Eh, Eh

unes par rapport aux autres, rendues par le contraste des couleurs pures On peux voir 3 formes : une grande noire, avec une guitare dessus, il y a egalement une forme verte ressemblant à une personne et avec une forme jaune... he ht ht he eh eh eh eccvvvvvvvvvvvv r re qbzrgz egzfz ar gdfffffffffffff fffffffffffffssssssssssss zzzzzzzzzzzzz zzzzzzzzzzg e Le fond du tablaeau est un espace laissé vide qui permet de faire apparaître le support blanc. Saforme est rectangulaire. On peux voir

alors une description d'un "nègre étendu par terre, n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. " apparaît ainsi la pauvreté de sa condition ! "Eh, mon Dieu !( ...) que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ?" montre l'indignation de Candide "mon ami" démontre la bonté de Candide qui le traite d'égal à égal ceux-ci est renforcé par le fait qu'il le tutoie ! " c'est l'usage

: "Pourquoi te mets-tu en colère ?" Il répondit : "Parce que le réveillon m'a joué le plus sale tour du monde, et que j'ai gardé une insurmontable horreur pour cette nuit stupide de gaieté imbécile. - Quoi donc ? - Quoi ? Vous voulez le savoir ? Eh bien, écoutez : Vous vous rappelez comme il faisait froid, voici deux ans, à cette époque ; un froid à tuer les pauvres dans la rue. La Seine gelait, les trottoirs glaçaient les pieds à travers les semelles des bottines ; le monde semblait sur le point

Ecrit par Moliere, satire du courant précieux. Acte 1 scène 4. DU CROISY: Seigneur la Grange... LA GRANGE: Quoi? DU CROISY: Regardez-moi un peu sans rire. LA GRANGE: Eh bien? DU CROISY: Que dites-vous de notre visite? en êtes-vous fort satisfait? LA GRANGE: À votre avis, avons-nous sujet de l'être tous deux? DU CROISY: Pas tout à fait, à dire vrai. LA GRANGE: Pour moi, je vous avoue que j'en suis tout scandalisé. A-t-on jamais vu, dites-moi, deux pecques provinciales faire

SCÈNE III Dans la maison de Capulet. Entrent lady Capulet et la nourrice. Lady Capulet. – Nourrice, où est ma fille ? Appelle-la. La Nourrice. – Eh ! par ma virginité de douze ans, je lui ai dit de venir… (Appelant.) Allons, mon agneau ! allons, mon oiselle ! Dieu me pardonne !… Où est donc cette fille ?… Allons, Juliette ! Entre Juliette. Juliette. – Eh bien, qui m'appelle ? La Nourrice. – Votre mère. Juliette. – Me voici, madame. Quelle est votre volonté ? Lady Capulet. – Voici la chose… Nourrice

Acte I, scène 14 (extrait) DUBOIS - Eh ! par quel tour d'adresse est-il connu de Madame ? comment a-t-il fait pour arriver jusqu'ici ? ARAMINTE - C'est Monsieur Remy qui me l'a envoyé pour intendant. DUBOIS - Lui, votre intendant ! Et c'est Monsieur Remy qui vous l'envoie : hélas ! le bon homme, il ne sait pas qui il vous donne ; c'est un démon que ce garçon-là. ARAMINTE - Mais que signifient tes exclamations ? Explique-toi : est-ce que tu le connais ? DUBOIS - Si je le connais, Madame

n'avez pas déjeuné. Vous êtes resté le coeur à jeun sur cette maudite lettre de change; avalons-la de compagnie, je vais demander le chocolat. Il sonne. On sert à déjeuner. VAN BUCK Quel déjeuner ! Le diable m'emporte ! tu vis comme un prince. VALENTIN Eh ! que voulez-vous ? quand on meurt de faim, il faut bien tâcher de se distraire. Ils s'attablent. VAN BUCK Je suis sûr que, parce que je me mets là, tu te figures que je te pardonne. VALENTIN Moi ? pas du tout. Ce qui me chagrine, lorsque vous êtes

LES FOURBERIES DE SCAPINLES FOURBERIES DE SCAPIN Comédie ACTEURS ARGANTE, père d'Octave et de Zerbinette. GÉRONTE, père de Léandre et de Hyacinte. OCTAVE, fils d'Argante, et amant de Hyacinte. LÉANDRE, fils de Géronte, et amant de Zerbinette. ZERBINETTE, crue Égyptienne, et reconnue fille d'Argante, et amante de Léandre. HYACINTE, fille de Géronte, et amante d'Octave. SCAPIN, valet de Léandre, et fourbe. SILVESTRE, valet d'Octave. NÉRINE, nourrice de Hyacinte. CARLE, fourbe

je traverse une rue de Paris, pas loin de la place d'Italie. Un type passe en voiture : " Eh, petit nègre ! " C'était un Français. Alors, je lui dis : « Le petit nègre t'emmerde ! » Le lendemain, je propose à Senghor de rédiger ensemble avec Damas un journal : L'Étudiant noir. Léopold : « Je supprimerais ça, on devrait l'appeler Les Étudiants nègres. Tu as compris ? Ça nous est lancé comme une insulte. Eh bien, je le ramasse, et je fais face. « Voici comment est née la  négritude », en réponse à

fois qu’il m’arrive bonheur…Maudit sois-tu de m’ôter cette joie!) et c’est pour cela qu’il veut être l’assassin par-dessus de tout ce que Don Ruy Gomez lui offre (tu n’as rien. Eh bien tout, fiefs, châteaux, vasselages…), il prête à donner sa vie après avoir réussi la vie du roi (Ma vie à vous, la sienne à moi, la vie! Eh que m’importe! Je tiens ma vengeance…) On trouve aussi des traits religieux : les saints nous protégèrent! Dieu nous garde! Ils utilisent le nom de Dieu pour justifier