Déficit Budgétaire Au Maroc

décisions pertnentes, - Pour s’assurer que les décisions sont bien appliquées (incitaton et contrôle). Le contrôle de geston a 3 piliers : - la comptabilité de geston (analyse des coûts), - la geston budgétaire (élaboraton des budgets et contrôle des écarts), - les tableaux de bord, etc… LA GESTION BUDGETAIRE Definiton Un budget est une prévision financière chiffrée relatve à un plan d'actions, précisant : √ des objectifs définis √ les moyens arrêtés pour les atteindre. OBJECTIFS DE LA GB Le budget

5. La première trajectoire (1960-1981) se divise en deux périodes : entre 1961 et 1972, les politiques budgétaires et monétaires ont été relativement contenues. Au cours de la période 1973-1981, on assiste à un retournement de la conjoncture nationale et internationale. Les prévisions économiques de cette période ont été au-delà des capacités de production du pays. Le secteur privé a pu renforcer les positions qu’il occupait au sein de l’économie grâce surtout à l’appui de l’Etat durant les années

place et l’injection massive de capitaux pour renflouer les systèmes financiers, la perte de confiance des acteurs économiques persiste et un climat d’incertitude domine la conjoncture mondiale. L’horizon de sortie de crise reste ainsi incertain. Le Maroc, après avoir été épargné dans un premier temps par la crise financière, grâce à la solidité de son système bancaire et à sa faible exposition aux marchés financiers internationaux, subit depuis le deuxième semestre2008 les répercussions de la crise

AVANT - PROPOS L’analyse de la croissance économique au Maroc s’inscrit dans la perspective des débats contemporains : vague de libéralisation financière, et également avec l’apparition de crises et de perturbations financières qui se répercutent dans une certaine mesure sur l’économie marocaine. C’est ainsi que le sujet invite à une réflexion sur les interactions possibles. L'étude s'inscrit également dans le cadre du programme d'appui à la planification stratégique du développement

MEDICALE AU MAROC : Etat des lieux, perspectives et défis 1. CONTEXTE (i) ____________________________________ ____________________________________ ____________________________________ ____________________________________ ____________________ • Macro-économie : - Croissance nulle dans les 90’s Faible PIB per capita : moins de 1.300 US$ Taux de chômage urbain : plus de 20% Taux de pauvreté de 19% en 1998/99 (contre 13% en 1990/91) - Taux de vulnérabilité économique de 43% en 1998/99 - Déficit budgétaire

dispositif général de régulation bancaire et financière…et soulève aussi un débat acharné sur l’existence d’autres systèmes financiers et économiques qui peuvent remédier au effets de cette crise. C’est dans ce paysage mouvementé que le Maroc a commencé à sentir les premiers effets, principalement par la voie des échanges. Le comité de veille stratégique, institué par le Gouvernement, ainsi que l’Institut Royal des Etudes Stratégiques sont chargés de suivre ces effets et de proposer de

ministre a mis en exergue l'adoption par l'agence d'une nouvelle politique de développement de ses services et d'amélioration de son produit et de son site internet à travers notamment l'accompagnement des différentes étapes politiques qu'a connues le Maroc l'an dernier, rappelant la mise en place par l'agence du plan stratégique 2012-2016 pour assurer sa mise à niveau et sa compétitivité à l'échelon régional et international et rehausser sa gestion et son système de gouvernance, ajoutant que la MAP s'attèle

Modèle n° 2605/F Royaume du Maroc ²² - CODE GENERAL DES IMPOTS 2010 01-02-2010 ARTICLE 5 Sont modifiées par la présente loi, les dispositions de l’article 10 de la loi de finances n° 35-05 pour l’année budgétaire 2006, et sont codifiées sous la dénomination code général des impôts les dispositions du livre des procédures fiscales prévues à l’article 22 de la loi de finances n° 26-04 pour l’année budgétaire 2005 et celles du livre d’assiette et de recouvrement prévues à l’article

ROYAUME DU MAROC INTERVENTION DE MONSIEUR MOHAMMED BOUSSAID MINISTRE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES LORS DU FORUM DE PARIS DE CASABLANCA CASABLANCA, MERCREDI 5 FEVRIER 2014 1 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, Il m’est particulièrement agréable de partager avec vous aujourd’hui, la réussite d’un pari, celui du Forum de Paris, qui du haut de ses cinq années d’existence, permet de mesurer le chemin parcouru riche de débat et de partage dans un monde plus que jamais

Moyen Orient et l’Afrique du Nord après avoir frappé sévèrement l’Europe. Le Maroc occupe la troisième place dans ce groupe de pays de la région MENA et occupera la seconde place en 2013, dans le cas où les prévisions établies ne soient pas erronées. Sur le plan international et européen en particulier, la Banque mondiale note l'incertitude des marchés financiers et la consolidation budgétaire associée aux énormes déficits et dettes des pays à revenu élevé qui risquent d'être des sources récurrentes