Eluard Leurs Yeux Toujours Purs

Sagesse, 1881..............................12 J'ai vu le diable l'autre nuit, Paul-Jean TOULET, Contrerimes 1921.................................................................................................14 La courbe de tes yeux, Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926..................................................................................................16 Pour la Joconde, Isaac Lerutan, 2009..........................................18 → Un florilège est un

de ta vie. Texte C - Paul Eluard : «La Dame de carreau», Les Dessous d'une vie, 1926. Tout jeune, j'ai ouvert mes bras à la pureté. Ce ne fut qu'un battement d'ailes au ciel de mon éternité, qu'un battement de cœur amoureux qui bat dans les poitrines conquises. Je ne pouvais plus tomber. Aimant l'amour. En vérité, la lumière m'éblouit. J'en garde assez en moi pour regarder la nuit, toute la nuit, toutes les nuits. Toutes les vierges sont différentes. Je rêve toujours d'une vierge. A l'école, elle

A un passant Mon cher enfant que j’ai vu dans ma vie errante, Mon cher enfant, que, mon Dieu, tu me recueillis, Moi-même pauvre ainsi que toi, purs comme lys, Mon cher enfant que j’ai vu dans ma vie errante ! Et beau comme notre âme pure et transparente, Mon cher enfant, grande vertu de moi, la rente, De mon effort de charité, nous, fleurs de lys ! On te dit mort… Mort ou vivant, sois ma mémoire ! Et qu’on ne hurle donc plus que c’est de la gloire Que je m’occupe, fou qu’il fallut et

relation amoureuse dans leurs œuvres, que ce soit triste ou heureuse. Ce recueil de poèmes m’a donc permit d’étudier ces poèmes lyriques. Dans ce recueil, j’ai choisi « A une passante » de Baudelaire, « Les mains d’Elsa » d’Aragon, « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur » d’Eluard, « Mon rêve familier » et « Ariettes oublies » de Verlaine, puis enfin « Le pont Mirabeau » d’Apollinaire. Pourquoi ce choix ? Eh bien, tout simplement, j’ai choisi les poèmes qui m’ont plus touchés et ceux que j’ai

 www.comptoirlitteraire.com présente Eugène Émile Paul Grindel dit Paul ÉLUARD (France) (1895-1952) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres, qui sont commentées, certains poèmes (''Sans rancune'', ''Leurs yeux toujours purs'', ''La courbe de tes yeux'', ''Notre vie'', ''Dominique aujourd'hui présente'', ''La mort l'amour la vie'') étant analysés dans des dossiers à part. Finalement, est tentée une synthèse (pages 86-94). Bonne lecture ! Le 5 octobre 1895

LA COURBE DE TES YEUX De Paul Eluard écrit en 1926 -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Dans quelle mesure ce texte peut être lu comme un éloge de la femme aimée ? -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- I) Eloge de la femme aimée 1. Un poème de blason (description du corps) a) explication du blason :

Paul Eluard ne nous raconte pas un amour éphémère mais un amour fou et passionnel. Dans « je t’aime », nous pouvons remarquer que les mots « Je t’aime » apparaissent plusieurs fois, ce qui donne un effet d’insistance. La femme est idéalisée, elle représente la sagesse. Paul Eluard aime cette femme car elle est son inverse : « Je t’aime pour ta sagesse qui n’est pas la mienne », « Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas ». * Dans un autre poème, « La courbe de tes yeux », Eluard est

littéraires modernistes et rejoint en 1922 l'aventure surréaliste. Paul ELUARD, de son vrai nom Eugène Emile Paul Grindel, est un poète français né le 14 décembre 1895 et mort le 18 novembre 1952. Il devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée. Louis ARAGON, poète, romancier et journaliste, né le 3 octobre 1897 et mort le 24 décembre 1982.  Avec André Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, il fut l'un des animateurs du surréalisme. Tristan

Courbe de tes yeux La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille

tes yeux Paul Éluard La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’aurores Qui gît toujours sur la