Eloge Des Larme

suite, elle acquiert même le statut d’amie : «  c’est l’adieu d’un ami ». -Admiration pour la nature : éloge ( cf. vocabulaire mélioratif + figures d’insistance comme le parallélisme de construction avec l’adverbe modalisateur « si » aux vers 19 et 20 ) Il est en pleine contemplation ( cf. champ lexical «  contemple » « retourne encore » = ne peut se résoudre à la quitter sans verser une « larme » ) -Dans ce sens, le poème ressemble à une déclaration amoureuse. D’ailleurs, le poète utilise des adjectifs

nombreuses répétitions et anaphores : « tes yeux » + v.1 et 4 · Reprise de la tradition du blason médiéval : poème d’amour ; s’adresse à la femme à la 2ème pers. et dès la §1 est présent : 1ère pers. sing.B. Où les yeux représentent la femme aimée· Eloge de ces yeux : pour leur beauté : à travers les métaphores successives : yeux = miroir, ciel, prisme des couleurs, étoile, lavande, minerai (radium et pechblende): utilise leur couleur, leur brillance, leur taille : §7 : écarquille, grands yeux, démesurément ;

une forme de célébration de la femme, où l’auteur ne va vanter qu’une seule partie du corps de la femme. Maurice Scève a écrit cinq blasons pour un concours organisé par Marot en 1536, où il développe le front, le sourcil, la gorge, le soupir et la larme. Cette tradition lyrique va perdurer à travers les siècles, jusqu’au XXème siècle, avec notamment Paul Éluard. Mais ce sont surtout les auteurs du XVIème siècle qui ont inspiré Baudelaire dans les écritures de son œuvre Les Fleurs du Mal Baudelaire

➢ Dorante se confie : « Me disait-il » l.9 Dubois joue un rôle très important vis-à-vis de son maître, c'est pour lui qu’il déploie toute une stratégie pour tenter de faire naître l’amour d’A. II. Dubois un orateur asile et convaincant : A. Une éloge de Dorante • • « c'est le meilleur » - superlatif « il est bien fait, de figure passable, bien élevé et de bonne famille » - Qualité physique - Qualité sociale et d’éducation - Adjectif neutre, Dubois n’exagère pas pour rester crédible ➢ énumération

Mais son talent est véritablement reconnu lors d'un concours lancé par Marot où il compose cinq blasons (rappelons ce qu'est un blason : forme qui apparait au milieu de XVe et qui est un court poème célébrant une partie de l'anatomie féminine) : " la larme ", " le front ", " la gorge "," le soupir " ainsi que " le sourcil " qui lui vaudra la palme décernée par la duchesse de Ferare. A cette époque une autre occasion lui est offerte de montrer son génie avec le tombeau collectif du dauphin, fils de François

sentiments qui existent et développe l’imagination des lecteurs et des auteurs afin d’immortaliser des moments ou des rêves. Sommaire 1. CANTICUS TROILI 2. Amour, divin rôdeur 3. Louise Labé 4. Amour, tu sembles… 5. Les Amours de Psyché - Éloge de l'Amour 6. Pour mademoiselle D. M. 7. Idylle 8. Je t’aime 9. La Dormeuse 10. Phèdre Auteurs. CANTICUS TROILI Si l’amour n’existe pas, O Dieu, alors qu’est-ce que je ressens? Et si l’amour existe, quelle chose est-il

« cachent-ils des éclairs » et aussi « amours violentes ». Mis à part sa souffrance personnelle, l’horreur de la guerre, cette souffrance est très présente comme nous pouvons le voir avec le champs lexical très complet : « mourir, désespérés, chagrins, larme, brisure, douleurs, glaives, pleurs, endeuillé, malheur, hélas, accaparé, poignant, meurt, violentes, feu, brûlé, enflammèrent ». Nous avons étudié la souffrance de la guerre, mais Aragon évoque également les souffrances dues à la guerre. Il évoque

4e réplique, D poursuit ● “une grande brune très piquante” ; grp adjectival mélioratif, superlatif ; éloge prétendante => jalousie● “il fuit”, “pas moyen”, “tromperais”, “son tort”, “mon cœur est parti” ; champ lxcl désespoir, personifica° ; emplifie le désespoir de Do => sentiment de pitié chez A. et amuse ● “n’y a pas”, “je ne puis les aimer” ; négation ; caractère héroïque de Do ● “la larme à l’œil” ; amuse + mm. effet Analyse 2 : 5e réplique, A exprime une forme d’empathie ● “Cela est fâcheux”

Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent L'été taille la nue au tablier des anges Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée Sept glaives ont percé le prisme des couleurs Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs

permet de les faire ressortir. Cependant on peut aussi remarquer que le fait que le parallélisme soit basé sur une négation met plus en valeur ce que le Père Goriot n’a pas fait et non pas ce qu’il a accomplit. De ce fait, son oubli est amorcé dans son éloge funèbre. Le Père Goriot est aussi complètement déshumanisé par la façon dont on en parle. Il est qualifié par les mots « corps », « il », « un homme » ou encore « le bonhomme » répété deux fois. Par ce fait, le Père Goriot n’a plus d’identité. Sa