Effets Négatifs Concentration Des Entreprises

chapitre 1 Cours «système entreprise » EEW1 1. Commentaire à propos de l’annexe n°2, p. 13 Dans ce texte récent « la croissance ne fait pas le bonheur » publié dans la revue Alternatives économiques, Jean Gadrey, célèbre économiste français, livre une réflexion sur le thème de la croissance. Sa thèse centrale est de montrer en quoi la croissance n’est pas qu’un phénomène quantitatif. Il souligne à cette occasion les limites des indicateurs traditionnels tels que le PIB. En effet, le PIB ne permet pas

concurrence tout en règlementant les rivalités qu'il peut y avoir entre entreprises (agents économiques). C'est l'ensemble des règles juridiques qui évitent et répriment les pratiques qui faussent le libre jeu de la concurrence. Le droit de la concurrence a comme orientation d'équilibrer le marché. Pour cela, le droit va parfois stimuler la concurrence. Exemple : en forçant l'accès à tous les marchés, il interdit aux entreprises de fixer des limites à l'entrée (label non justifié…). Parfois, le DDLC

offreurs comme les demandeurs sont preneurs de prix. En réalité les entreprises cherchent à acquérir un pouvoir de marché et cherche à fixer leur prix.Le pouvoir de marché : désigne une situation qui permet à une entreprise d’influencé par son comportement la détermination d’un prix ou les quantités d’un bien échanger sur un marché. L’objectif est d’obtenir le profil le plus élevé.Monopole : situation dans laquelle une entreprise est seul sur son marché. Les conditions d’atomicité et de libre entrée

Exposé droit des investissements. Séance 6 L’arsenal juridique peut-il endiguer les effets néfastes des investissements 2012 HIBA CHERQAOUI /BENSAID KENZA EGE rabat encadré par Monsieur Khalid MOUKITE 04/12/2012 Introduction : Que ce soit concernant les pays en développement, ou encore les économies Émergentes ou même les pays qui sont en transition, l’investissement s’avère être une Source primordial et nécessaire non seulement au développement économique mais aussi à la modernisation

Section 2 : Les Marchés et les opérateurs concernés : Entreprise : Se définit à partir de la notion d’activité économique et plus précisément la participation au M. C’est donc un opérateur public ou privé qui agit sur le M ayant un but lucratif. De plus ce qui est important comme critère c’est le but visé par l’entreprise. En gros y’a pas de définition universelle car ca dépend des différents critères. Les entreprises qui ont un but non lucratif c'est-à-dire agissant sous le principe de la solidarité

5 B. Règle contre les abus de position dominante 5 1. L'article 82 Traité EU 5 2. Le principe 6 3. Exemple de mesure contre les abus de position 6 C. Contrôle des concentrations d’entreprises 6 1. Le Règlement n°4064/89 6 2. Le principe 7 3. Exemple de mesure contre les concentrations d'entreprises 8 D. La libéralisation 8 1. L'article 82 du traité EU 8 2. Le principe 9 3. Exemple d’action de la Commission Européenne 9 E. Le contrôle des aides

permettent de classer les entreprises ? Les entreprises se différencient par leur taille, leur forme juridique ou l’activité qu’elles exercent A/ SELON LA TAILLE 2. Quels critères retient-on pour mesurer la taille d’une entreprise ? Effectif, chiffre d’affaires, valeur ajoutée, bénéfices, capitaux propres, part de production exportée 3. Quels sont les 2 critères les plus utilisés ? Effectif, chiffre d’affaires 4. Comment classe-t-on les entreprises selon l’effectif ?

cette politique, il convient d’analyser comment les entreprises cherchent à acquérir plus de part de marchés pour réaliser davantage de profit, aux travers de comportements et de pratiques illicites ou restrictives, sans se sourcier au demeurant des consommateurs. Nous verrons donc dans une première partie (A) comment s’exerce la politique européenne de la concurrence aux travers des comportements et pratiques anticoncurrentielles des entreprises constituées par les ententes, les abus de position

d'oligopole expliquant le commerce intra-industrie de produits homogènes. En utilisant une base de données sur les échanges réalisés au sein du secteur pétrochimique entre l'Allemagne et les Etats-Unis, il teste empiriquement ce modèle afin de valider les effets théoriques mis en évidence. Son expérience, qui se révèle être plutôt concluante, ouvre ainsi la voie vers de nouvelles théories positives des échanges intra-industrie, dans le cadre du mouvement de la « nouvelle économie industrielle ». 1. La

Revue de la littérature…………………………………………………………….5 Section 2 : Flux et évolution des IDE dans la zone Med……………………………………19 Chapitre II : Les effets des IDE sur la croissance de la zone Med Section 1 : Revue de la littérature sur les effets des IDE dans les pays en développement…34 Section 2 : Modèle économétrique…………………………………………………………..41 Section 3 : Résultats : Effets directs et indirects…………………………………………….46 Section 4 : Contribution des IDE à la croissance de la zone Med…………………………...55 Conclusion générale…………………………………………………………………………