Eclatement Du Tiers Monde

travers une étude des différents facteurs : structure, réseau, acteur de la communauté internationale. Si les études classiques privilégient les frontières ou la sécurité des états, les politistes vont aussi tenir compte de la transformation du monde grâce au développement des moyens de communication et d’information, pour élargir le champ d’étude et observer également beaucoup d’autres éléments qui ont des incidences certaines sur la communauté. Aussi, ils refusent de limiter leurs analyses

plus au centre de la société comme il peut l’être aujourd’hui. La structure de cette société est divisé en 3 le clergé (prie), la noblesse (combat) et le tiers état (travail, paysans essentiellement). Ce n’est donc pas la situation économique qui détermine la place dans la société mais la situation juridique, qu’on obtient par hérédité. Le tiers état représente les individus qui ont le moins de droits. Ce sont ceux qui travaillent le moins qui occupent les meilleures places au sein de la société donc

connu les pays développés. Or, il faut bien se dire qu'il y a pluralité des modes de dvpt. Sinon, le dvpt c'est un discours des pays occidentaux, une vision du monde, un ensemble de valeurs que les occidentaux cherchent à imposer aux autres pays. C'est le pt de vue de Latouche, qui dit que « le développement est d'abord un regard sur le monde qui vise à valoriser celui dont il émane et à dévaloriser l'autre ». Pour donner une définition finale, on peut s'appuyer sur le pt de vue de Hugon. Pour

l'Empire) , le congrès de Berlin de 1815 va limiter le libre arbitre des Etats en créant le concert des nations. La France, l'Autriche, la Prusse, le UK et la Russie se présentaient alors comme les maîtres de l'Europe tout en exerçant une action sur le monde. Le 19e siècle est donc celui de l'Europe, dont la suprématie politique, économique, technologique, culturelle et militaire est incontestée. Parallèlement , ce siècle est aussi de la révolution industrielle , de la transformation radicale des techniques

guerre d’un genre nouveau, dite « guerre froide » ? - Quelles sont les grandes phases entre 1947 et 1991 ? - Quelles sont les conséquences et les limites de cette opposition majeure sur l’organisation du monde ? Plan : 1. De la Grande Alliance à la Guerre froide, 1945-1947 1. Le monde en 1945 1) Le désastre humain 2) Des pays et des économies détruits 2. Une paix possible ? La fin de la Grande Alliance 1) La paix des vainqueurs 2) L’espoir d’un nouvel ordre mondial 3) Des tensions

L’ONU _________________________________________________________________6 Les deux grands________________________________________________________10 Du côté des métropoles : le cas français____________________________________11 L’émergence du tiers-monde : la conférence de Bandung _____________________13 Mouvements anticolonialistes et nationalistes _______________________________15 Des décolonisations multiformes _____________________________________16 Introduction ___________________________________________________________16

La commission européenne, parlement européen, conseil européen, conseil des ministres, cour des comptes, cour de justice européenne, banque centrale européenne. D. Précisions supplémentaires - Environ 350 OIG alors que 200 états dans le monde. - UE a reçu la personnalité morale par le traité de Lisbonne donc est une OIG. - Toute OIG est créée par un traité : charte de San Francisco signée le 26 juin 1945 qui régit l’organisation de l’ONU. Par contre, un état repose sur un acte de

la vague révolutionnaire a fait perdre au SPD près de la moitié de ses adhérents, même s’il demeure au début des années 1930 le premier parti de masse en Allemagne, avec près d’un million de membres - une partie de l’USPD l’a rejoint, après son éclatement. Il est accusé par la droite nationaliste d’avoir précipité la défaite de l’Allemagne (la théorie du " coup de poignard dans le dos ") et par l’extrême gauche d’avoir trahi la classe ouvrière. D’une façon générale, il incarne à la fois le réformisme

espaces publics en deux catégories : les espaces institutionnels et les espaces interstitiels. Pour lui les espaces institutionnels sont des «  lieux de résidences et de travails où un grand nombre d’individus, placés dans la même situation, coupé du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont les modalités sont explicitement et minutieusement réglées. Les prisons constituent un bon exemple de ce type d’institution, mais nombre de leurs traits caractéristiques

Paris qui se dépeuple Paris est structuré par deux grandes divisions : d’une part, la partition ouest/est, c’est à dire quartiers bourgeois et quartiers populaires ; d’autre part, rive droite et rive gauche de la Seine, à savoir monde des affaires, avec la Bourse, et monde de la culture, avec la Sorbonne. Paris comptait environ 0,5 million habitants au début du XIXe siècle, 1, 7 M en 1860, 2,9 M en 1921, chiffre le plus élevé. Depuis, la diminution est régulière et s’est accélérée après 1954. A partir