Eluard La Courbe De Tes Yeux

· D’autres thèmes traditionnels comme la femme , qui occupe toujours la scène poétique, qui inspire. Elle peut être l'objet de célébrations et de déclarations d'amour fou comme dans « La Courbe de tes yeux » de Paul Éluard), son corps en sujet d'éloges dans « L'union libre » de Breton et son amour aide le poète à dépasser les angoisses de la mort, exemple « Non, l'amour n'est pas mort » de Robert Desnos

au long de son œuvre, le poète évoque les charmes d'une jeune femme en la priant d'en profiter au plus tôt, ce qui est tout à fait conforme à la mentalité carpe diem de l'époque. -Eluard, Capitale de la douleur, La courbe de tes yeux, jeu littéraire et amoureux, érotique ou humoristique. Ce poème chante les yeux d'une femme mais qui ne se limite pas qu'au sens physique (la lumière : «ailes couvrant le monde de lumière») mais aussi la morale (l'innocence) -Baudelaire, les fleurs du mal, Le

SURREALISME Le surréalisme est apparu en France vers 1920. Il s’agit d’un mouvement qui réunit les écrivain et artistes adhérant au groupe crée par André Breton. Parmi les écrivains, les poètes dominent : Louis Aragon André Breton Robert Desnos Paul Eluard Raymond Quenaud C’est Guillaume Apollinaire qui invente de terme de « surréalisme » en 1917 en sous-titrant sa pièce de théâtre Les Mamelles de Tirésias « Dames surréalistes ». Ce mot est alors choisit par André Breton et ses amis en hommage au

littérature de 1900 à 1950 | | | |+ Le Surréalisme : définition, caractéristiques et auteurs représentatifs | | | |(Breton, Soupault, Eluard, Aragon, Prévert) |- Histoire..., Exercices 28, 29 page X.| | |+ L'Existentialisme : définition, caractéristiques et auteurs représentatifs | | | |(Sartre, Camus)

VII, vers 1 à 56, 1943 3. Joseph Kessel, « Le chant des partisans » ; 4. Robert Desnos, « ce cœur qui Haïssait la Guerre » ; 5. Paul Éluard, Poésie et Vérité, « liberté », 1942 ; T.1 : « Il y en a qui prient, il y en a qui fuient » Il y en a qui prient, il y en a qui fuient, Il y en a qui maudissent et d’autres réfléchissent, Courbés sur leur silence, pour entendre le vide, Il y en a qui confient leur panique à l’espoir, Il y en a qui s’en foutent et s’endorment le soir

femme évoqué est seulement regardé, aimé, évoqué, par son œil (= sentiment du poète) tout le reste a disparu. Cela se retrouve énormément chez les poètes surréalistes. « Les yeux d’Elsa » Aragon « Tes yeux sont si profond qu'en me penchant pour boire ». « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur » Paul Éluard.  Le regard de la femme aimé. Ici à partir de là le poète laisse éclaté son émotion dans ce qui est réaliste dans la première partie ne l’est plus du tout maintenant. III

sa grâce ne soit pour nous tarie,Nous préservant de l'infernale foudre.Nous sommes morts, âme ne nous harie,Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !La pluie nous a débués et lavés,Et le soleil desséchés et noircis.Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés,Et arraché la barbe et les sourcils.Jamais nul temps nous ne sommes assisPuis çà, puis là, comme le vent varie,A son plaisir sans cesser nous charrie,Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre. Ne soyez donc de notre confrérie ;Mais priez Dieu

de la poésie lyrique, sont aussi présents à travers “La Chanson du Mal Ainé” et “Le Pont Mirabeau”. Enfin, le blason, éloge d’une partie du corps, peut être retrouvé dans ‘Les Colchiques”. Ce même thème peut être retrouvé dans “La Courbe de. Tes yeux”, de Paul Éluard, tiré de Capitale de la douleur, paru en 1926. Des formes anciennes trouvent aussi leur place dans ce recueil. En effet, dans “Mai”, des quatrains — LES strophes traditionnelles par définition — sont utilisés. Les vers de ce même

ses mots énoncent une vérité, mais que les mots en eux-mêmes soient vrais, que par les images, les correspondances que le poète crée, celui-ci réussisse à retranscrire l’intensité de ce qu’il a pu ressentir, ne serait-ce que pour un instant. Ainsi, Eluard dit-il que « la terre est bleue comme une orange.». Le poète n’a que faire du réel tel qu’il est, celui-ci n’a d’importance que parce qu’il offre au poète tout ce qu’il peut ressentir. Ainsi, Rimbaud disait du poète, dans sa célèbre « Lettre du voyant »

complémentaire : Les élèves ont écrit un sonnet dans le cadre d’un concours organisé au sein de l’établissement. Lectures personnelles : Poèmes étudiés : Texte 1 Charles Baudelaire- Parfum exotique, Les Fleurs du mal, 1857. Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,Je vois se dérouler des rivages heureuxQu'éblouissent les feux d'un soleil monotone ;Une île paresseuse où la nature donneDes arbres singuliers et des fruits savoureux ;Des