Économie des institutions

pays pauvres peuvent-ils combler plus rapidement leur retard? VII La mondialisation pénalise-t-elle les travailleurs des pays avancés? VIII Les crises périodiques sont-elles une conséquence inévitable de la mondialisation? IX Rôle des institutions et des organisations X Conclusion . Introduction Le terme «mondialisation» possède une forte charge émotive. D'aucuns voient dans la mondialisation un processus bénéfique -- qui contribuera de façon décisive au développement économique mondial

pauvres peuvent-ils combler plus rapidement leur retard ? VII. La mondialisation pénalise-t-elle les travailleurs des pays avancés ? VIII. Les crises périodiques sont-elles une conséquence inévitable de la mondialisation ? IX. Rôle des institutions et des organisations X. Conclusion I. Introduction Le terme «mondialisation» possède une forte charge émotive. D'aucuns voient dans la mondialisation un processus bénéfique -- qui contribuera de façon décisive au développement économique

LA THÉORIE DE LA RÉGULATION FACE A LA PROBLÉMATIQUE DES RÉGIMES INTERNATIONAUX Gérard Kébabdjian Résumé L'article fait le point sur les travaux d'"économie politique internationale" concernant les régimes internationaux, c'est-à-dire les institutions ayant pour finalité de stabiliser les conflits dans certains domaines des relations internationales (régimes monétaires, régimes commerciaux par exemple) ; ces travaux ont pour objet d'expliquer pourquoi et comment apparaissent, se transforment et peuvent

librement des biens dont il est propriétaire (libre de l’utilisation et des fruits de l’utilisation) -> possibilité d’utiliser librement son capital et ses profits dans le respect des règles imposées par l’Etat -> Liberté contrainte par les Institutions. * Sa finalité est l’accumulation du capital fondée sur la réalisation du profit maximum 2 conséquences : * La maximisation des profits tend les propriétaires du capital à optimiser l’utilisation des ressources (travail et capital) ->

produits dérivés, l’homogénéité du produit est encore une fois remise en cause. Toutes ces interrogations pour illustrer le fait que parler de marchés aujourd’hui est problématique. Entre marché et marchés, essai de définition Une économie de marché est d’abord une économie de marchés. Mais qu’ont-ils en commun ? Tout d’abord, chacun des marchés met en relation des agents économiques qui poursuivent des fins intéressées et procèdent pour les atteindre à un « calcul éco ». Ensuite, les intérêts sont

modelisateur et son modele. III - Economie et analyse des systèmes ● SYSTÈME ÉCONOMIQUE = mode général d’organisation, c’est-à-dire d’institutions, mobiles et mécanismes régissant l’activité économique (production, échanges, répartition des richesses) Des relations qui font reference a la redistribution du PIB / de la richesse. Source : Dictionnaire économique et social Institutions (1) Commons (1931): « règles opérantes

système financier est dominé jusqu'au milieu des années 80 par la finance indirecte qui privilégie l'intermédiation de bilan des banques. Il fonctionne selon les principes d'une économie d'endettement. Cette organisation se modifie progressivement à la suite d'un ensemble de réformes financières qui favorisent l'essor d'une économie de marché financier. Cette évolution est caractérisée par le développement des marchés des capitaux qui incite les entreprises non financières à recourir au financement

croissance économique et soutenableCroissance économique: augmentation soutenue pendant une période plus ou moins longue de larichesse crée sur un territoire donné. Elle se mesure générale en fonction de l'évolution du PIB. Soutenabilité d'une économie: D'après Solow cela correspond au fait de conserver dans le temps«une capacité généralisée à produire du bien-être économique» et plus précisément « de doter lesgénérations futures de tout ce qui sera nécessaire pour atteindre un niveau de vie au

économique Dans tout système complexe, une crise est une période d'où le système fonctionne très mal, justifiant des mesures correctives immédiates. Dans une économie en conséquence, une crise peut qualifier cette période de performances économiques lamentables. Pendant ce temps, la valeur des institutions, en particulier les institutions financières, tombe à un rythme sans précédent et tout semble être sans valeur. La production est faible et souvent ne parvient pas à se mettre au niveau de la

1945, le financement de l economie s' est pronfondement modifié. Trois phases peuvent en effet etre distinguées: -après la seconde GM le systeme est marqué par la predominance des financements administrés par l'Etat et les institutions financieres qu il controle -A partir du milieu des annees 60, l etat se desengage du financement de l economie en raison de deficits budgetaires jugés trop nefastes. Le financement est alors assuré par des credits auprés des institutions non financieres -Depuis le