Element Interne Et Externe De La Langue Selon Saussure

Social Stratification of English, de 19662. La sociolinguistique étudie la production vivante de la langue -la parole- en société ; contrairement à Saussure, qui est absolument de l’opinion que, puisque la parole n’a pas un statut stable, elle ne peut pas être analysée linguistiquement. D’ailleurs, Labov signale le « paradoxe saussurien »3, car sa théorie est toujours traversée par la réalité de la langue naturelle. Labov n’est pas non plus pour la théorie de Chomsky qui signale l’existence d’une structure

1916). Nous y reviendrons. Dans le processus de la communication, les protagonistes ne sont pas, de façon fixe et définitive, ou émetteurs ou récepteurs. Ils sont à la fois récepteurs et émetteurs. C'est pourquoi nous ne croyons pas à la théorie selon laquelle dans ce schéma de la communication (émetteur - récepteur), l'émetteur est tout puissant par le seul fait que c'est lui qui a provoqué le message, le débat alors que le récepteur serait lui dominé, passif et en état hypnotique, exposé à la

continent américain à la diversité de langues indigènes inconnues plus grande que dans l’Europe occidentale explique en partie les positions radicales du structuralisme américain vis-à-vis du sens, surtout après la Seconde Guerre mondiale2, ainsi que le balancement de la linguistique structurale américaine entre formalisme et anthropologie3. Le structuralisme développé par la postérité bloomfieldienne retient d’abord l’idée que la structure linguistique d’une langue est constituée de strates qui déterminent

linguistique à la pragmatique Le Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure (1857-1913) inau­gure une nouvelle façon de concevoir les faits de langue. Il est à l’initiative d’une nouvelle discipline, la linguistique. Le linguiste construit un objet d'étude spécifique. Dans cette démarche, il distingue dans les faits de langage, carac­térisés par leur hétérogénéité, langue et parole : « En séparant la langue de la parole, on sépare du même coup : 1° ce qui est social de ce qui est indivi­duel

et c’est grâce à cela que l’on a développé une capacité autonome de réflexion, de ce choix ce que l’on appelle la conscience. Mais on dira que l’homme est socialement conditionné mais pas déterminé. Les conduites humaines sont le rapport entre 3 éléments en inter relation 1) Les dispositions génétiques 2) La pratique des relations sociales 3) La conscience (Capacité autonome de choix Conscience) Henry Ey défini la conscience : « La modalité

des signes. Le terme sémiologie a été créé par Emile Littré (1), le terme sémiologie se rapportait, Pour lui, à la médecine plutôt à une discipline de la médecine qui traite des signes des maladies. Il a ensuite été repris et élargi par Ferdinand de Saussure, pour qui la sémiologie est « la science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale » (Cours de linguistique générale, p. 33). Le terme sémiotique, inventé par Charles Sanders Peirce (2) quelques années auparavant, recouvre la même

ECU E13 SLM CM – Christelle DODANE Introduction à la phonétique Version du 30/10/2006 Bibliographie Landercy, Albert et Renard, Raymond (1977). Eléments de Phonétique. Bruxelles : Didier, 270 p. Léon, Pierre (2005). Phonétisme et Prononciation du Français. Paris : Armand Colin, 192 p. Munot, Philippe et Nève, François-Xavier (2002). Une Introduction à la Phonétique. Liège : Editions du Céfal, 212 p. Vaissière, Jacqueline (2006). La Phonétique. Paris : Presses Universitaires de France, collection

entre « langue » et « parole » dans la conception de la linguistique de Saussure Selon Saussure la langue est constante et commune à tout ceux qui la partagent et la langue est un principe propre à chaque individu, variable et permet la différenciation de chacun dans leur façon de parler. Pour lui, le langage est constitué de la langue et de la parole 3) Définir la notion de « signe linguistique » dans la conception de la linguistique de Saussure Le signe linguistique selon Saussure est une

 Sociolinguistique clara.mortamet@univ-rouen.fr Chap. 1 : Le point de vue des linguistes sur la langue et la variation Chap. 2 : L’objet de la sociolinguistique. W. Labov Chap. 3 : La variation en français, exemples de quelques études Bibliographie : - Que sais-je ? La sociolinguistique Louis-Jean Calvet. - Bernard Gardin, J.B Marcellesi, Louis Guespin, Introduction à la linguistique, 1987 - M.L Moreau, 1997, Sociolinguistique : concepts de base. - Labov William, 1976, Sociolinguistique Chapitre

secondaire : groupe plus vaste mais les relations avec les individus ne sont pas immédiates. Socialisation : processus par lequel l’individu fait l’apprentissage des normes et des valeurs du groupe. L’individu intègre de façon inconsciente tous les éléments nécessaires pour devenir un membre du groupe à part entière : - Acquisition d’une culture : langage, manières de vivre, de se tenir, gestes… Notion d’habitus de Bourdieu : cette culture se transmet et se transpose à l’identique d’un milieu