Economie épargne Et Dépenses D Investissement

Saïdou Tél : 64 21 72 51 E-mail : baldemdousaidou@ yahoo. fr Table des matières INTRODUCTION GENERALE. 4 CHAPITRE I : INTRODUCTION A L’ANALYSE MACRO-ECONOMIQUE. 5 SI) Les questions macro-économiques : 5 SII) la macro-économique classique et macro-économie keynésienne. 5 SIII) La modélisation macro-économique . 6 SVI) Détermination du modèle d’équilibre . 6 S1) Les variables principales 7 S2) Détermination de l’équilibre globale : 9 CHAPITRE II : LES INDICATEURS DE PERFORMANCE ECONOMIQUE. 11

 Economie Introduction : L’économie, au même titre que l’histoire et la psychologie, appartient aux sciences humaines dont le point commun est d’avoir le même objet d’étude, à savoir l’être humain. La science économique est avant tout une science sociale puisqu’elle étudie les individus au sein de la société. Le point de départ de l’analyse économique est que les hommes éprouvent des besoins illimités mais les ressources dont ils disposent pour les satisfaire n’existent qu’en nombre restreint

1 : Quelles sont les sources de la croissance économique ? I- Définir et mesurer la croissance 1- Qu’est-ce que la croissance économique ? 1-1- Définition La croissance économique : C’est l’accroissement de la production globale d’une économie. C’est un phénomène durable, quantitatif et de longue période. Elle s’accompagne de transformations irréversibles des structures économiques. Définition de François Perroux (1903-1987) : La croissance est définie comme un accroissement durable d’une

CONSOMMATION ET INVESTISSEMENT I. Deux visions opposées de la Consommation et de l’Epargne A. Keynes B. Les Classiques II. Investissement et épargne A. Définitions B. Causalité entre épargne et investissement III. Les conditions d’équilibre A. Niveau optimal d’épargne B. La fonction d’investissement INTRO Depuis la seconde guerre mondiale, l’état du capitalisme nous place dans une société de consommation

fabriqués sont soient des biens de consommation à usage direct, soient des biens de production correspondant à des investissements. Les revenus générés par ces ventes vont être épargnés ou investis. Les néoclassiques vont au-delà de cette définition et expliquent la formation de l’Epargne comme une résultante des mécanismes de marché. B- L’égalité entre l’Epargne et investissement découle d’un processus du marché : La détermination de l’Epargne connait deux phénomènes distincts que sont : d’une

Danemark : I- Economie du Danemark PIB : 244,5 mds € en 2012 (34e classement mondial)+ Prévision de croissance du PIB : +0.8% en 2013 PIB par habitant : 43.200 € (2011) Taux de croissance : -0,5 % en 2012 contre 1,1% en 2011 (prév. 2013 : 0,7) PNB / habitant : 38000 (7e au monde) Taux de chômage : 7,5 % en 2012 Taux d’inflation : 2,4 % en 2012 Déficit budgétaire : 4 % du PIB en 2012 contre 1,8 % en 2011 (prév. 2013 : 1,7%) Dette publique : 45,8 % du PIB en 2012 (prév. 2013

ECONOMIQUE TRAVAUX DIRIGÉS n°6 : La politique budgétaire Exercice 1 : La demande globale et le multiplicateur de dépenses publiques Dans une économie donnée, les impôts représentent 20% du revenu et la consommation représente 70% du revenu disponible. Par ailleurs, on suppose que les entreprises investissent à hauteur de 60 milliards d’euros, et que l’Etat engage des dépenses publiques d’un montant de 50 milliards d’euros. a- Pour tout niveau de produit national apparaissant dans le tableau

Ėconomie. LA POLITIQUE ECONOMIQUE INTRODUCTION I- La politique économique, une idée saugrenue ? A. Le principe libéral en économie Libéralisme : proscrire l’action de l’Etat ds l’économie, l’Etat ne doit pas entraver l’éco → doctrine philosophique de la modernité, c’est le progrès des sociétés en économie → un contexte intellectuel favorable au libéralisme B. Le marché et l’auto régulation A. Smith : Richesse des nations → l’Etat doit intervenir mais seulement dans le périmètre restreint → le

services bénévoles car pas de flux monétaires. Donc PIB français sous-estimé d'environ 25 % Économie souterraine = flux monétaire ≠ production domestique Économie informelle (sens large) Économie informelle (strict) PIB : intègre partiellement les richesses

énonce que dans une économie fermée disposant de capacités inutilisées, le niveau de la production donc de l’emploi est déterminé par des anticipations de dépenses globales. Celle-ci désigne non seulement les dépenses de consommation des ménages (C) mais également les dépenses d’investissement des entreprises (I) (L’offre globale désigne par opposition, l’offre de biens et services et l’offre de capital.) La demande globale se décompose donc en consommation et en investissement. Dans ce cadre qui