Economie épargne Et Dépenses D Investissement

CROISSANCE ET AUSTERITE Que comprendre de la rigueur budgétaire et de la croissance économique en Europe et dans les Pays En Développement (PED)? Pour soigner leurs économies touchées par les crises d’endettement depuis 1982, les PED ont mis en pratique les politiques d’ajustement structurelles élaborées par les institutions financières internationales avec des actions concrètes comme : rigueurs budgétaires, réduction de subventions aux productions agricoles, élimination de règles qui freinent

agents dont les dépenses sont inférieurs à leurs recettes Besoin de financement : Investissement supérieur à leur épargne Financement interne : utilisation de sa propre épargne Financement externe : appel à d’autres agents II. Le financement interne ou l‘autofinancement Déf : L’autofinancement se compose de la partie non distribuée du bénéfice ainsi que des amortissements et des provisions d’une période. Le financement interne est mesuré par le taux d’autofinancement = épargne brute / montant

keynésienne domine la pensée économique à partir de la fin de la seconde guerre mondiale. Selon lui, la théorie néoclassique (qui dominait auparavant) est un cas particulier d’équilibre de plein-emploi relevant d’une théorie plus générale d’une économie monétaire de production. À partir de la seconde guerre mondiale, l’étude de la théorie générale montre qu’il existe des ambiguïtés dans l’analyse keynésienne qui permettent des compromis avec la théorie néoclassique : ( Il apparaît la possibilité

pr l’Etat, les adm sociales, les adm locales et l’UE > Les opérations financières. = Opérations de créances et dettes entre les agents en besoin et les agents en capacité de financement. Epargne brute = Revenus disponibles – consommation finale Epargne financière = Epargne brute - Investissements Si l’épargne financière est : ➢ Positive, il s’agit d’une capacité de financement. ➢ Négative, il s’agit d’un besoin de financement. Conclusion Circuit économique ouvert par le commerce

qui va rendre possible l'égalité entre épargne et investissement. Unicité de l'équilibre qu'il faut montrer =) fonction continu croissance et fonction continu décroissance Confrontation abstraite Marché: fond prétable et fond empruntable gouverné par les variations des taux d'intérêt Fonction d'épargne: a quel moment l'individu détermine son épargne? Néoclassique = épargne= utilisation du R 2 modalités de l'utilisation du R : conso + épargne Individu =) homogène et rationnel

s’achève au milieu des années 70. Caractérisé par l’industrialisation, l’urbanisation et l’augmentation du salariat. Le salariat devient dominent au niveau des années 50 et atteint sont apogée dans les années 70. Passage d’une économie rural avec l’agriculture à une économie urbaine et salariale. En France, l’industrialisation a été plus lente que dans d’autres pays. Il y a eu une certaine stagnation de l’économie française entre les deux guerres. Après la guerre, la croissance française est une croissance

pour lui trop d’épargne peut être nuisible à l’économie et c’est l’investissement qui détermine l’épargne. Quelles sont donc les actions de l’un sur l’autre dans les différentes visions développées ? I. EPARGNE PREALABLE A L’INVESTISSEMENT 1. Les classiques : l’épargne devient investissement au cours du temps Les classiques (Smith, Ricardo, Malthus, Marx) analysent l’épargne et l’investissement comme la même action : l’épargne représente le renoncement à une consommation immédiate. Le sacrifice

de valeurs La monnaie permet de comparer toutes les marchandises entre elles, elle les rend commensurables, c’est-à-dire mesurables les unes par rapport aux autres. Chaque marchandise a son équivalent en monnaie, c’est son prix. Dans une économie de troc, la valeur de chaque marchandise doit pouvoir être exprimée en fonction de toutes les autres ; l’unité de compte simplifie beaucoup l’économie de prix. Réserve de valeur Pour que l’échange puisse se développer, il faut que l’on

qui concerne la croissance économique. Elle peut être vertueuse ou bien vicieuse pour celle-ci. Alors dans quelle mesure l'épargne est-elle un préalable nécessaire a la croissance? Nous verrons dans une première partie que l'épargne permet à l 'économie d'investir et qu'elle dynamise la croissance. Dans une seconde partie nous verrons que l'épargne à excès peu avoir des effets pervers sur la croissance. L'investissement est un moyen de relancé la croissance car il rend plus productif le travail

lois qui réfèrent l’économie On retrouve différents thèmes dans l’école classique : * Une économie de surplus : Richesse sociale, c'est-à-dire les moyens d’augmenter la puissance d’une nation en permettant à une population plus large de vivre correctement Elle se mesure en flux (quantité de produits qui circule dans l’économie dans un intervalle de temps) Les enjeux sont donc des investissements et une accumulation de capital (capitalisme) * Une richesse réelle, dichotomie monétaire