Élection présidentielle française de 2002

ou encore sur des votes et/ou des élections. Les élections Les élections présidentielles sont un moment clé de la vie démocratique de la France, le président de la République est élu au suffrage universel direct. Participer à l'élection du président de la République n'est pas la seule façon qu'a le citoyen de participer à la vie politique de son pays. Il peut par exemple adhérer à un parti politique, et se présenter comme candidat à toutes les élections, cantonales, municipales, législatives

présidentialisation, il propose une réflexion sur l’enracinement de deux partis dominants en France. Depuis 1962 et encore plus depuis 2002 et 2007, il explique la dynamique de cette dichotomie. Il paraît ainsi important d’examiner l’évolution du bipartisme. Celui-ci aurait relevé trois défis que nous pourrons expliciter : la dynamique du système institutionnel, la dynamique électorale aux élections nationales et la présidentialisation des deux partis seront donc les thèmes exposés dans cette analyse. I) La dynamique

LE FRONT NATIONAL Le Front national, créé sous le nom de Front national pour l'unité française (FNUF). Situé à l'extrême droite de l'échiquier politique par la plupart des observateurs politiques. Fondé en 1972 par Jean-Marie Le Pen et présidé depuis le 16 janvier 2011 par Marine Le Pen. C’est un parti conservateur de vieilles valeurs françaises. I. L’HISTOIRE DU PARTI Le Front National est l’un des partis politiques les plus influents de France. Mais il est très difficile de

présidé, depuis le 16 janvier 2011, par Marine Le Pen. Son nom complet, à l'origine, était Front national pour l'unité française (FNUF). Le 5 octobre 1972, Jean-Marie le Pen, ancien jeune député de France en 1956, fonde un parti d'extrême droite nommé: Front National. Il est soutenu par le mouvement "Ordre Nouveau", dont il a été le directeur de campagne pour les élections présidentielles de 1965. logo : flamme tricolore, reprise du logo du Movimento Sociale Italiano (MSI) (-> parti néo fasciste italien)

Introduction : Actuellement, la droite française est réunit au sein d’un même parti, l’UMP, mais ça n’a pas toujours été le cas. En effet, sous la Vème République de nombreux partis se sont succédé. La droite française a-t-elle toujours été subdivisée ? La vie politique de la droite française sous la Vème République est fractionnée. En effet, de 1958 à 2002, la droite en France est agrémentée de plusieurs partis qui se succèdent, mais en 2002, la droite s’unit au sein d’un seul et

La présidence de la République est la plus haute fonction du pouvoir exécutif de la République française. La République française ne s'est dotée d'un président qu'à partir de 1848 (sous la IIe République). Depuis lors, cette fonction a été assumée par vingt-trois présidents, qui ont constitué les chefs de l'État français de 1848 à 1852, de 1871 à 1940 et de 1947 à nos jours, sous les IIe, IIIe, IVe et Ve Républiques. Ils ont tous résidé au Palais de l'Élysée à Paris, à l'exception d'Adolphe Thiers

Pensée pour être un compromis entre régime présidentiel et parlementaire, la Vème république a su s’adapter et survivre à trois cohabitations malgré des critiques et des tensions. Problématique : Comment le régime de la Vème République est-il parvenu à survivre à son fondateur et à s’inscrire dans la durée en s’adaptant aux mutations de la société française ? On s’attachera à présenter la République gaullienne et la mise en place du régime présidentiel entre 1958 et 1969, pour mettre en évidence

Kurtis, DEROUICHE Rostan, DIALLO Idiatou, DURANT Lucie, BAKHAOUCH Nisrine «  Il n’y a pas de bonne loi électorale  » déclarait l’ancien président de la République, François MITTERRAND dont les deux mandats présidentiels ont duré 14 ans du 21 mai 1981 au 17 mai 1995. En effet, les systèmes électoraux ont tendance pour la plupart à mener à une surreprésentation des grands partis et à une sous-représentation des petits partis comme confirmé dans le livre de Douglas

l’élection présidentielle de 1969. Surprise sans précédent dans l’histoire électorale de notre pays, ce « séisme politique » cache de nombreuses évolutions électorales tout aussi spectaculaires. La participation subit un nouveau recul pour tomber à son niveau plancher (71,6 % des inscrits) depuis l’institution de l’élection du président de la République au suffrage universel direct. Robert Hue obtient le plus mauvais score d’un candidat du Parti communiste au premier tour d’une présidentielle (3,4 %

démocraties modernes.« Voter lors est un droit mais aussi un devoir civique, telle est la phrase que l’on retrouve sur la carte electorale française, que tout citoyen devrait avoir en sa possession. Dans le domaine électoral, l’abstention est le non-vote. Il consiste pour les électeurs inscrits sur les listes électorales à ne pas voter lors d’une élection ou d’un referendum. On distingue deux types d’abstention : l’abstention ponctuelle volontaire ou non (maladie, absence le jour de vote), et