Economie Et Finance Internationale

maîtrisée autour de 2,3% cette année contre 1% en 2009 (et 5,3% en 2008). En terme d’équilibre, le déficit budgétaire passerait de 2,7% du PIB en 2009 à 4% en 2010. La rigidité à la baisse du déficit des finances extérieures de l’ordre de 4,4% du PIB en 2009 et 5,1% en 2010, continuerait à pénaliser les finances extérieures et pourrait créer des tensions sur le plan du financement de l’économie. Globalement, l’économie nationale croîtrait de 4,1% en 2010 au lieu des 5% constatés en 2009. Fossé entre chiffres

des économistes considéraient que les économies latino américaines étaient entrées dans une nouvelle phase : davantage de croissance que par le passé, moins de volatilité, une diminution des inégalités, une montée en puissance des bourses qualifiées d’émergentes et enfin, moins de vulnérabilité aux chocs extérieurs. Lorsque la crise financière est apparue avec la brutalité que l’on sait dans les pays développés, ces mêmes économistes ont pensé que ces économies ne seraient que peu affectées, que leur

théories de l'entreprise et les logiques financières à l'œuvre. Michel AGLIETTA est professeur à l'Université Paris-X, consultant auprès du Centre d'études prospectives et d'informations internationales (CEPII). Il est l'un des fondateurs de l'école de la régulation. Il est un spécialiste d'économie monétaire internationale et connu pour ses travaux sur le fonctionnement des marchés financier. Antoine EBÉRIOUX est maître de conférence à l'Université Paris-X, membre du laboratoire EcomomiX, ses thèmes

financière. I- Les imperfections de marché à l’origine de l’émergence des intermédiaires financiers : 1. Les économies d’échelles et la diversification de portefeuilles: L’existence des intermédiaires peut se multiplier aux économies d’échelles provenant de la gestion des portefeuilles et des services de paiement. Comme un grossiste qui divise une entreprise en petites unités et la diversification de portefeuille

risque en 2007 en raison de la multiplication des défauts de paiement, a conduit l'ensemble des titres liées à ces crédits à chuté à son tour entraînant dans sa trace leurs détenteurs et les fonds d'investissements qui sont en grande partie détenus, financés ou gérés par des banques, ce qui signifie que le système bancaire s'est largement engagé sur le marché des subprimes. 2-Les conséquences de la crise Ainsi les pertes enregistrées par les banques ont provoqué a-une crise de liquidité interbancaire

 - le change a) pourquoi le change? comme chaque pays ou groupe de pays a une monnaie propre, pour permettre les transactions internationales, il est nécessaire de procéder à des échanges de monnaie. b) le marché des changes - il s'adit d'un marché où s'achètent et se vendent des devises (ou monnaies étrangères) contre la monnaie nationale. - le taux de change, résultat de la confrontation de l'offre et de la demande, exprime le prix d'une monnaie dans une autre. c) les régimes de change

dans une économie sur une période donnée, généralement longue. PIB (produit intérieur brut) : c’est l’un des agrégats majeur des comptes nationaux. Il mesure la production économique réalisée à l’intérieur d’un pays. Niveau de vie : fait référence à la qualité et à la quantité des biens et services qu’une personne ou une population peut s’approprier. Bien de consommation : désigne un produit fabriqué destiné au consommateur final. Banque mondial : regroupe 5 institutions internationales créées

débouchés du bac ES Les emplois se situent principalement dans les domaines suivants : gestion, comptabilité, finance, commerce, distribution, communication, ressources humaines, droit, enseignement. Accès Bac ES (économique et social, profil maths conseillé), S (scientifique) ou STG (sciences et technologies de la gestion, spécialité mercatique ou spécialité comptabilité et finance d’entreprise) avec un bon niveau. Les principales mentions Plusieurs mentions plus ou moins appliquées à choisir

2009) ▪ L’analyse économique permet-elle de rendre compte des échanges internationaux (Capes sciences économiques externe 2009) ▪ L’école est-elle une institution en déclin ? (Capes sciences sociales externe 2009) ▪ Déficit des finances publiques, moteur de la croissance économique (Capet éco-gestion 2008) ▪ Comment se détermine le niveau des salaires ? (Capes SES interne 2008) ▪ Économie de marché et gestion des ressources naturelles (Agrégation interne 2009)

La Grèce a annoncé, dimanche, un plan d'économies de 30 milliards d'euros sur trois ans, contrepartie d'une aide internationale massive destinée à sauver le pays de la faillite, mais qui va imposer de nouveaux sacrifices à une population déjà soumise à rude épreuve. Ces mesures d'austérité, dont la suppression des 13e et 14e mois dans la fonction publique et une hausse de la TVA, visent à ramener sous les 3 % du PIB, le seuil européen, d'ici à la fin 2014 le déficit public abyssal de la Grèce.