Éduens

les Gaulois avant la conquête romaine vient du philosophe et historien grec Posidonius, venu à Rome en 80 avant notre ère et ayant effectué des voyages en Gaule. La Gaule au Ier siècle avant J.C. est composée d'une soixantaine de peuples distincts (Eduens, Arvernes, Canutes, Vénètes, etc.) localisés sur des territoires nettement délimités, généralement correspondant à des régions naturelles. Disposés de la Garonne au Rhin, ils forment autant d'unités politiques, économiques et militaires. Aucun de

magistrat suprême peut être désigné pour un an par élection (Éduens). L'instauration de tel ou tel type de régime peut être déterminée par les rapports de force qui existent au sein de la noblesse d'un peuple entre différents partis : - d'un côté les tenants d'un ordre aristocratique ancien, qui s'appuient sur de vastes réseaux de clientèle, peuvent entretenir des armées privées et sont parfois tentés par le pouvoir royal (Dumnorix chez les Éduens) - d'un autre côté, les représentants de vieilles familles

La future Gaule ne se présentait pas comme un territoire fermé et impénétrable. Longtemps avant que Jules César n'intervienne dans ces territoires certaines tribus entretenaient des relations avec Rome, nous pensons en particulier à la tribu des Eduens. Il convient donc de souligner que l'influence romaine a été précoce dans le territoire de la future Gaule. Vers l'an 118 avant notre ère fut créée la province de la Narbonnaise qui correspondait à la Provence actuelle. Ce premier point de fixation

de la Celtique » (Patrice Brun) se font enterrer avec armes et chariots d'apparat, comme à Vix en Côte-d'Or (-550 à -450) (Bourgogne). char gaulois d'apparat Selon Tite Live, les surabondantes populations des guerriers des Bituriges, Arvernes, Éduens, Ambarres, Carnutes et Aulerques sous la conduite du légendaire biturige Bellovesos envahissent la plaine du Pô et se joignent aux Insubres tribus celtiques qui fondent vers -600 Mediolanum (Milan). Conséquemment au climat vers la fin de l'âge

du donjon de son château pour y considérer, un tantinet soit peu, la situation historique. Elle était plutôt floue. Des restes du passé traînaient encore çà et là, en vrac. Sur les bords du ru voisin, campaient deux Huns; non loin d'eux un Gaulois, Éduen peut-être, trempait audacieusement ses pieds dans l'eau courante et fraîche. Sur l'horizon se dessinaient les silhouettes molles de Romains fatigués, de Sarrasins de Corinthe, de Francs anciens, d'Alains seuls. Quelques Normands buvaient du calva.

César les poursuit jusqu’à engager le combat, sans vouloir répondre aux demandes de paix des Helvètes. Il considère la menace trop importante (notamment autour de la ville de Toulouse), livre bataille et neutralise les Helvètes. En même temps, les Eduens, amis des Romains, viennent trouver César et se plaignent de l’invasion des Germains (les Suèves) sous les ordres d’Arioviste. Après l’échec des pourparlers entre le proconsul et le chef des Suèves, les germains sont repoussés, Arioviste parvient

étrange de la part de Jules César en raison de l’étendue des forêts où poussaient le hêtre, le chêne, le pin et le sapin. Les Éduens, Bituriges, Séquanes, Arvernes, Lingons, Carnutes, Cadurques, etc., faisaient partie des «Gaulechevelue», une dénomination étrange de la part de Jules César en raison de l’étendue des forêts où poussaient le hêtre, le chêne, le pin et le sapin. Les Éduens, Bituriges, Séquanes, Arvernes, Lingons, Carnutes, Cadurques, etc., faisaient partie des «Gaulois chevelus»[/b] 2.2 La

été rois chez eux. Claude dit aussi « magistrats plébéiens après les magistrats patriciens, des magistrats latins après les plébéiens… ». Il nous explique que le « discours du prince fut suivi par une loi » qui donnent le droit d’êtres sénateurs aux Eduens. La citoyenneté romaine accorde moins de privilèges que la citoyenneté athénienne. A Athènes il y a un service militaire contrairement à Rome où il n’y en a pas. Tous les citoyens romains ne sont pas présents à l’assemblée, mais à Athènes, tous

Gaulois n'était pas de droit, mais simplement de fait. Claude répondait à une requête du Conseil des Trois Gaules, lui demandant d'ouvrir les magistratures et le Sénat romains aux notables de la Gaule chevelue. Les Gaulois obtinrent satisfaction : les Éduens d'abord, puis tous les peuples de la Gaule chevelue. Gravée à Lyon et exposée dans le sanctuaire fédéral des Trois Gaules, la Table claudienne rappelait la générosité de Claude et témoignait de la reconnaissance des notables de la Gaule chevelue

Gaulois n'était pas de droit, mais simplement de fait. Claude répondait à une requête du Conseil des Trois Gaules, lui demandant d'ouvrir les magistratures et le Sénat romains aux notables de Gaule chevelue4. Les Gaulois obtinrent satisfaction : les Éduens d'abord, puis tous les peuples de la Gaule chevelue. Gravée à Lyon et exposée dans le sanctuaire fédéral des Trois Gaules, la Table claudienne rappelait la générosité de Claude et témoignait de la reconnaissance des notables de la Gaule chevelue