Déclin De L Empire Ottoman

foires du Moyen-âge La banque italienne et l’âge d’or de la Renaissance Imprimeurs, humanistes et poètes lyonnais Guerres de religion Classicisme et Baroque Morand, Perrache et les nouveaux quartiers : 1750-1830 La rénovation urbaine sous le Second Empire La basilique de Fourvière et le Prado Théâtre, cinéma, guinguettes, guignol : loisirs nouveaux Les gratte-ciels lyonnais du centre-ville : le renouveau de l’entre-deuxguerres Architecture et Développement contemporain : Part-Dieu La Fabrique Lyonnaise

expéditions de circonstances. Ainsi, la «France antarctique», un temps envisagée par quelques nobles protestants pour trouver une solution aux guerres de Religion qui déchirent le royaume, demeure au stade du rêve. Les bases de l'expansion du premier empire colonial français sont posées par les pragmatiques marchands et armateurs de Dieppe et de Saint-Malo. Ceux-ci sont à l'origine du commerce des fourrures avec le Canada, par où les pêcheurs de morues prennent l'habitude de faire un détour – le plus

La Première Guerre Mondiale (1914-1918) I Les causes de la Grande Guerre a) L'Europe en 1914 Au centre et à l'est de l'Europe, on trouve de grands Empires: l'Empire russe, l'Empire allemand et l'Empire austro-hongrois. A l'ouest et au nord, les deux pays les plus puissants sont la France et le Royaume-Uni. L'Europe domine le monde grâce à son avancée économique (industrie, commerces) et financière. Pour la France et le R.-U., c'est aussi grâce à leurs nombreuses colonies. Cette domination s'appelle

En 908, leur mission nord-africaine se solde par un immense succès en Tunisie. Ils constituent alors la dynastie des Fatimides, qui parvient à contrôler progressivement l'Afrique du Nord, la Sicile, l'Égypte, la Syrie et l'Arabie occidentale. Le déclin de l'Empire abbasside La dislocation de l'unité politique En minant le régime abbasside, les différents mouvements de contestation contribuent à la dislocation de l'unité politique de l'Empire musulman. Celle-ci commence, il est vrai, plus tôt

demander si le reste du monde pratique le libre-échange au cours de la période étudiée. Il commence par considérer le cas de la Chine, du Japon et de l’Empire ottoman au fil du temps (avant le XIX siècle). Il insiste sur le fait que la Chine et le Japon n’ont pas toujours été protectionniste jusqu’aux traités dits inégaux. L’Empire ottoman quant à lui, devient de plus en plus libéral. Il signe un traité de commerce libéral en 1536 et impose des « capitulations » en 1673 et 1740 qui fixent les droits

Géopolitique :Les questions à se poser · Comment déceler et appréhender les faits politiques au travers des rivalités de pouvoir et de territoires qu’ils impliquent ?· Quels sont les acteurs en jeu dans ces rivalités, quelles que soient leur nature, leur fonction et leur échelle d’action ?· En quoi ces jeux d’acteur sont-ils produits et producteurs de relations spatiales et de territoires ? · Quelles sont les diverses représentations territoriales en jeu, et en quoi peuvent-elle être facteurs

qualité. La mondialisation des échanges et le développement de la société de consommation pendant les Trente Glorieuses (1945-1975) fortifient cette tendance. Mutations sociales : une recomposition des actifs s’opère dans les sociétés industrielles : déclin historique des paysans, augmentation des ouvriers et des employés. Le Taylorisme permet d’augmenter la productivité. ------------------------------------------------- Les progrès techniques permettent une production et une consommation de masse

que les empires arabo-espagnol, berbères, mamelouk et ottoman s’affrontaient, faisant alterner les guerres de conquête triomphales et les longues phases de décomposition, famines et épidémies se succédaient à un rythme insoutenable. Les époques fastes, où un pouvoir fort a pu imposer la paix et le progrès à une vaste région, ont été trop rares et trop brèves. Même la longévité de certains régimes ne doit pas faire illusion : si l’Algérie et la Tunisie ont été des régences ottomanes pendant

Karl Haushofer qui a défendu cette idée d’une « grande Allemagne ». Selon les analystes, comme Paul Claval ou Michel Korinman, Haushofer n’aurait pas été nazi. Par-delà les définitions, les excès du nazisme mais aussi la défaite ont participé à un déclin/refus de ce terme/approche, même si cela n’a pas été le seul paramètre. Michel Korinman : thèse Quand l’Allemagne pensait le monde. 2) Le temps de l’oubli et de la renaissance Cela concerne globalement les années de l’après-guerre jusqu’à

47-65. 11 Les praticiens des postcolonial studies reconnaissent de fait deux moments déterminants dans la constitution de leur champ d’études : la publication en 1978 d’Orientalism d’Edward Saïd (New York, Vintage) et celle, en 1989, du collectif The Empire Writes Back. Theory and Practice in Postcolonial Literature, dirigé par Bill Ashcroft, Gareth Griffiths et Helen Tiffins (Londres, Routledge). Les postcolonial studies se sont ainsi d’emblée inscrites sous le signe de la critique littéraire plus que