Eluard La Courbe De Tes Yeux

de deux quatrains, de deux tercets, d'alexandrins, originaire d'un célèbre poète italien, Pétrarque. D'autre part, le blason était très souvent employé pour faire l'éloge d'une partie du corps de la femme, comme dans le poème « La courbe de tes yeux » de Paul Eluard, très versifié à rimes plates. Et pour finir, les poètes utilisaient également le poème en prose, pour exprimer brièvement leurs sentiments à la femme aimée. La poésie parcours le temps durant la quête amoureuse en subissant quelques

pouvons le rattacher au surréalisme. Ce mouvement comprend les procédés de création appartenant au domaine des rêves et de l'inconscient. Les poètes s'amusent donc, comme Roubaud, avec les mots et les sonorités. Nous pouvons citer Eluard avec « La courbe de tes yeux » de part les images surprenantes utilisées et les sonorités. Le poème de Bertrand « Un rêve » est aussi en accord. N'oublions pas l'irréel, qui est aussi une source importante de l'inspiration poétique. Comme Apollinaire et son poème

n'aimez lire Les escrits de mon coeur, les feux de mon martyre : Non, ne les lisez pas, mais regardez aux Cieux, voyez comme ils ont joint leurs larmes à mes larmes, Oyez comme les vents pour moy levent les armes, A ce sacré papier ne refusez vos yeux. Boute-feux dont l'ardeur incessamment me tuë, Plus n'est ma triste voix digne if estre entenduë : Amours, venez crier de vos piteuses voix Ô amours esperdus, causes de ma folie, Ô enfans insensés, prodigues de ma vie, Tordez vos petits bras,

et la mer Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cour  Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses

fervent défenseur des protestants. Voici la mort du ciel Voici la mort du ciel en l'effort douloureux Qui lui noircit la bouche et fait saigner les yeux. Le ciel gémit d'ahan, tous ses nerfs se retirent, Ses poumons près à près sans relâche respirent. Le soleil vêt de noir le bel or de ses feux, Le bel œil de ce monde est privé de ses yeux ; L'âme de tant de fleurs n'est plus épanouie, Il n'y a plus de vie au principe de vie : Et, comme un corps humain est tout mort terrassé Dès que du

saturniens, 1866, Paul VERLAINE, « La courbe de tes yeux… », Capitale de la douleur, 1926, « Je t’aime », Le Phénix, 1950, « Les mains d’Elsa », Le Fou d’Elsa, 1963). ➢ La mort qui obsède les poètes parce qu’elle est inévitable et qu’elle place les humains face à l’inconnu, source d’angoisse. (Cf. « Je n’ai plus que les os… », Derniers vers, 1586, Pierre De RONSARD, « Demain, dès l’aube… », 1847, Les Contemplations, « Notre vie », le temps déborde, 1947, Paul ELUARD). ➢ Le temps qui passe.

chevelure de Baudelaire dans ce poème l’auteur exprime son amour pour sa maitresse jeanne Duval a travers de nombreuses images. Il compare la femme a un ailleurs, un paysage exotique pour montrer sont admiration pour elle. De même dans la courbe de tes yeux Paul Eluard utilise les images pour évoquer l’intérêt qu’il porte a la femme. D la musicalité peut s’avérer être un bonne outil pour interpréter ces sentiment. En effet dans femme noir de leopold sedar shengor Toutes les femmes noires représentées


J'arrive où je suis étranger 
Un jour tu passes la frontière 
D'où viens-tu mais où vas-tu donc 
Demain qu'importe et qu'importe hier 
Le coeur change avec le chardon 
Tout est sans rime ni pardon 
Passe ton doigt là sur ta tempe 
Touche l'enfance de tes yeux 
Mieux vaut laisser basses les lampes 
La nuit plus longtemps nous va mieux 
C'est le grand jour qui se fait vieux 
Les arbres sont beaux en automne 
Mais l'enfant qu'est-il devenu 
Je me regarde et je m'étonne 
De ce voyageur inconnu 
De son visage

partager mon point de vue sur l'amour. Il contient 10 poèmes que l'on peut séparer en 4 catégories : les 6 poèmes d'auteurs connus (Pierre De Marboeuf, St Maidele, Paul Eluard, Alfred De Musset (2) et Sarang), les 4 poèmes d'auteurs inconnus, les 9 poèmes qui font l'éloge de l'amour ("Nos chemins se sont croisés", "La courbe de tes yeux" , "Si je t'aime", "Si ton coeur s'arrêtais de battre", "Tu peut dire", "Se voir le plus possible", "Viens nous encorceler", "Je t'ais demandé" et "l'amour est tout")

chevelure", Baudelaire in Les Fleurs du Mal LA3 : "La courbe de tes yeux", Eluard in Capitale de la douleur Lectures complémentaires: - Sonnet 134, Pétrarque, in Canzionere : la force du sonnet au service du lyrisme amoureux - "Je vis, je meurs", Louise Labé : un sonnet fondé sur la figure d'opposition / héritage du poète Pétrarque - "Un hémisphère dans une chevelure", Baudelaire in Petits poèmes en prose : un exercice de réécriture - "Les yeux d'Elsa", Aragon : un texte d'amour et engagé - "Union