Effets Negative Et Positive Des Gains De Productivité

des facteurs de production (capital et travail) - La croissance intensive résulte de l’amélioration qualitative des facteurs de production (par ex : formation de la main d’œuvre, équipement plus performant), et elle est la conséquence des gains de productivité induit par le progrès technique. è Croissance nominale et croissance réelle - La croissance nominale ou en valeur est la croissance évaluée à partir du PIB en euros courants ou en euros de la période en cours. Dans cette évaluation nominale

FAIBLESSES -Nécessité de sécuriser les transactions. -Rentabilité négative jusqu'en 2002. FAIBLESSES -D’où un effet de dispersion des énergies et des ressources. -Faible publicité : surtout bouche à oreille. -Nécessité de réadapter les stratégies : coût financier trop élevés. -Stratégie de diversification produit : essai de mettre en place une stratégie liée, mais parfois les produits ne conduisent pas à des retombés positives en termes financiers. -Stratégie de diversification : achat d’entreprises

rigides. Une des premières règles adoptées : protection douanière (protectionnisme) dans le domaine agricole. Tarif Méline. Paul Bairoch est convaincu de l’efficacité de ces mesures. Bilan nuancé : deux effets contraires : si on protège les agriculteurs, on protège leurs revenus, donc leur conso. Effet négatif : si on protège une profession, on freine la réallocation des ressources, des facteurs de prod, en K et en L AU lieu de libérer des facteurs dans un secteur relativement obsolète, ils ne pourront

deuxième étape, le notaire établit un bilan complet du patrimoine du défunt, listant les biens (comptes bancaires, valeurs mobilières, mobilier, immeubles) et leur valeur, ainsi que les dettes pour évaluer l'actif et le passif de la succession. À cet effet, comme les proches et les membres de la famille doivent lui communiquer l'ensemble des documents (titres de propriété, relevés bancaires, livrets d'épargne, factures), cette étape ne sera effective qu'en créant un climat de confiance. Dans la troisième

déficit. Chaque année les états émettent des emprunts: les bons de trésor qui sont garantis, les intérêts sont connu à l’avance sur une longue période. Ce sont des produits sûr. Le problème c’est que chaque année l’état s’endette d’avantage donc effet boule de neige. Dette de l’état: 80% du PIB mais tout les états sont dans la même situation. Remarque: La cohérence des agrégats économiques. Quand on prend le PIB c’est un agrégat éco car il faut agréger les Valeurs Ajoutées produites dans le

protestante du 15e siècle. L’Etat est représentant de l’intérêt général. L’individualisme est légitime (taxes pour l’état) et le Royaume doit être le plus peuplé. Trois idées centrales : - Interventionnisme et protectionnisme : balance commercial positive - Afflux de monnaie bénéfique pour le pays : taxes pour l’Etat, la production nationale stimulée (autofinancement des investissement) et baisse du taux d’intérêt. - Taux d’intérêt fixé au plus bas pour motiver les investissements des entreprises

l’effet-substitution souligne l’impact net négatif de l’IDE sortant pour le pays d’origine, l’effet-revenu met en lumière, via l’élargissement des marchés et des ventes, les implications positives de l’implantation à l’étranger pour le pays d’origine. Le rapport étudie de près sous quelles conditions l’un des deux effets l’emporte sur l’autre. Il apparaît en particulier que leur combinaison diffère selon que l’implantation est réalisée dans un autre pays développé ou bien dans un pays à bas salaires.

temps…) qu’il est matériellement impossible de répondre à tous les besoins de chacun. Il faut donc faire des choix. Chaque individu le ressent également à son échelle. Il n’est pas possible de satisfaire ses désirs au-delà de ressources financières. En effet, les besoins sont en général supérieurs aux revenus. La rareté économique est une situation dans laquelle un bien existe dans des quantités qui ne permettent pas de satisfaire toute la demande. B - LE PROBLEME ECONOMIQUE : LES CHOIX FONDAMENTAUX

étaient une demande homogène et une croissance régulière, n’a pas été en mesure de faire face à l’incertitude de ce nouvel environnement. Il sera donc progressivement délaissée au profit d’un nouveau système productif flexible : le Toyotisme. En effet, le comportement du consommateur a fortement évolué durant ces dernières années, ce qui a entraîné d’importantes évolutions de la demande. Plus volatile et moins fidèle, elle devient par conséquent plus difficile à anticiper quantitativement, tendance

(approche libérale : la crise est utile, l’état assure ses fonctions régaliennes), et d’autre part, une approche keynésienne : la crise économique a les conséquences sociales très négatives, donc, l’état doit intervenir à travers la politique budgétaire. Ne pas confondre le déficit public et la dette publique : quels sont les effets de la crise sur les finances publiques ? La situation des finances publiques avant la crise ? Quel est le résultat de la crise ? Le cas de la France par rapport aux autres