Ecjs Terrorisme

côtés de l’ONU, pour maintenir la paix internationale. • Dans les faits cependant, cette paix ne parvient pas à s’imposer. Jamais les conflits n’ont été aussi nombreux dans l’histoire récente que depuis 1991 ; de nouvelles menaces se font jour (terrorisme international, prolifération d’armes nucléaires ou bactériologiques…). Il semblerait donc que le rêve international de paix soit en passe d’échouer… • Problématique : Le nouvel ordre mondial n’est-il pas plutôt un désordre mondial ? I. Les Etats-Unis

plus controversées de l’histoire du pays. Le 11 septembre de la même année, le pays sera victime d’une vague d’attentats terroristes islamistes qui font près de 3000 morts. En réponse le gouvernement en poste se lance dans une guerre « contre le terrorisme ». Guerre d’Afghanistan et guerre d’Irak. En 2007, le pays est touché par une crise économique et financière, provoquée par la crise des subprimes (prêt au taux variable) et qui deviendra mondiale. De grandes sociétés comme la banque Lehman Brothers

d’une nécessité de développement économique à travers le profit du pétrole en Irak. Ainsi les Etats Unis ont mit en évidence la théorie d’un conflit où tous les pays sont concernés, afin de former une lutte multinationale : « La guerre contre le terrorisme ». * Selon Pascal Boniface, la chute du mur de Berlin a eu un impacte beaucoup plus important. Le mur constitue le symbole le plus marquant d’une Europe divisée, séparant les Etats européens placés sous l’influence soviétique, des Etats européens

sombré dans l'anarchie et le chaos, est exsangue, sa situation humanitaire et sanitaire est catastrophique. Tombée aux mains du mouvement Al-Chabab qui prône un fondamentalisme religieux des plus rigoureux, la Somalie est devenu le foyer principal du terrorisme en Afrique. Les insurgés islamistes mènent une guerre sans merci contre le gouvernement de transition mis en place en 2004. Ils occupent la majeure partie du pays et contrôlent presque tous les quartiers de Mogadiscio. La population désemparée fuit

Le terrorisme religieux 1 – De quoi parlons nous ? Lorsque l’on parle de terrorisme religieux, il s’agit non pas d’actes terroristes commis par des personnes appartenant à telle ou telle religion, mais d’actes terroristes commis au nom de telle ou telle religion. Pour le dire autrement il y a « terrorisme religieux » lorsque la religion des terroristes est le facteur déterminant de leur passage à l’acte, lorsque ce sont des éléments de leur religion qui ont constitué l’assise théorique dont a émergé

on trouve du rouge, souvent associé à l’idée d’agressivité, de sang, de violence et du communisme, or ces «terroristes » sont des communistes, pour certains des anciens des brigades rouges, l’usage du rouge permet ainsi d’assimiler communisme à terrorisme; et du noir, qui connote la mort. > Les portraits : On voit dix photographies ( sur les 23 membres du réseau qui seront exécutés). Ces photos ne sont pas choisies par hasard : elles montrent des hommes mal rasés, hirsutes, aux mines inquiétantes

(modèles stratégiques nationaux). -L’actualité stratégique (panorama des conflits/menaces, mécanismes de sécurité). -Les enjeux sécuritaires et les nouveaux modes d’action : nouvelles problématiques de sécurité (privatisation, sécurité énergétique, terrorisme, cyber-guerre etc.). METHODOLOGIE Le cours est donné sous forme de séminaire, où la pratique occupe une place importante. Il se déroule de manière interactive, permettant aux cadres de participer collectivement à l’élaboration du cours et

mènent les milices sunnites, les milices chiites et al-Qaïda contre les américains. al-Qaïda qui, en passant, n'était pas en Irak et qui ne s'y est installé que parce que les américains y étaient aussi. Les américains sont allés combattre en Irak un terrorisme qu'ils ont eux-mêmes importé... et nourri. deux guerres, disais-je : la seconde, religieuse, entre chiites et sunnites. Cinq mille soldats américains sont morts en Irak, 40 000 blessés, estropiés, amputés, paraplégiques. Côté irakien : 100 000 civils

régulièrement les échos) En 2006, au nom de la liberté d’information (Freedom of Information Act), l’administration américaine rendait publics trois cent dix-sept contre-interrogatoires de prisonniers suspectés de terrorisme, et détenus dans le centre de détention installé par les États-Unis à Cuba au lendemain du 11 septembre et devenu, depuis, tristement célèbre. Frank Smith s’en est emparé pour en faire une succession de « récitatifs » : une litanie de témoignages

On partage les mêmes émotions que Tchen → on partage même l’ellipse (moment où Tchen est inconscient)  ➢ Réflexion sur l’homme ➢ Réflexion sur le terrorisme : • Tchen devient terroriste, • différence entre meurtrier (assume ses actes) et terroriste (anonymat), • idée de martyr, le narrateur ne défend pas le terrorisme (il évoque ses conséquences → répression), fin horrible, les policiers le frappent. ➢ Question de l’héroïsme → dimension tragique : • Souffrance