Éléphant de forêt d'Afrique

oiseaux sont remarquables par leur faculté à voler, à quelques exceptions près (struthioniformes, manchots…), d'autant que cette caractéristique est particulièrement rare chez les vertébrés. Ils peuplent tous les milieux, des glaces de l'Antarctique aux forêts équatoriales et aux déserts. Ce fait a été rendu possible grâce à des adaptations anatomiques, physiologiques et comportementales (en particulier le phénomène migratoire) variées. Toutes ces caractéristiques sont étudiées par les ornithologues.

socioculturelle. Par conséquent, le narrateur-aviateur (notons bien que dans cette situation représentant le monde des enfants) peut attribuer au sémème ‘dessin’ le trait /dangereux/ parce que le lexème illustre un serpent qui avale sa proie – éléphant. Contrairement, les adultes l’interprètent seulement comme un /objet ordinaire/ et donc /non dangereux/. Nous supposons que c’est à cause de tout cela, que les adultes ne comprennent pas dans cette situation particulière le narrateur-aviateur

mots – dans lesquels on entend le son [j] – de la même famille que ceux entre parenthèses. 1 (le vent) Les spectatrices, incommodées par la chaleur, agitaient leur éventail. 2 (le gibier) Tous les chasseurs de la région savent que les sous-bois de la forêt de Blanchot sont giboyeux. 3 (l’envoi) Il y a bien longtemps que mon cousin de Tourcoing ne m’a pas envoyé de ses nouvelles. 4 (un brin) En période estivale, il suffit d’une étincelle sur quelques brindilles pour que le feu prenne. 5 (la cité) Dans

législations spéciales dès 1945. Elles étaient motivées par la nécessité de faire face à certaines situations concrètes ponctuelles et sectorielles. Par ex: la volonté de lutter contre l'érosion avec la protection des forets de montagne et des dunes en 1827 et la création des « forets de protection » en 1922. Autre ex: la protection du voisinage immédiat des ateliers et des usines contre les odeurs les fumés, et les ... .pour répondre à ces situations, on va prendre le décret du 15 oct 1810 sur les

employées comme langue officielle en Amérique (espagnol, portugais, anglais, français) ; ce sont bien évidemment des langues exogènes, même si une part importante du peuplement américain descend de vagues de migrations successives venues d’Europe (et d’Afrique). Réponses aux questions 1. et 2. Un peu plus d’une vingtaine de langues comptent aujourd’hui chacune plus de 50 millions de locuteurs. Parmi elles, sept sont d’origine européenne (espagnol, portugais, français, anglais, néerlandais, russe ; toutes

16h. Entrée gratuite, ex­ position accessible aux PMR. JVE Faire du tourisme en mode “forêt” Province de Luxembourg Guide illustré pour découvrir les massifs forestiers de l’Ardenne. L’ ASBL RND présente un guide touristique dressant le portrait de huit massifs forestiers en Ar­ denne. Objectif: valoriser la grande forêt afin d’en faire un produit touristique à part entière. Et si la forêt devenait une destination touristique à part entière, au même titre que la montagne ou la

comiques. Chaque semaine, on voit arriver des citadins de Vermont et du New Hampshire dévorés par l’appât du gain et de la gloire des grandes pêches. Ce sont pour la plupart des gars jeunes et robustes qui, après avoir abat- – 70 – tu des forêts entières, cherchent à troquer la hache contre le harpon. Ils sont aussi verts que les montagnes dont ils descendent. À bien des égards, on les croirait tout frais sortis de la coquille. Voyez-moi ce gars qui fait la roue, là-bas au coin ! Il porte

Difficulté de lecture : niveau 1 Cette histoire policière raconte comment la reine des fourmis s’est retrouvée prisonnière au muséum et la manière dont le narrateur, fourmi rouge oblige, aidé de son assistant, la délivrera et retournera dans leur forêt tropicale natale. Cet album ouvre de nombreuses pistes de lecture et de relecture : la structure du texte crée un système BROWNE ANTHONY Une histoire à quatre voix Kaléidoscope – 40 p. – 13,60 € L’école des loisirs – coll. Lutin poche 32 p.

dandinant avec grâce. S’il avait pu en tenir un au coin d’une rue, dans l’ombre bien noire, il lui aurait tordu le cou, ma foi, sans scrupule, comme il faisait aux volailles des paysans, aux jours de grandes manœuvres. Et il se rappelait ses deux années d’Afrique, la façon dont il rançonnait les Arabes dans les petits postes du Sud. Et un sourire cruel et gai passa sur ses lèvres au souvenir d’une escapade qui avait coûté la vie à trois hommes de la tribu des Ouled-Alane et qui leur avait valu, à ses camarades

dandinant avec grâce. S’il avait pu en tenir un au coin d’une rue, dans l’ombre bien noire, il lui aurait tordu le cou, ma foi, sans scrupule, comme il faisait aux volailles des paysans, aux jours de grandes manœuvres. Et il se rappelait ses deux années d’Afrique, la façon dont il rançonnait les Arabes dans les petits postes du Sud. Et un sourire cruel et gai passa sur 11 ses lèvres au souvenir d’une escapade qui avait coûté la vie à trois hommes de la tribu des OuledAlane et qui leur avait valu, à ses