Éloquence

civilisée. Nous avons donc un jeu d’oppositions entre bienfaits de la vie naturelle et méfaits de la vie civilisée. Evocation d’une vie idéale. III. Une éloquence persuasive. Le texte est à la fois familier et oratoire, spontané et construit, d’un rythme varié et toujours efficace. Cette éloquence persuasive passe par les procédés suivants : a. Les changements d’interlocuteurs. « nous » / « tu » - « elles » / « nous » - « tu », « vous » / « un tahitien ».

l’assemblée législative (1792). Danton (1759-1794) Avocat au Conseil du Roi, Georges Danton fonde dès le début de la Révolution le club des Cordeliers et devient un orateur populaire qui électrise les foules. Cet improvisateur de génie déploie son éloquence dans les heures tragiques, pour sonner le rappel de la défense révolutionnaire à la veille de Valmy ou pour abattre les Girondins à la tête du Comité de Salut public. Quand il s’attaque à Robespierre, c’est lui qui se retrouve accusé devant le Tribunal

conclut sur la conquête amoureuse: => L'argumentation de DJ est logique. 2) Les arguments utilisés pour convaincre et persuader Sganarelle. Renversement des valeurs avec ironie, rythme ternaire (1er phrase) tirade où DJ utilise l'art de la parole.(éloquence) il va associer les termes fidélité et les termes a connotation négative. «faux honneur»,«s'ensevelir»,«être mort». De ce fait on peut dire que l'infidélité devient un principe de vie, «la nature nous oblige»=> épicurisme de DJ. «toutes les autres

plaidoirie ne correspond pas à la réalité, ce qui pourrait être défavorable à Meursault lui devient favorable. L’avocat n’a pas compris qui était Meursault. Il s’agit d’un procès envers quelqu’un qui ne veut pas entrer dans les normes. Grande éloquence, phrases ampoulées + péroraison (moment où « s’écrier ») Il essaie de faire plaindre Meursault en attirant la pitié des jurés, il leur souffle l’attitude à adopter. L’avocat utilise un vocabulaire stéréotypé : « honnête homme » ; « travailleur

ressenti par Antigone n’est plus proche de nous : on le comprend mal. - Commentaires du Coryphée met de la distance par rapport aux propos des personnages ou + on peut aussi trouver qu’il donne un écho à l’arrogance d’Antigone en l’amplifiant. + : éloquence d’Antigone + accents pathétiques ( exclamatives, interrogatives, oxymore : « profit à mourir » + opposition Dieu/ mortel, raison politique/ raison religieuse + Parallélisme : « De cela, oui, j’eusse souffert ; de ceci je ne souffre pas » « Mais

- tragique au début. L’évocation de la peste et de l'Acheron. La figure d’œdipe plane sur ce début. Comparaison avec la guerre. Impossibilité d’échapper au mal. Bcp de négation. - du pathétique II-l’éloge paradoxale de l’éloquence. Éloquence : art du « bien parler » l'art oratoire. 1- discours du lion. étude des pronoms #des adj * ceux a la 1°pers du sing. * nous, on (de généralité) nous implique les autres. Il dilue sa responsabilité. Connecteurs argumentatif= le discours

ressemble à parodie aussi de démonstration théologique • Cette dévaluation a choqué dévots tps M qui été condamné d'avoir mis défense D dans bouche d'un imprudent • Thèse œuvre DJ d'autant + forte qu'il y a pers pour rivaliser, le contrer dans son éloquence Conclusion A fin, DJ est déclaré impie, tout en paraissant l'emporter du fait de la maladresse S

décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie, en démontrant l’injustice (les vrais coupables sont la misère et l’ignorance) et l’inefficacité du châtiment. Utilisant tour à tour sa notoriété d’écrivain et son statut d’homme politique, il met son éloquence au service de cette cause, à travers romans, poèmes, témoignages devant les tribunaux, plaidoiries, discours et votes à la Chambre des pairs, à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention en faveur de condamnés

littérature, de l’imagination et des écrits imagés (« contes », « vers », « récit », « fable ») auquel est lié celui du plaisir (« adoucir », « plaisir extrême », « amuser »), et celui de la politique, l’éloquence et le sérieux (« république », « éloquence », « patrie ») auquel est associé celui du danger, de la violence et de l’ennui (« combats », « périls », « menace », « (…) personne ne s’émut. », « Tous regardaient ailleurs (…) »). L’apologue éveille donc la foule, quand l’éloquence ne fait que

Blâme de dom juan et du regard social sur Dom Juan Dom Juan est un des personnages les plus complexes de la littérature, bien ancré dans les contradictions de son époque. Ce personnage repris par Molière, de la version de Tirso de Molina, divise toujours autant qu’à l’époque. Autant admiré qu’abhorré, et même la plupart du temps les deux à la fois, Dom Juan nous oblige à réaliser que tout n’est pas d’une simplicité manichéenne. Comme le dit Sganarelle pour qualifier son maître, c’est un: « grand