Economie Du Burkina Faso Etude Sectorielle

d’intégration. Quels sont donc les contrariétés et les points d’achoppement entre ces deux organes ? En d’autres termes, peuvent-ils coexister et comment les faire cohabiter ? Telles sont les interrogations auxquelles tente de répondre la présente étude. I. PRESENTATION DE LA CONFERENCE DES CHEFS D’ETAT ET DE GOUVERNEMENT DE LA CEDEAO ET DE L’UEMOA Dans cette première partie nous allons aborder la composition, attributions et fonctionnement de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement

notre gratitude au professeur GERVAIS-AGUER pour sa disponibilité et ses conseils qui nous ont accompagné tout au long de cette étude. Nos remerciements vont également aux Professeurs BRENOT et LESBATS pour l’intérêt particulier accordé à notre étude et à toute l’équipe du C.I.E.H. pour l’animation scientifique dont elle a fait preuve durant toute la formation. Notre étude a bénéficié d’une franche collaboration de la part du Service National des Grandes Endémies(SNGE) et de l’équipe nationale du Programme

Association Française des Volontaires du Progrès Etude-diagnostic de la ville de Dapaong et propositions d'intervention pour une coopération décentralisée avec Issy-les-Moulineaux [pic] Catherine André, AFVP Félix Douti, étudiant togolais en géographie Josué Hill, Peace Corps Julie Marty, AFVP Pierre Lefebvre, AFVP Dapaong Novembre 2001 Table des matières Table des matières 2 Bibliographie 5 A. Généralité 5 B. Le contexte

responsabilité de l’Etat est capitale à travers une politique d’investissements publics afin de suppléer ou d’accompagner les investissements privés dans le renforcement des capacités productives. En conséquence, il mérite donc une étude approfondie de manière à déterminer son lien avec la croissance économique. Le présent mémoire s’inscrit bien dans cette logique et s’articule autour de trois chapitres. Le premier dresse le cadre théorique et méthodologique de l’étude. Le

de la Recherche www.afd.fr Sommaire 1. 2. Introduction Les enjeux économiques et sociaux 4 5 5 5 5 6 7 8 8 9 10 10 12 2.1 Une économie aux performances mitigées 2.1.1. Une économie en sortie de crise 2.1.2. Une économie en recherche de secteurs porteurs 2.1.3. Une économie entre croissance accélérée et croissance instable 2.1.4. Une économie en sortie lente de la pauvreté 2.2. Un système éducatif en progression fragile 2.2.1. Un taux d’alphabétisation moyen 2.2.2. Une progression scolaire

pauvreté monétaire, dans la mesure où une grande partie du débat actuel sur ces stratégies porte sur la contribution de la croissance à la réduction de la pauvreté. Certes, la croissance est bonne pour les pauvres, pour paraphraser le titre d’une étude fréquemment citée de la Banque mondiale (Dollar et Kraay [2000]), à quelques exceptions près. Cependant, même en considérant comme exceptionnels les schémas de croissance « appauvrissante » (en anglais, thèse de la immiserizing growth) et en acceptant

financement nécessaire à leur développement. De ce fait, ils réalisent souvent des performances économiques médiocres en terme de croissance par rapport aux autres pays du Tiers Monde 1 . La théorie quantitative de la monnaie, plus encore, la nouvelle économie classique, avec la problématique de l’incohérence temporelle de la politique monétaire, ont validé le paradigme inflationniste de la création monétaire ex nihilo. Il ne reste plus aux pays du Sud, étant donné la faiblesse de leur base fiscale, qu’une

rapport du projet d’analyse du coton au Bénin réalisé pour le compte de la Fédération des Unions des Producteurs au Bénin (FUPRO). Et pour la FUPRO, et pour le Bénin, le coton constitue la principale culture et donc la base économique. La présente étude vise à analyser l’ensemble du secteur en vue d’identifier les failles éventuelles sur lesquelles la FUPRO pourrait entreprendre des actions, notamment de lobbying ou de négociation, en vue de les améliorer et par là rendre l’ensemble du secteur

est « une invention révolutionnaire, aussi structurante que celle de l’invention de la machine à vapeur ». Aujourd’hui, le développement des télécoms n’est plus une conséquence de la croissance économique mais une cause sinon une nécessité. Une étude menée dans 38 pays émergents a montré qu’une progression de 10% de pénétration en téléphonie mobile apportait un gain de 0,59% de PIB par an.2 Et cela malgré le poids important dans le budget des ménages de la téléphonie mobile en comparaison de

membres de l’OHADA. Enfin nous essayerons de faire une comparaison entre les normes IAS/IFRS et les principes comptables du référentiel OHADA et nous apporterons quelques recommandations pour avoir des normes qui répondent aussi bien aux exigences des économies développées qu'a ceux des pays en voie de développement donc il va s’agir d’expliquer l’option que nous retiendrons. CADRE THEORIQUE ET CONTEXTE DE L’ETUDE Cadre théorique *Problématique La normalisation comptable internationale est une étape