Eluard Un Seule Sourire

poétique: égérie et vision sublimée - Singularité et intertextualité - Lyrisme personnel - Histoire littéraire et culturelle - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe de tes yeux » Eluard - « Il n’aurait fallu… » Aragon - « La jeune veuve » La Fontaine - « Vieille chanson du jeune temps » Hugo - « Une allée du Luxembourg » Nerval 1 Etudes transversales et/ou thématiques Lecture cursive : Représentation du poète Fonction du poète

Nerval | | | | |- « La courbe de tes | | | | | |yeux » Eluard | | | | | |- « Il n’aurait fallu… » | | | | |

traversons les périodes sombres de notre vie. -Les vrais amis ne sont jamais acquis par chance, ce sont toujours des cadeaux de Dieux. +++Les meilleurs amis sont souvent ceux qui comprennent votre besoin de solitude et de silence. -L'amitié, c'est le sourire partagé, la main tendue et la complicité. +++J'aimerais être pour toi l'ami que tu as été pour moi. J'aimerais te donner le soutien que tu m'as toujours apporté avec joie. Je voudrais, à chaque instant de la journée, compter pour toi autant que tu

le poète inscrit ses tourments les plus secrets. L’existence est saisie dans la douleur de l’exil, dans la déception du présent. Avec les mots les plus simples, les rimes les moins recherchés, chaque sonnet suggère parfois dans un sonnet dans un sourire, l’acuité de cette peine qui fait battre le cœur de sa Poésie. Nostalgie du pays perdu, appel lancinant du bonheur, souvenir des triomphes disparus. Ronsard Registre polémique Dans les discours, Ronsard profondément attaché au catholicisme

: OBJET D’ETUDE « LA POESIE » SEQUENCE Objet d’étude La poésie Problématiques Perspectives Lectures analytiques - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe de tes yeux » Eluard - « Il n’aurait fallu… » Aragon Lectures complémentaires - « La jeune veuve » La Fontaine - « Vieille chanson du jeune temps » Hugo - « Une allée du Luxembourg » Nerval La femme, comme objet poétique: égérie et vision sublimée - Singularité

sourcil, Maurice SCÈVE, (1536) XVII ème siècle L'anatomie de l’œil , Pierre de MARBEUF (1625) XIX ème siècle Un Hémisphère dans une chevelure , Charles BAUDELAIRE, Le Spleen de Paris (1869) XX ème siècle La courbe de tes yeux... ,Paul ELUARD , extrait de Capitale de la douleur (1926) L'union libre , André BRETON ,  extrait de Clair de terre (1931) LE BLASON , Georges BRASSENS (1960-62) PREFACE Cette anthologie poétique intitulée «Une évocation poétique du

Feuilles de jour et mousse de rosée,Roseaux du vent, sourires parfumés,Ailes couvrant le monde de lumière,Bateaux chargés du ciel et de la mer,Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'auroresQui gît toujours sur la paille des astres,Comme le jour dépend de l'innocenceLe monde entier dépend de tes yeux pursEt tout mon sang coule dans leurs regards. Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926) Paul Eluard, poète de la première moitié du XXème a été un des piliers

XIX-XX siècles Premier amour I Nous nous étions connus tout petits à l'école. Comme son père était de mon père voisin, Nous partions tous les deux sac au dos le matin Nos têtes s'encadraient d'une même auréole. Dans la rose candeur du sourire enfantin, Nous étions bons amis. Quand les flots du Pactole Roulaient chez l'un de nous, par hasard, une obole, Nous divisions toujours en deux parts le festin. Souvent, aux lendemains de mes fainéantises, Me laissant consulter en route son

sont somptueux. Ensuite j’ai choisi En Arles, de Paul Jean Toulet, car j’admire cette ville, où il s’y passe beaucoup de choses, et de très belles expositions. Le Val de Beauregard, car il m’a plongé dans une rêverie profonde. Sans rancune de Paul Eluard, il parle des prisonniers, j’ai trouvé ce poème touchant et réaliste. Et pour conclure,  le cimetière marin de Paul Valery, c’est le rapport entre conscience et corps, avec la présence de la mer. C'est, en 24 sizains, une méditation métaphysique,

gaie comme le rire », et à chaque fois il a raison. Il dit aujourd’hui : « tout s’achève et sombre dans le silence », il dira demain : « Rien ne s’achève et tout résonne éternellement » et les deux sont vrais. Le poète n’a besoin de rien prouver ; la seule preuve réside dans l’intensité de son émotion. De nombreux auteurs ont tenté de définir la poésie, de mettre des mots sur la façon si spéciale qu’a la poésie d’atteindre son lecteur. Cependant, force est de constater que, malgré toutes ces tentatives