Déficit Public

coût de son action dans sa sphère d’intervention. Le solde budgétaire (public) est la différence entre recettes et dépenses  Solde budgétaire = Recettes – Dépenses (en général présenté en % du PIB) ex : en 2012  déficit 3,7% du PIB 2) Le solde budgétaire et son financement Lorsqu’il y a déficit budgétaire, il faut le financer : Par l’augmentation des impôts Par la création monétaire (monétisation du déficit) Par l’emprunt. L’Etat emprunte en vendant à des investisseurs des titres

L’objectif final de la politique budgétaire étant toujours d’optimiser l’équation composée de : Croissance économique – Emploi -Stabilité des prix (inflation) ; tout en veillant à bien limiter le déficit public et l’endettement de l’État (source de crise économique qui frappe le monde depuis 2008). Il est évident que beaucoup de facteurs entrent en jeu pour déterminer les choix et les grandes axes de cette politique budgétaire, à savoir, la situation de l’économie, les conflits sociaux, le niveau

base, notamment les produits chimiques. Sur le plan budgétaire, l’assainissement des finances publiques s’est poursuivi en 2007 avec une progression des recettes fiscales plus importante (13%) que celle des dépenses budgétaires (7,9%). Au total, le déficit global (dons compris) s’est amélioré pour s’établir à 3,5% du PIB contre 5,8% en 2006. Ceci s’explique en partie par la maîtrise des dépenses courantes qui n’ont progressé que de 4,7% contre une hausse de 31% en 2006 liée essentiellemnt aux subventions

France Economique L'économie est stimulée par le secteur des services, mais la hausse du déficit du compte courant et l'inflation demeurent un préoccupation L'économie française est l'une des plus grandes économies de l'UE, avec un PIB de 1,5 milliards de dollars (en prix constants, 2000). Bien que l'économie s'est contractée de 2,6% en 2009, il a rebondi avec une croissance de 1,5% en 2010. Le pays est bien développé infrastructures et fort secteur des services sont de soutenir l'économie.

le court terme sont mieux rémunérés que les actifs sur le long terme. Cette courbe est associée à des anticipations de baisse de l’inflation - Ralentissement de la croissance ou - Politiques monétaires restrictives, ou - Réductions d’emprunts publics, ou - les 3 combinés  La courbe plate Caractérisée par la hausse des taux courts, accompagnée d’une baisse des taux sur les échéances les plus longues avec pour effet de renverser la courbe des taux de rendement. II/ Indicateur économique

Chapitre 8 Régulations et déséquilibres macroéconomiques Notions : Fonctions économiques de l’Etat(allocation, répartition, stabilisation) Prélèvements obligatoires, dépenses publiques, déficit public, dette publique Demande globale, inflation, chômage, déséquilibre extérieur Politique budgétaire, politique monétaire Problématique : Pourquoi une intervention dans l’économie et comment ? Plan Repères documentaires I. Pourquoi la puissance publique intervient-elle dans la régulation

compenser un ralentissement de la demande privée par une augmentation des dépenses publiques afin de stimuler l'économie, mais avec pour conséquence une dégradation du solde public. Ex : politique de relance. À l'inverse, lorsque la croissance économique est élevée, la discipline budgétaire permet de réduire le déficit public, voire de constituer des excédents qui pourront être utilisés ultérieurement. Les principaux leviers de la politique budgétaire sont : * les recettes :

 Contrôle  spécifique  par  le  préfet  et  la  chambre  régionale   des  comptes.     IV-­‐ Présentation  des  FP  Etatiques     A-­‐ Caractérisées  par  des  changements  publics  continuels     Tenir  compte  des  lois  de  finances  rectificatives  destinées  à  corriger  les  lois  de  finances  initiales  qui  sont  de  +  en  +   fréquentes

autorités de l'Etat cherchent à réduire les déficits publics, on présentera les difficultés que rencontrent ces nouvelles stratégies budgétaires. Les prestations sociales supportés par l'Etat ont creusé un déficit important dans la plupart des pays qui ont mené une politique keynésienne. Ces pays ont du réaliser des emprunts afin de pouvoir faire fonctionner ces prestations sociales. Ces derniers ont alors engagé des réformes pour réduire les déficits publics. La réduction de la dette est un des premiers

seraient de l'ordre de 40 milliards de dirhams pour l'année prochaine. La vision globale pour 2012 serait d'atteindre un taux de croissance oscillant entre 4.7% et 5.2% (5 à 5.5% pour le secteur non agricole), de limiter le déficit budgétaire à 4%, l’inflation à 2%, d’atténuer le déficit de la balance des paiements et de la balance commerciale. Pour cela, le renforcement des investissements stratégiques et rentables à court terme sont favorisés, en vue de diversifier l’offre exportable et renforcer la