Eloge Paradoxal

nous exposé avec éloquence tous les plaisirs de l’inconstance. -Dom juan va présenter un plaidoyer de façon magistral, celui des plaisir de l’inconstance. -marque de la première personne : « je » « moi » b) Eloge paradoxal : - Dom Juan blâme l’amour comique fidèle, prôné par la morale religieuse du début à « sur nos cœur » et loue l’inconstance - Ici on est dans la rhétorique de la persuasion - Commence par réfuter : interrogation

Supériorité de la vertu sur l'amour : · Idéal stoïcien : s'élever au dessus du sort et des sentiments ; reprise de la raison sur la passion. · Eloge paradoxal du sort par Horace : il bénit le sort car c'est ce mauvais sort qui va lui permettre de devenir un héros = Surmoi : instance de la personnalité psychique dont le rôle est de juger le « moi » ==> Horace n'est plus un homme mais un mythe. Paradoxe des deux hommes : · Horace : Héros = spectacle a lui seul. Se montre au grand jour, s'expose

fiancée. LECTURE ANALYTIQUE N°1 « L’éloge de l’inconstance », Dom Juan Acte I, scène 2 : « Quoi ? Tu veux qu’on se lie […] vous parlez comme un livre. » Problématique : Comment Dom Juan expose-t-il ses principes libertins ? I – Eloge paradoxal de l’inconstance 1) Condamnation de la fidélité Dom Juan associe à 2 reprises l’infidélité à la mort : « s’ensevelir dans une passion et de mourir » La fidélité : privation jugée ridicule : « qu’on se lie à demeurer au premier objet qui nous

« Marcher d’un grave pas », Joachim du Bellay Les Regrets Introduction « Marcher d’un grave pas », extrait de Les Regrets de Joachim Du Bellay. Ce recueil fut publié en 1558. Une première partie est consacrée à l’élégie, la plainte et le regret, et une seconde est écrite sur un ton ironique et satirique. Du Bellay écrit ces poèmes durant son séjour en Italie où il se fait observateur de la cour pontificale. « Marcher d’un grave pas » dépeint le portrait du courtisan romain qui repose une satire

physique. Nous nous intéresserons donc aux valeurs portées par Cyrano dans cette tirade en faisant allusion dans un premier temps au blâme qu’il fait de la servitude et en s’intéressant dans un second temps à l’idéal qu’il prône soutenu par un éloge de la liberté. Le blâme de la servitude. Dans cette tirade, Cyrano dénonce la soumission et la servitude en visant principalement les artistes qui se résolvent à cela. De ce constat, Cyrano compare ces artistes, qu’il a donc déjà eu l’infâme

eloge blame Page 1 of 1 L'éloge et la blâme L'éloge et le blâme font partie des stratégies de l'argumentation. L'éloge est un discours dans lequel ou par lequel le locuteur vante les mérites, les qualités de quelque chose ou de quelqu'un. Le blâme est un discours qui vise à exposer et mettre en relief les défauts de quelque chose ou quelqu'un. L'éloge et le blâme s'oppose donc radicalement; les procédés utilisés visent à une valorisation dans le cas de l'éloge et à une dévalorisation

« La cour du Lion » Sa Majesté Lionne un jour voulut connoître De quelles nations le Ciel l'avoit fait maître. Il manda donc par députés Ses vassaux de toute nature, Envoyant de tous les côtés Une circulaire écriture Avec son sceau. L'écrit portoit Qu'un mois durant le Roi tiendroit Cour plénière, dont l'ouverture Devoit être un fort grand festin. Suivi des tours de Fagotin. Par ce trait de magnificence Le Prince à ses sujets étaloit sa puissance. En son Louvre il les

étranger » ligne 108 pour faire croire qu’il ne le connaît pas. Le piège fonctionne, les courtisans posent des questions et sont intrigués→champ lexical de la curiosité (lignes 112,113 et 114). D – Le roi s’adresse à ses proches Au ministre : il éloge le pèlerin et son miroir en utilisant un vocabulaire mélioratif (« extraordinaire » ; « surnaturels ») ligne 116. Il utilise aussi le champ lexical de la magie (« choses étranges » ; « mots chaldéens ») et emploie une gradation ascendante ligne 120

lève : Clindor et ses compagnons se partagent a recette de leur représentation ! Alcandre révèle l’illusion et, par son éloge du héâtre, convainc Pridamant des vertus de cet art. Ce dénouement est double puisqu’il répond à l’exigence réformatrice du théâtre en ransformant Pridamant en même temps qu’il offre aux spectateurs un éloge du théâtre ui-même. lan (ci-dessous) – Eloge du théâtre :         1 – Honneur et grandeur du théâtre : Entretien  ;  divertissement le plus doux  ;  souhait  ; 

« Que dirai-je des Gens de cour ? Il n’y a rien de plus rampant, de plus servile, de plus sot, de plus vil que la plupart d’entre eux, et ils n’en prétendent pas moins au premier rang partout. Sur un point seulement, ils sont très réservés ; satisfaits de mettre sur leur corps l’or, les pierreries, la pourpre et les divers emblèmes des vertus et de la sagesse, ils laissent de celles-ci la pratique à d’autres. Tout leur bonheur est d’avoir le droit d’appeler le roi « Sire », de savoir le saluer en