Éléphant

d’enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant,» De plus, dans le poème, la femme est représentée par le serpent, généralement symbolique d’un animal maléfique. En fait, dans la bible le

démonter avec « belle abandon » et « danse » qui est une antithèse· L’idée de tension revient avec l’idée de poids et de légèreté qui est une autre antithèse· Les groupes de mots « paresse, mollesse » vs « éléphant, fardeau » la renforce aussi · Il y a une nouvelle forme de beau.· Femme devient éléphant-La dynamique descendante est utilisé pour la description du corps.· La femme s’allonge « ton corps se penche et s’allonge » c’est l’idée du mouvement descendant. · Elle semble s’offrir aux désirs

trébuche, jure et braille : « Dieu du ciel, mais cet éléphant, C’est une véritable muraille ! » Le deuxième palpe une défense, S’écrit : « Holà ! Qu’est-ce que c’est ? Si rond, si lisse et si pointu ? J’en mettrais ma main au feu, Ce que j’ai là, sous les yeux, Ressemble bien à un épieu ! » Le troisième s’approche à son tour, Et rencontre, en tâtonnant, La trompe remuante de l’animal Se tortillant dans sa main. « Il me semble que cet éléphant Ressemble à un serpent ! » Le quatrième tend la main Et

• Les dictées du lundi, mardi et jeudi se font sur ardoise. Un élève la fait derrière le tableau ce qui permettra une correction collective avec la participation de chacun. • Le vendredi la dictée fait office de bilan et se fait au propre sur le cahier du jour. La correction peut se faire collectivement. • Chaque mot erroné est à recopier sur la ligne de dessous en entier. A partir de 5 fautes, l’élève recopie la dictée intégralement pour une meilleure lisibilité. Dictées Période 1  Mots

enfants : le groupe des singes, des lions, des éléphants, des chevaux et des hippopotames. Le groupe qui entend son cri doit se lever.Je leur fais écouter des cris d’animaux et les élèves qui entendent « l’animal »de leur groupe se lèvent. Je procède à plusieurs écoutes. Je change les groupes et procède de la même façon.4ème activité : Interprétation d’une comptineJe finis la séance par l’écoute et l’interprétation d’une comptine connue des enfants. « Un éléphant qui se balançait » | | Forme du travail :

Sont deux bijoux froids où se mêle L'or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D'un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je

|Et j'entre au paradis, fleuri de rêves clairs | | |Où l'on voit se mêler en valses fantastiques | | |Des éléphants en rut à des chœurs de moustiques. | | |Et puis, quand je m'éveille en songeant à mes vers, | | |Je contemple, le cœur plein d'une douce

personnes au km2, dont une grande partie se concentre dans les villes. Régions peu habitées, routes et pistes carrossables peu nombreuses et souffrant du climat, entraînent une faible pression sur la nature. Les chiffres parlent d’eux mêmes : 64.000 éléphants, 25.000 gorilles, 35.000 chimpanzés, 680 espèces d’oiseaux, 2 à 3.000 baleines à bosses, 320 espèces d’orchidées et de très nombreuses épiphytes. Des espèces zoologiques très rares au monde tels le gorille de plaine, le singe à queue de soleil,

trébuche, jure et braille : « Dieu du ciel, mais cet éléphant, C’est une véritable muraille ! » Le deuxième palpe une défense, S’écrit : « Holà ! Qu’est-ce que c’est ? Si rond, si lisse et si pointu ? J’en mettrais ma main au feu, Ce que j’ai là, sous les yeux, Ressemble bien à un épieu ! » Le troisième s’approche à son tour, Et rencontre, en tâtonnant, La trompe remuante de l’animal Se tortillant dans sa main. « Il me semble que cet éléphant Ressemble à un serpent ! » Le quatrième tend la

récupérer quelque cellules encore en état de marche et en faire une culture, puis prendre l'ADN d'un des cellules et l'insérer dans une cellule stérile d'un éléphant. Si la totalité de l'ADN du mammouth n'est pas récupérée, il faudrait insérer un ADN partiel dans l'embryon d'un éléphant, dans l'espoir d'obtenir une créature mi-mammouth, mi-éléphant. Pour obtenir une créature plus proche du mammouth, il faudrait faire des croisements sur plusieurs générations. Aux États-Unis, les chercheurs commencent