Emile Verhaeren Le Départ

. J.-J. Rousseau Voltaire J.-J. Rousseau D'Holbach Diderot Lettres Persanes Zadig L'Esprit des lois Histoire naturelle Essai sur l'origine des connaissances humaines L'Encyclopédie Discours sur l'origine de l'inégalité Candide Le Contrat social, Émile Le Système de la nature Supplément au voyage de Bougainville Le groupe des gens de lettres reflète les tensions du monde social, mais une même aspiration crée son unité : le désir de la liberté de penser. Peu d'écrivains vivent de leur plume sauf

Ex. « O ce travail farouche,/ âpre, tenace, austère, Sur les plaines, parmi/ les mers, au cœur des monts, Serrant ses nœuds partout/ et rivant ses chainons De l’un à l’autre bout/ des pays de la terre ! » (Verhaeren, La Multiple Splendeur, « L’Effort ») La première rime a en commun le phonème vocalique [e] et le phonème consonantique [r] ; le phonème consonantique [t] précédant la dernière voyelle accentuée est également commun. La deuxième rime a en commun

confiance et sa patience. Aussi pour m’avoir donné la possibilité d’approfondir ce sujet dans le domaine de la littérature française. La réalisation de cette étude n’aurait pas été possible sans le soutien moral de mes parents et de ma sœur. Image : Emile Henri Tielemans, La Princesse Maleine, 1923 (gravure sur bois) Titre : Maurice Maeterlinck, Pelléas et Mélisande, Acte III, scène 4 (« Il y a là un air humide et lourd comme une rosée de plomb, et des ténèbres épaisses comme une pâte empoisonnée… »)

simple et familière. Stéphane Mallarmé ; très bel écrivain mais peu compréhensible pour ceux qui ne sont pas initié. En Belgique, plus des écrivains Flamands mais de langue française ont joué un rôle important dans la naissance du symbolisme. Emile Verhaeren, Georges Rodenbach,... Rutebeuf ; les complaintes de Rutebeuf. Biographie : Nom du poète, dont une identité (nom et prénom) inconnue. Né en 1230 et mort en 1285. Probablement jongleur et poète de profession, clerc d'âme. Il est le

(Ch. Baudelaire, Le mort joyeux, Les fleurs du mal, 1857). * LE TOMBEAU DE Charles Baudelaire OUVRAGE PUBLIÉ AVEC LA COLLABORATION DE STÉPHANE MALLARMÉ (1896). Michel Abadie, Emile Blémont, Viviane de Brocélyande, Judith Cladel, Sophus Claussen, Fernand Clerget, François Coppée, Jules Claretie, Henri Degron, Léon Dierx, Jacques des Gâchons, Stefan George, A.-F. Hérold, Gustave Kahn, Camille Lemonnier, Pierre Louys, S. P. Massoni

édition des Fleurs du mal » 312 Hugo, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » 314 Lautréamont, « Le Pou » Le poète, alchimiste du quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir

narrateur est-il identifiable ? TEXTE 3 Eh bien ! en revenant au roman, nous voyons également que le romancier est fait d'un observateur et d'un expérimentateur. L'observateur chez lui donne les faits tels qu'il les a observés, pose le point de départ, établit le terrain solide sur lequel vont marcher les personnages et se développer les phénomènes. Puis, l'expérimentateur paraît et institue l'expérience, je veux dire fait mouvoir les personnages dans une histoire particulière, pour y montrer

: « Ma vie a deux versants, avant, après Villiers. D’un côté l’ombre, de l’autre la lumière ». 1888 : S’inscrit à l’Ordre des Avocats. 1889 : Publication de Serres chaudes (poésie). Publication de La Princesse Maleine (théâtre), saluée par Emile Verhaeren et recommandée par Stéphane Mallarmé à Octave Mirbeau. 1890 : Article retentissant de Mirbeau dans Le Figaro sur La Princesse Maleine, qui provoque un engouement des troupes parisiennes pour Maeterlinck. 1891 : Traduit le Livre XII des Béguines

rêver ; plus que d’un « ailleurs » à atteindre, il s’agit d’une « invitation » rêveuse à prolonger indéfiniment le désir ou la promesse d’une quête, dont le plaisir tient précisément dans la dilatation du moment antérieur à tout premier pas, à tout départ effectif. Texte heureux, dans la grisaille douloureuse du recueil, « L’invitation au voyage » semble ainsi accomplir de manière positive le vœu insolite qui figurait dans l’un des projets de la préface des Fleurs du mal (« ne rien savoir, dormir et

lire. J’ai travaillé à cela pendant quatre-vingts ans et je ne peux pas dire encore que j’y suis arrivé.[4] Avec Gœthe on passe à ce que nous considérons être le sommet de la lecture, à savoir la lecture créative. Dans ce cas, le livre est point de départ, source d’idées qui chauffent la pensée. En guise d’exemple, on a choisi un texte très connu et, à une première lecture, destiné uniquement aux enfants : la page liminaire du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry. “Lorsque j’avais six ans