hippolyte (sans retour) coupable de    relation incestueuses, elle est menacée de péril de mort. C’est donc le personnage idéal de la tragédie classique -Thésée : le mari lourd et ennuyeux qui se fait juge.. -Hippolyte : victime, innocence et sagesse.   3. structure de l'œuvre -début: tout le monde est heureux, Phèdre cède à la tentation et avoue son amour à Hippolyte en

l’enquête sur ces sources, à la part réaliste de son œuvre, en rappelant utilement la part de l’écrivain dans sa création. Flaubert a coulé dans son œuvre ses propres inquiétudes, ses manières de penser, sa matière personnelle. En particulier, comme Emma, il a éprouvé un goût immodéré pour la lecture. Au lycée de Rouen, « les pensums finis, la littérature commençait, et on se crevait les yeux à lire au dortoir des romans. On portait un poignard dans sa poche, comme Antony… Mais quelle haine de toute

d’émancipation du personnage ? 1) Différents point de vue qui se succèdent ( narraitifs) Le narrateur multiplie les points de vue sur emma. Cette technique présente l’avantage de nous montrer comment est percu l’héroine qui croit pouvoir échapper à sa réalité jugée médiocre. a) Point de vue de Rodolphe : opportuniste : « d’autres jouissances ». pour lui, Emma est une source d’exploitation, une pésence physique. C’est une vision péjorative, dégradé, humiliante. « sans facons » ces expressions montrent

c’est là un point de vue nouveau et original. Tout d’abord le romancier nous libre ses personnages au travers de la vision d’autrui, il en résulte un kaléidoscope d’impressions, un jeu de miroirs dans lequel les images fuient, sont renvoyées déformées. Emma par exemple est tantôt la petite paysanne dans laquelle charles va déceler l’image de son éternel féminin, tantôt la campagnarde que Rodolpe entend séduire par jeu, tantôt la femme sensuelle que Lheureux flatte pour mieux en tirer profit. Ensuite Flaubert

fille, Emma, une jeune femme dont la beauté lui attire immédiatement. Me. Dubuc meurt soudainement et Charles, amoureux d’Emma, continue à la visiter. Ils se marient et habitent ensembles, cependant pour Emma rien ne semble ce qu’elle trouvait dans ses romans romantiques. Elle regrette sa décision et préfère de rêver une vie meilleure pleine de fantaisies. Un jour les Bovary reçoivent une invitation au bal de Vaubyessard, chez le Marquis d’Antervilles. Au milieu dans bal luxueux, Emma se trouve