Eloge Du Politesse

de la démonstration II- Un éloge paradoxal : 1- éloge de l'hypocrisie : (du vice) Mise en relief : - par l'usage de tournures impersonnelles qui simule un discours moral " c'est ainsi qu'il faut profiter… " - par ton appréciatif : hyperboles " meilleurs " " merveilleux " subjonctif " qu'on puisse " 2- Exhibition du cynisme : (expressions d'opinions, de sentiments destinés à provoquer) ⋄ Hypocrisie (profondément subversif ⋄ Tartuffe) donne vertu (cf. éloge tabac) 3- Métalangage théâtrale :

valet d’Elvire, se lance dans un éloge du tabac incongru avant de rebondir sur la situation de son maître. Quels sont les caractéristiques et les enjeux de cette tirade surprenante ? Nous étudierons dans un premier temps l’éloge paradoxal du tabac ; dans un second temps, nous montrerons que la tirade répond toutefois aux exigences de l’exposition ; nous analyserons enfin les enjeux de ce passage, et l’interprétation que le spectateur est invité à en faire. Un éloge paradoxal La tirade de Sganarelle

curieuse » (l.97-98) « je les écraserais » B) Réactions de Bérenger face à ces transformations: A°Les précautions : -les excuses : platitude de Bérenger devant Jean (lignes 17 et 90). -formules de politesses : « permettez » (ligne 18) ; « devriez » (atténuation) -prudence : emploi du conditionnel (« devriez ») ; modalisation de l’incertitude. -parhomologie : objection précédée par une concession (« cependant…. Vous devriez.. l. 29) B° Discrets

néant à l’égard de l’infini…» Pascal, Pensées « Car être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres ». Nelson Mandela, Discours PROBLEMATIQUE GENERALE : Entre éloge et critique du Savoir et de la Science, le comportement de l’homme est-il toujours responsable ? ŒUVRE INTEGRALE: Lettre ouverte à la jeunesse E. PEPIN« Je ne prétends pas détenir le monopole de la vérité ni celui de la sagesse. Pourtant, je ne

choix “choix”, “grâce”, “volonté”, “spirituelle” = T.D doit + à Argan qu’à son propre père. Implicitement un auto-éloge, T.D pédant Toinette relève ironiquement son comportement scolaire avec “on” = elle attaque derrière, implicitement un compliment et critique son manque de sincérité 3) La validation du Père Diafoirus Remise en valeur de l'autorité paternelle + éloge encadrée par des ? cherchant à la validat° du père “Cela a-t-il bien été mon père ?” = recherchant note, T.D est un

I scène 1 Contexte : Objet d’étude : Le théâtre Registre : Comique Type de sujet : Commentaire littéraire Texte étudié : Dom Juan, Acte I, scène 1 Auteur : Molière (1622, 1673) Le plan du commentaire : I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal 2) Une scène pour exposer la situation 3) Le portrait de Dom Juan II. L’inscription de la pièce dans une idéologie 1) Libertinage et matérialisme 2) L’imitation inavouée du valet 3) La critique implicite de la religion Le commentaire

Qu’est ce qu’un préjugé  ? Y a-t-il de bons préjugés ? Faut-il respecter les traditions ? Penser, est-ce rompre avec les traditions ? Peut-on tout démontrer ? 1° Eloge du préjugé Le jugement réfléchi ne joue qu’un rôle secondaire et limité dans nos conduites. Non seulement on ne peut pas en finir avec les préjugés, mais c’est un préjugé de croire que l’homme peut être un pur esprit sans convictions, intuitions, sentiments, donc sans préjugés. Nos préjugés sont : a) naturels : l’enfant préjuge que

Indiens  Indiens condamnés à être passifs. . « Admirable » : éloge répétée à plusieurs reprises par les français en parlant de leur société  signe d’autosatisfaction  tout est admirable dans la société, aucuns défauts, aucun sens de l’auto critique. .Le mot admirable prend ici le sens de bizarre, étonnant, étrange  Par la répétition du mot « admirable » Montaigne ridiculise les français en usant de l’ironie  ce n’est plus un éloge mais une critique. .La phrase finale n’est pas à prendre au

C/ Le deuxième élément qui encadre le tableau Une réflexion, la morale sous la forme d'un dialogue imaginaire ("peut-être") qui implique directement le lecteur ; vouvoiement tutoiement : étrangeté, mysticité du "vous" : vouvoiement de politesse à un seul lecteur, ou "vous" pluriel qui s'adresse à plusieurs lecteurs ? ; question qui permet au poète d'affirmer son lien avec la réalité et le rapport entre la création poétique et sa propre existence. II - Une réflexion sur la condition

voltigeant, d'excessif et d'un peu frisé […] je proposerais cette définition: le panache c'est l'esprit de la bravoure […] c'est le courage dominant à ce point la situation qu'il en trouve le mot […] plaisanter en face du danger, c'est la suprême politesse, un délicat refus de se prendre au tragique […] c'est la pudeur de l'héroïsme, comme un sourire par lequel on s'excuse d'être sublime […] il est souvent dans un sacrifice qu'on fait une consolation d'attitude qu'on se donne » 1/ Le panache se