Eluard La Courbe De Tes Yeux

très vite devant la puissance de son parfum qui engendre une vision exotique. Ce poème met en évidence le pouvoir magique du parfum créateur d’un univers harmonieux et sensuel. Le poème « La courbe de tes yeux » de Paul Éluart éloge les yeux d'une femme mais ne se limite pas qu'au physique. Dans ce poème, Eluard fait comprendre que l'homme dépend trop de la femme. Le poème de Charles Baudelaire « A Une Passante », est le récit d’une rencontre amoureuse où il y a le coup de foudre entre lui et une

pourraient rien faire. La femme représente l’amour qui adoucit le cœur des hommes. • Le deuxième poème est « La courbe de tes yeux » de Paul Eluard. Dans ce poème la femme représente aussi l’amour. L’auteur nous parle de l’amour dans les yeux d’une femme et de son regard sur le monde. Il parle de la femme sans la décrire physiquement mais en exprimant ce qu’il ressent à travers ses yeux. • Le troisième poème est « Les femmes sont sur la terre » de Victor Hugo. Dans ce poème Victor Hugo idéalise les

Amour innacessible b) poème qui le rythme des saisons c) dernière strophe → mort La courbes de tes yeux Un blason moderne : a) description des yeux de gala (lexique) b) jeux de sons c) hymne à l'amour heureux La renaissance du poète : a) poème qui s'appararente a une berceuse : b) «  je «  du poète dépend de la femme aimée La femme une médiatrice entre le poète et le monde : a) yeux de gala → monde en miniature : b) Sans rancune Montrer que le destin du poètes → à

III La femme, source d'inspiration et de l'inspiration 1. des yeux-univers Cette longue énumération (neuf vers « appositifs » sur quinze) peut se lire comme l'expression d'une conception universelle : la femme aimée représente le monde entier. Gala, la compagne du poète, puisqu'il s'agit d'elle, ici, s'élargit, ainsi, à l'univers, au cosmos, et ce, par le simple jeu grammatical de l'expansion du substantif, « (tes) yeux ». Se tissent, en effet, des réseaux lexicaux faisant d'« elle », tour à

textes vont composer notre corpus. "A' la douceur de la saison nouvelle" (Guillaume IX D'Aquitaine, XII siècle) "Ce bouton qui me plaisait plus que nul autre" (Guillaume de Lorris - Roman de la Rose, 1230) TEXTE COMPLEMENTAIRE "la courbe des tes yeux" (Paul Eluard - Capital de la douleur, 1926) TEXTE COMPLEMENTAIRE "Io voglio del ver la mia donna laudare" (Guido Guinizelli, XIII siècle) Donc, la problématique émergeant est: Les deux aspects sont évidents dans chaque componiment. La joie nait

:  Texte A - Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte B - Théophile Gautier : « Le poète et la foule » in España (1845) Texte C - Charles Baudelaire : « Théophile Gautier », L'Art romantique (1857) Annexe - Paul Eluard : L'Évidence poétique (1939).   Texte A -  Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères : Je retourne dans le désert

l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai

Documents Pierre Reverdy, « Il reste toujours quelque chose », La Lucarne ovale, 1916. Paul Éluard, « Le front aux vitres », L'Amour, la poésie, 1929. Jacques Brel, « Les Fenêtres », 1963 (chanson). Eugène Guillevic, « Regarder », Étier, 1979. Pour quelles raisons le thème de la fenêtre inspire-t-il les poètes dans les quatre textes du corpus ? Votre réponse n'excédera pas une quarantaine de lignes. Après avoir répondu à cette question, les candidats devront traiter au choix un des trois

Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte B - Théophile Gautier : « Le poète et la foule » in España (1845) Texte C - Charles Baudelaire : « Théophile Gautier », L'Art romantique (1857) Annexe - Paul Eluard : L'Évidence poétique (1939). Texte A - Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères : Je retourne dans

Texte A : Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte B : Théophile Gautier, « Le poète et la foule » in Espàna(1845), Texte C : Charles Baudelaire, « Théophile Gautier», l'Art romantique (1857) Annexe : Paul Eluard, L'Evidence poétique (1939) Texte A : Victor Hugo, «Fonction du poète», Les Rayons et les Ombres (1840) Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères: Je