Désirer Est Ce Aimer

capacité de dépasser les apparences pour saisir l’essence de l’être aimé (La belle et la bête de Jeanne Marie Leprince de Beaumont). Or qu’aime-t-on en premier chez quelqu’un ? D’abord son apparence physique, sa beauté. Autrement dit, son corps. Aimer quelqu’un pour son corps ce n’est cependant pas l’aimer pour ce qu’il est, car le corps est périssable, sa beauté est éphémère. La maladie (la petite vérole) ou la vieillesse ont assez vite raison de cette qualité inessentielle. On pourrait penser

I. Préalables a) une mise en perspective au sein de l’œuvre de l’auteur.Descartes analyse le désir de manière scientifique. Ce texte est issu de sa correspondance avec Chanut (lettre du 6 juin 1647) mais il est aussi par ailleurs l’auteur d’un texte sur les passions (Traité des Passions de l’Âme, 1649) qui les analyse de manière à montrer leurs causes physiologiques et psychique.Cette façon de procéder a pu surprendre chez le philosophe des Méditations Métaphysiques (1641) où était faite une distinction

Pourquoi ? L’explication part du désir, qui est, selon Spinoza, l’essence même de l’homme ; être heureux, c’est avoir ce que l’on désire, mais pas forcément tout ce que l’on désire, car alors on ne sera jamais heureux. Le désir est en effet un manque que l’on veut satisfaire ; mais une fois satisfait, ce désir est remplacé par un autre et l’on se sent toujours frustré et donc éloigné du bonheur. Sartre a écrit : « Le plaisir est la mort et l’échec du désir ». « La vie donc oscille, comme un

bonheur est souvent la seule chose qu'on puisse donner sans l'avoir et c'est en le donnant qu'on l'acquiert » Mais de quoi s’agit-il en fait ? Qu’est-ce qui fait le bonheur ? Chacun a sa propre réponse, que ce soit une idée précise ou un vague désir, mais il convient de se rappeler que les références dans lesquelles nous baignons ont beaucoup évoluées au cours du temps. Pour trouver le bonheur, les philosophes ont très tôt été considérés comme des maîtres incontestés. Le but de la philosophie

préoccupe et te tourmente, tu te pose un tas de questions. Que dois-tu faire ? Dire la vérité, mentir, arrêter l’une des deux relations ou conserver les deux, au risque d’être malheureux ou de rendre l’autre malheureux ? Amour véritable ou simple désir ? Avant toute autre chose, la première question que tu dois te poser, c’est « est-ce que ces relations sont des désirs passagers ou de véritables amours » ? Lorsque l’on débute sa vie amoureuse, il n’est jamais facile de toujours bien faire la différence

définie comme : On ne peut pas aimer et être libre en même temps. L’amour étant pour lui une dévotion libre mais totale. Il développement son argumentation en 3 moments : En premier lieu, il explique ne pas vouloir l’asservissement de l’être aimé mais il veut sa soumission, car la peur d’être victime d’un amour mécanique est présente. En second lieu il s’agace autour de l’idée du serment, le serment engagement celui qui le fait à ne pas le trahir même s’il le désire, c’est donc un acte porté sur soi

éloigné qui fait rêver. Mystère créé par la connotation d’un paysage brumeux associé au mystère de la femme. L’indéterminé rend le lieu magique, donc suscite une image idéalisée. L’amour Caractéristiques de l’amour « Aimer à loisir » (v. 4), « Aimer et mourir » (v. 5) Amour absolu : infini et passionnel L’amour est associé à la mort. Mourir d’amour fait appel à la passion. L’amour est aussi associé à une notion d’éternité « à loisir », donc savourer pleinement l’amour

conséquence. En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. Toutefois, même cette conception spécifique de l'amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant du désir passionné et de l'amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l'amour familial ou de l'amour platonique, et à la dévotion spirituelle de l'amour religieux. L'amour sous ses diverses formes agit comme un facteur majeur dans les relations

"VIII. La plupart des hommes, par un sentiment d'ambition, semblent désirer qu'on les aime plutôt qu'ils ne veulent aimer les autres. Aussi accueille-t-on généralement les flatteurs; car un flatteur est, pour ainsi dire, un ami subalterne, ou du moins il affecte l'infériorité; il semble se contenter d'aimer plutôt qu'aspirer à être aimé : or, l'amitié qu'on inspire ressemble assez à l'estime et à la considération, sentiments dont la plupart des hommes sont avides. Au reste, ce n'est qu'à cause des

sur ce sujet. Documents joints: Document 1 : Arthur Rimbaud, « Ma bohème », Poésies, 1870. Document 2 : François Cérésa, « Quelle insolence! », Les nouveaux ados, hors-série du Nouvel Observateur; n° 41. Document 3 : Bachi Ahmed, « Apprendre à aimer dans l'action », Nouvelles Clés, n° 25, printemps 2000. Document 4 : Jean-Claude Mézières, dessin paru dans Nouvelles Clés, n° 25. printemps 2000. Doc 1 : Ma bohème (fantaisie) Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot