Emile Zola La Cité Heureuse

avions été punis d’une retenue, et que, le jeudi matin, nous devions nous y rendre, c’est pour ainsi dire à quatre pattes, espérant rester invisibles, que nous passions devant la porte de la loge. Mais souvent le concierge (pour nous c’était « Monsieur Emile ») en sortait, comme un pantin de sa boîte et nous interpellait : « Dis donc, c’est curieux, le Lycée et donc ouvert aujourd’hui ? » nous ne savions où nous fourrer, car nous étions presque plus sensibles à ses réprimandes qu’à celle de nos parents

puis au collège Stanislas, à Paris, où il suivit les cours de l'écrivain René Doumic. Il entra à l'École de Droit, obtint une licence mais parallèlement se consacra à l'écriture, son essai intitulé : ‘’Deux romanciers provençaux, Honoré d'Urfé et Émile Zola’’ étant couronné par le prix Maréchal Villars de l'Académie de Marseille et étant publié dans ‘’Le Journal de Marseille’’. Puis, «petit Marseillais» qui découvrait le monde du théâtre, qui avait le désir avoué de conquérir la scène parisienne

puis au collège Stanislas, à Paris, où il suivit les cours de l'écrivain René Doumic. Il entra à l'École de Droit, obtint une licence mais parallèlement se consacra à l'écriture, son essai intitulé : ‘’Deux romanciers provençaux, Honoré d'Urfé et Émile Zola’’ étant couronné par le prix Maréchal Villars de l'Académie de Marseille et étant publié dans ‘’Le Journal de Marseille’’. Puis, «petit Marseillais» qui découvrait le monde du théâtre, qui avait le désir avoué de conquérir la scène parisienne

par delà les frontières, d’une extrémité à l’autre de l’Europe, entre deux grands écrivains, opposant leurs thèses sur le sujet qui nous rassemble aujourd’hui. D’un côté, Emile Zola ; de l’autre Tolstoï, tous les deux à cette époque au faîte de leur gloire. Prenant la parole au banquet de l’Association générale des Etudiants, Zola y a prononcé un panégyrique du travail. C’est le travail, dit-il, qui donne son sens à la vie. Elle n’en a pas d’autre. « Le travail... est l’unique loi du monde, le régulateur

l’homme. Citation : « Conscience! Conscience! Instinct divin, immortelle et céleste voix […] juge infaillible du bien et du mal qui rend l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fais l’excellence de sa nature et la moralité de ses actions » (Émile ou de l’éducation).– Choix et conscience Selon Bergson, conscience signifie choix. Il montre dans son œuvre que toute conscience est liée à l’action. Mes actes sollicitent ma conscience et je mobilise des éléments en moi (par exemple des souvenirs)

divin en l’homme. Citation : « Conscience! Conscience! Instinct divin, immortelle et céleste voix […] juge infaillible du bien et du mal qui rend l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fais l’excellence de sa nature et la moralité de ses actions » (Émile ou de l’éducation).– choix ET conSciEncE Selon Bergson, conscience signifie choix. Il montre dans son œuvre que toute conscience est liée à l’action. Mes actes sollicitent ma conscience et je mobilise des éléments en moi (par exemple des souvenirs)

intellectuelle BAGNEUX SESSD de l’APF de Bagneux 55 rue Gustave Courbet 92220 BAGNEUX 01 45 36 10 65 sessd92-apf@wanadoo.fr Principaux handicaps accueillis : déficience motrice BOULOGNE-BILLANCOURT Centre médico psycho pédagogique CMPP Landrin 12 rue Emile Landrin 92100 BOULOGNE-BILLANCOURT 01 46 04 49 56 cmpp92@club.internet.fr Principaux handicaps accueillis : toutes déficiences BOULOGNE-BILLANCOURT Jardin d’enfants adapté APEI - Le Moulin vert 12 square des Moulineaux 92100 BOULOGNE-BILLANCOURT 01

par exemple l’évolution de la société. Les romanciers naturalistes poussent encore plus loin les exigences du réalisme en utilisant notamment certaines méthodes issues de la science. Peu de romanciers sont allés aussi loin sur ce chemin qu’Émile Zola. Ce dernier, en s’inspirant par exemple de théories sur l’hérédité, cherche à représenter l’« Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire » dans les nombreux romans qui composent Les Rougon-Macquart. Il écrit ainsi dans la préface

anarchique fait craindre la guerre civile entre les partisans des deux frères. Il faut asseoir l’autorité par une décision exceptionnelle. Polynice s’est rendu coupable : pour récupérer le trône, il s’est allié avec les ennemis de la cité, sept contre Thèbes. L’ennemi de la cité mérite la mort ; mais il est déjà mort. Alors Créon décrète : Polynice sera privé de sépulture. Et quiconque enfreindrait le décret sera puni de mort, et aux yeux de tous. L’interdiction est terrible, tout le monde s’incline. Tous

opposées, les tempéraments les plus contraires, et admette les recherches d’art les plus diverses. Or, le critique qui, après Manon Lescaut, Paul et Virginie, Don Quichotte, Les Liaisons dangereuses, Werther, Les Affinités électives, Clarisse Harlowe, Émile, Candide, Cinq-Mars, René, Les Trois Mousquetaires, Mauprat, Le Père Goriot, La Cousine Bette, Colomba, Le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre-Dame de Paris, Salammbô, Madame Bovary, Adolphe, M. de Camors, L’Assommoir, Sapho, etc., ose