Eloge En Prose

d'auteur que la critique dite « nouvelle » ait sondé avec une dilection plus fervente que Racine. L'existentialisme a souvent invoqué Pascal. La Rochefoucauld et Retz sont devenus le bréviaire de bien des hommes politiques désabusés. On s'est lassé de la prose qui veut embellir, colorer ou bercer ; on s'est épris d'authenticité, ou de ce fonctionnalisme en littérature qui croit retourner à l'économie des moyens chère aux classiques. Albert Camus écrivait peu avant sa mort : « Je ne connais qu'une seule révolution

livre I avec d’autres personnages (Pierre et Morus (= More lui-même)) et qui décrit dans le livre II l’île dans laquelle il a séjourné pendant 5 ans. De quoi parle-t-il ? de la ville d’Amaurote et de son fonctionnement. Nature du texte : texte en prose. Type de texte : descriptif. Registre : didactique (l’auteur donne des renseignements sur la ville et permet au lecteur de réfléchir sur ce qu’est une société idéale). 1ière partie : une description organisée et précise de la cité : organisée =

l’Esprit (1736) Texte C : Alexandre Dumas, La Dame de Monsoreau (1846) Texte D : Marcel Proust, Du côté de chez Swann, « Un amour de Swann », 1913 A) Derrière ce portrait caractéristique du roman précieux brossé par Melle de Scudéry se cache un éloge de l’une des femmes les plus brillantes de son temps : la marquise de Rambouillet. Cléomire est grande et bien faite ; tous les traits de son visage sont admirables ; la délicatesse de son teint ne se peut exprimer ; la majesté de toute sa personne

genres du réçit : . Apologue : Petit réçit illustrant une leçon morale . Conte : Réçit assez court d'évènements imaginaires et présentés comme tels. Journal : Réçit au jour le jour, de la vie d'une personne par elle même Nouvelle : Réçit assez court en prose. Les genres poétiques : Chanson : Texte en vers destiné à être chanté et composé en général de couplets de refrains. Fable : Petit réçit souvent en vers, accompagné d'une moralité. Les genres théâtraux : Comédie : Pièce de théâtre qui met en scène

] ▪ musicalité qui remplace les rimes Nouvelles normes poétiques : mêle les influences et se permet une grande liberté de ton • « Zone » → thème ville (moderne) + religion (traditionnel) Autre œuvre : Baudelaire : Liberté de ton en écrivant en prose Le Spleen de Paris quelques années plus tôt (1869) Sans virgule on ne sait pas à quoi se rattache en automneC. Présence de la peinture et du dessin Une architecture cubiste : cubisme : mouvement pictural imaginé par Picasso qui consiste

poèmes ms a tjrs été placé en tête d’une édi°. Considéré comme préface, il présente l’œuvre recueil. Ex de P.L : Au lecteur, C. Baudelaire, rec. Les Fleurs du Mal Mal métaphysique : mal ressentit par une âme angoissée par l’absence de Dieu Blason : éloge de la beauté corporelle. A la mode au XVIème ms trouve des traces ds romans courtois du M-Age. Elégie : Poème lyrique dt le ton est le + svt tendre ou triste Déterminisme : XVIIIème, 2 théories :- Rousseau = l’ho nait bon ms la société le perverti

philosophie et la philologie (vise à rétablir le contenu original de textes en corrigeant les sources existantes). -Les écrivains représentatifs : * Pétrarque : (Canzoniere : le chansonnier), un recueil de poèmes lyriques ; * Erasme (Eloge de la Folie), un essai qui influença le monde occidental, un des catalyseurs de la réforme ; * Montaigne (les Essais), il y mêle des réflexions sur sa propre vie et sur l'homme ; * Rabelais (Pantagruel, Gargantua), mêle conte, parodie, épopée

1. Comparer dans les différents textes le rôle du poète et la place qu’il a dans la société des hommes. 2. Quelles sont, selon les auteurs, les différents sources d’inspiration du poète ? 10 Ecriture 15 Invention Rédigez à votre tour, en prose, un éloge de la poésie où vous exposerez, en prenant appui sur vos connaissances personnelles, à la fois les caractéristiques propres de la poésie contemporaine (le genre peut inclure une forme moderne : la chanson d’auteur) et son rôle dans le monde actuel

grande poésie qui vaille, la poésie de célébration, le conduisent à renoncer au "style élevé" : louange et connaissance de la Nature, et de Dieu : cf. sonnets 1 à 8. Il ne lui reste donc que la satire, la "Muse pédestre" selon l'expression d'Horace, mi-prose, mi poésie. Il faudra le retour en France, et la présence retrouvée de Marguerite, pour que Du Bellay puisse à nouveau s'exprimer en langage noble : et ce seront les sonnets encomiastiques, finale flamboyant du recueil. La satire : exemple des Caraffa

anciens, genre bâtard frivole Les romanciers : libres de leurs expérimentations, stratégie d’autodérision dans le discours préfaciel Georges de Scudéry[2] Ibrahim ou l’Illustre Bassa[3] (1642) : préface fondamentale, poétique du roman, épopée en prose I – Le roman de l’âge baroque (premier tiers du 17ème siècle) 4 éléments en commun : - la prolixité : romans fleuves entre 3000 et 7000 pages qui paraissent sur plusieurs années et en plusieurs volumes