Effets Negative Et Positive Des Gains De Productivité

INTRODUCTION : LE CONTEXTE : LA PENSEE KEYNESIENNE ET LA CRISE DE 1929 PARTIE I. HARROD ET L’INSTABILITE DE LA CROISSANCE A.) Le taux de croissance garanti B.) Le fil du rasoir C.) Le taux de croissance naturel PARTIE II. DOMAR ET LES 2 EFFETS DE L'INVESTISSEMENT A.) La double nature de l’investissement 1) L’effet "capacité" de l’investissement 2) L’effet "revenu" de l’investissement B.) La difficulté d'atteindre une croissance de plein emploi CONCLUSION INTRODUCTION :

la croissance économique dépendait de la VA dégagée par l’industrie et la construction, les services… Après ceci, changement : emploi tertiaire et salarié (grâce au choc pétrolier de 1974 : avant croissance s’appuyait sur les gains de P (par l'augmentation de la productivité durant la période étudiée) qu’ils étaient beaucoup plus soutenues. -changement du rôle des femmes : féminisation de l’emplie, changement de la place de la femme dans la société car les femmes rentrent dans le marché de travail

corporels ou incorporels) pour lui permettre de réaliser son activité d’exploitation et générer des gains ultérieurs. On distingue l’investissement matériel de l’investissement immatériel : • L’investissement matériel, composé de biens corporels permet : - d’augmenter les capacités de production (investissement de capacité) - de moderniser l’appareil de production (investissement de productivité et de modernisation) - de remplacer un matériel usé ou démodé (investissement de renouvellement)

nous agissons lorsque nous dormons et des réflexes. On s’intéresse aux comportements choisis à la fin est une conséquence des effets parfois non recherché c’est une externalité de notre action un impact sur d’autres humains. Les conséquences peuvent être positives ou négatives. L’individualisme méthodologique de Schumpeter pour une pratique très ancienne. Analyse positive, question de faits conséquence qui résulte à distinguer d’une analyse normative (ce qui devrait être). L’homme agit et choisit

dernière partie comporte quelques conclusions. publique Situation actuelle La crise financière, qui a éclaté au cours de l’année 2007 et s’est intensifiée en 2008, et la récession économique qui s’en est suivie ont eu des conséquences négatives très importantes sur les finances publiques de la plupart des économies avancées. En particulier, le taux d’endettement de nombreux pays a connu une nette augmentation. Au sein de la zone euro, le taux d’endettement devrait passer de 66,2 %

temps partiel, intérim, CDD, apprentissage, contrats aidés… Le développement des emplois atypiques conduit-il à l’équilibre parfait du marché du travail et donc au plein emploi ? Dans un premier temps, nous étudierons les conséquences positives du développement de nouvelles formes particulières d’emploi sur le fonctionnement du marché du travail. Ensuite, nous expliquerons que le développement de la flexibilité dévalorise l’emploi et nuit au plein emploi. D’abord nous allons analyser

un phénomène quantitatif de long terme. Synthèse : Au cours du XXe siècle, la croissance économique a généré dans les pays qu’elle a touchés, des changements économiques et sociaux fondamentaux dans toute la société. La croissance n’est en effet pas répartie identiquement dans tous les secteurs de l’économie ; certains secteurs connaissent une croissance plus forte que d’autres. Par conséquent, la croissance s’accompagne d’une évolution de la structure sectorielle de l’activité et des emplois

{text:list-item} {text:list-item} A la fin du mois d’octobre 1998, le nombre de chômeurs est passé en dessous de la barre des trois millions. Le taux de chômage est passé de 12,5 % en 1997 à 11,6 % de la population active en âge de travailler. En effet, pendant le premier semestre 1998, on observe une accélération de la baisse du nombre de chômeurs au sens du BIT, soit une décrue d’environ 120 000 personnes. Cette diminution du nombre de chômeurs, qui poursuit une tendance à la baisse observé au

émise par la banque centrale dont l’utilisation par les agents économiques repose sur la confiance qu’elle sera acceptée partout et par tous. Billets, pièces … 5 Peut on dire de la monnaie scripturale qu’elle est aussi une monnaie fiduciaire ? En effet, la monnaie scripturale n’est acceptée en tant que tel par les agents économiques que dans la mesure où ils ont confiance dans la capacité des banques à la transformer en monnaie fiduciaire à tout moment en cas de demande. B) En quelle quantité

1991 a été de 12,131 MD contre 10,990 MD en 1990. Calculons le taux d’accroissement du PIB en 1991 aux prix courants. Soit : (PIB 1991 - PIB 1990) = 10.4 % PIB 1990 Ce taux n’est pas significatif car il comporte des effets de la hausse des prix entre 1990 et 1991. En effet, la croissance économique peut être faussée par l’augmentation des prix. Il nous faut donc le PIB de 1991 aux prix constants de 1990. Les statistiques nous donnent ce PIB 1991 (prix constants de 1990) = 11,375 MD D’où