Embolie

|- Risque principaux : |urinaire par travail de |* Prévenir avant incision et traçabilité par heure des stades de l’intervention | | | |- Embolie gazeuse par mauvaise purge |collaboration entre les |* Prévenir la réa de l’arrivée du patient | | | |d’une cavité cardiaque

|thromboembolique |risque et éduquer la|pas fumer et de ne pas boire |IDE = | |thrombo-embolie, ne fume pas | | |patiente |pour ne pas augmenter le |- rôle prescrit : administration de | |et ne boit pas, elle comprend| | | |risque de thrombo-embolie |l’anticoagulant |1*/jour à 9h |très bien le risque grave que| | |

  Selon l’O.M.S., 180000 femmes dans le monde meurent chaque année des suites d'un avortement (Le Figaro du 25 juin 1992). Cela donne en moyenne un décès pour 300 avortements. Les causes de décès sont variées : * perforations utérines, * embolies pulmonaires, * accidents d’anesthésie, * troubles graves de la coagulation, * péritonites, * sans oublier les suicides. Comparativement, des statistiques anglaises de 1969 montrent que les décès causés par des avortements sont

et se fiançe puis se marie avec Yvonne que François avait retrouvé entre temps. Puis il part à Paris en jurant de ne revenir que lorsqu’il aurait ramené valentine a frantz . Yvonne acouche d’ une petite fille. Mais elle meurt le lendemain d'une embolie sans avoir revu Augustin. François s'installe aux Sablonnières. Un an plus tard le grand meaulnes revient . Personages principaux : -François SEUREL: Il a 15 ans, c'est le narrateur du récit et le fils de M. et Mme Seurel, instituteurs à Saint-Agathe

sur cette artère au point de l’obstruer (athérosclérose), auquel cas on parle de thrombose cérébrale (40 à 50 % des cas), - soit parce qu’un caillot de sang, formé ailleurs dans l’organisme, vient obstruer la même artère, et il s’agit alors d’une embolie cérébrale (30 % des cas). Le troisième type d’AVC est l’hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c’est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d’un anévrisme (section dilatée d’une artère) qui prive

nécessaire à partir de 15 jours à 3 semaines après l’intervention. B. Les complications Les principales conséquences physiologiques Les conséquences de l’avortement pouvant entraîner la mort à court terme sont : les hémorragies, les infections, les embolies, l’anesthésie, les grossesses extra-utérines non diagnostiquées. Pour le risque de cancer, les femmes qui ont avorté ont un risque probable 2,3 fois plus élevé d’avoir un cancer du col de l’utérus, des ovaires ou du foie. Pour le cancer du sein

voie basse) elle doit rester aliter strict en décubitus dorsal. Afin d’éviter les risques d’hémorragie extériorisé par le pansement ou la voie vaginal due à une mauvaise contraction utérine ou de thrombose-veineuse qui peut se compliquer d’une embolie pulmonaire. Madame dispose de deux drains aspiratifs au niveau de la cicatrice qui va permettre d’aspirer les liquides biologiques (le pus, le sang, la lymphe) ainsi qu’un pansement puis d’une voie veineuse périphérique contenant des sels

s’accompagne de douleurs sur le côté du thorax, avec fièvre. • Un reflux gastro-oesophagien (toux susceptible de survenir au moment du repas) • Un emphysème pulmonaire (distension des alvéoles avec destruction de leur paroi) • Une embolie pulmonaire (présence d’un caillot sanguin dans la circulation des poumons) • Un infarctus des poumons (destruction du tissu pulmonaire après un défaut de vascularisation) • Une affection cardio-vasculaire, comme une insuffisance

réinterprétation d'œuvres de grands maîtres tels que Le Déjeuner sur l’herbe de Manet ou Les Femmes d’Alger de Delacroix. Picasso part s’installer en 1961 à Mougins en compagnie de Jacqueline Roque. Il s’éteint le 8 avril 1973 à l’âge de 91 ans à la suite d'une embolie pulmonaire. Artiste protéiforme et prolifique (on estime qu’il a réalisé plus de 30 000 œuvres), Picasso a bouleversé l’art moderne. Avec George Braque, il donna naissance au cubisme. Les Demoiselles d’Avignon fut la première œuvre significative

Complications Il existe quatre principales complications du SGB qui justifient que le patient soit dans certains cas hospitalisés dans une unité de réanimation. 1. Détresse respiratoire : celle-ci peut-être due à une paralysie du diaphragme, à une embolie pulmonaire, à une atéléctasie ou à une infection pulmonaire. Il est donc parfois nécessaire d'intuber le patient et de la placer sous ventilation assistée. 2. Troubles de la déglutition : due à une paralysie des muscles du pharynx. Il est alors requis