Ebauche Zola Germinal

EMILE ZOLA, AU BONHEUR DES DAMES Séquence élaborée par Mme Cécile FLORY, professeur agrégé, pour ses élèves de 1ère ES du lycée Victor Hugo à Marseille. Objet d’étude : le roman et ses personnages Objectifs de la séquence : • Travailler de manière transdisciplinaire entre les lettres et les S.E.S., et comprendre ainsi que le roman et la littérature en général ne sont pas étrangers au monde. En l’occurrence, Zola s’inscrit dans une époque qu’il tâche de peindre en s’intéressant aux

commune, sans chercher à rien montrer d’autre que des faits bruts. Dans Ulysse Joyce prétend se borner à la description brute de l’intériorité dans sa banalité la plus insignifiante. Au XIX-ème c’est le roman selon Zola, description crue de la réalité de la condition ouvrière de Germinal. Zola, s’oppose au projet grandiose de description épique de la condition humaine de Balzac. Il veut nous montrer cette réalité de la mine, cette réalité de la souffrance des petites gens, et non pas écrire un roman "bourgeois"

------------------------------- 37 Édition d’Hélène Bernard. Texte intégral / Lycée général rents choix de mises en scène de la pièce au XXe siècle, contient des textes d’analyse critique et étudie les échos de Phèdre dans les textes de fiction romanesque (Émile Zola, Marcel Proust, Serge Doubrovsky). Édition d’Anne Princen. Texte intégral / Lycée général 9782081219663 2,90 € • 192 pages. PROUST Voir LA BIOGRAPHIE, BROUILLONS D’ÉCRIVAINS, p. 46, LE PORTRAIT, p. 51 RADIGUET Voir ON N’EST PAS SÉRIEUX QUAND

comme le portrait, le blason, l'allégorie, la prosopopée, l'éthopée, etc., sans d'ailleurs les distinguer ou les définir avec précision. La recherche des « clés » (qui est Irène, qui est Phédon?) ou des « sources » (quel fut le modèle de la Nana de Zola?) reste vivace, et les typologies les plus élaborées sont souvent fondées sur une théorie du personnage (héros « problématique » ou non, d'identification ou de compensation, etc). La vogue d'une critique psychanalytique plus ou moins empiriquement

Émile ZOLA “Germinal” Roman de 500 pages Résumé Première partie Chapitre I : Un lundi de février 1865, vers trois heures du matin, un homme arrivait à Montsou, l’une des mines du nord de la France et, dans la nuit, découvrait une fosse. Il conversait avec un charretier de cinquante-huit ans à qui il confiait qu’il s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux

de lui et dispose librement de son cœur. Lors de sa rencontre avec le général de Montriveau, elle est âgée de 22 ans et remplit sa vie par les bals, les soirées et le paraitre mondain du faubourg Saint-Germain. Un portrait physique et moral est ébauché au début du chapitre  2. Jeune femme pleine de contradictions, elle est présentée selon un schéma dual : elle est tout d’abord mondaine, sachant déployer ses charmes en société et régner par coquetterie. C’est une femme dont l’éclat n’est réel que

sature, le décode et l'efface, ou il le réinscrit dans la 8. Il arrive que ceux-ci se séparent de celui-là : ou le romancier a créé son public et devient maître de ses titres à l'intérieur d'un système personnel (Balzac, et eu, partie, nous le verrons, Zola) ou il renonce à être lu de son temps et prend ses libertés avec le code des titres (Stendhal). 52 plurialité d'un texte et brouille le code publicitaire en accentuant la fonction poétique latente du titre, transformant l'information et le signe

L'ARGENT Roman d'Émile Zola (1840-1902), publié à Paris en feuilleton dans le Gil Blas de novembre 1840 à mars 1891, et en volume chez Charpentier en 1891. L'idée originale du livre, dix-huitième de la série des Rougon-Macquart, était celle d'un récit sur la débâcle politique du second Empire. Puis le projet d'un roman sur la Bourse s'impose et se nourrit de souvenirs plus ou moins proches: d'abord celui du financier Mirès et des frères Pereire dont la chute se produisit sous le règne de Napoléon

plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s’inscrit dans le prolongement de ce réalisme militant. Il entend dresser le constat de la subordination de l’homme à son milieu, en décrivant la réalité humaine partout où on la trouve : le roman naturaliste explore donc les couches populaires (L’Assommoir, 1877), le prolétariat (Germinal, 1885), les milieux de la prostitution parisienne (Nana, 1880) ; il scrute aussi tous les états

Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand…). Le roman va devenir le genre dominant par sa diffusion massive entretenue par l'instruction publique croissante et le développement de la presse et des feuilletons dans la deuxième moitié du siècle. La plupart des romanciers sont issus de la bourgeoisie et vivent désormais de leur plume (parfois très bien comme Hugo, Maupassant ou Zola). Le roman