Duché de Milan

pouvoir politique autonome et la laïcité de l’Etat. En Italie, les centres principaux des idées des Lumières sont Milan et Naples, ou les philosophes (quelques exemples: les frères Pietro et Alessandro Verri, Cesare Beccaria, Genovesi), ils travaillent pour l'administration de l'Etat et ils assument des charges publiques. Alors qu’a Naples la philosophie est seulement théorique, à Milan l'on cherche à trouver des solutions concrètes à tous les problèmes. b)Diffusion des Idées La diffusion des idées

français et en italien. L'ouvrage sans doute remonte à plus d'un siècle mais les recherches récentes ont confirmé bien des vues dégagées. La mise à jour de son oeuvre s'est faite grâce à un ouvrage collectif intitulé Jus romanum medii aevi paru à Milan dans les années 1960/70 et qui a réuni des romanistes et des canonistes venant des quatre points cardinaux de l'Europe. Depuis les travaux sur le droit savant n’ont cessé de prendre de l’ampleur comme en témoigne, par exemple, la bibliographie imposante

historique des hommes de ce temps était susceptible. En un mot c’est sur la mentalité d’un milieu et d’une époque un témoignage infiniment précieux ; sur les faits p.57 mêmes qui s’y trouvent rapportés, au moins en ce qui regarde la primitive histoire du duché de Normandie, un témoignage à peu près nul. De ces événements si obscurs, voici donc ce qu’à l’aide de quelques médiocres annales et d’un tout petit nombre de documents d’archives, on arrive à apercevoir. Sans négliger absolument les bouches du Rhin

doit commander. Dans les faits ce n’est pas vrai le roi commande sur le domaine. Donc à l’intérieur de la mouvance royal, certain fief sont d’une étendu considérable. Ce sont ces très grands fief que l’on appel les principauté territorial. Ex: le duché de Normandie, juridiquement est un fief Le comté de Flandres Le comté de Barcelone Celui qui est à la tête de ces principautés territoriales possèdent des pouvoirs qui sont enfaîte de pouvoirs de chefs d’Etat. Ils disposent donc de toutes les

l’empereur entraine des sentences d’origine des évêques et les renforce par des lois. Des constitutions impériales on reprit des traditions chrétiennes. Saint Ambroise a eu un conflit qui la opposé au Théodose 1r. St Ambroise était archevêque de milan il insiste sur limage de l’empereur comme limage de David. Le considère que l’empereur avait foie en dieu il obtiendra la victoire. Et il tire une autre conséquence il y a une relation être David et un prophète Nathan qui avait prévenu David de ses

En Occident, Croisade = positif + prise de Jérusalem entraîne départ nvelles foules. Pape Pascal II excommunie ceux qui n’ont pas accompli leur vœu. Formation plusieurs armées (plusieurs milliers d’hommes) : - les Lombards sous archevêque de Milan (arrivés à Constantinople : printemps 1101) qui vont en Anatolie du Nord pr délivrer Bohémond (emprisonné par les Danishmendites). A Est du Halys, ils sont presque tous massacrés (par les forces des Turcs + celles de Ridvan d’Alep). - Armées conduites

agglomérations. Elles comptes quelques centaines parfois milliers d’habitants. La plus grande du monde occidental à cet époque était la ville de Constantinople qui comptait cinq cent milles habitants, venait ensuite les villes du nord de l’Italie (Venise, Milan etc.) soit deux cent milles habitants, Paris profite de la richesse du bassin méditerranéen pour se développer elle compte cent mille habitants. Dans ces villes apparaissent de nouveaux personnages, les marchands et artisans. La ville est peuplée

d’entres eux pour stabiliser le pvoir et leur légitimité vont s’appuyer sur l’Eglise = instrument de gouvernement très utile. Mais comme situation à cette époque n’est guère brillante, un certain nb de ces rois (dont Théodoric dont capitale est à Milan) vont s’affirmer comme protecteur de la papauté (avec moyens moindre que empereur Constantin). Mais situation confuse où siège de la papauté est objet de rivalités terrestre, et le roi Théodoric va mettre toutes les factions rivales d’accord, en les

sur lequel je compte revenir très prochaine­ ment. 54 Sur le mouvement des ermites inclusi, voir surtout H. GBUNDMANN, EremiH in Germania dal X al XII secolo: • Einsiedler 1) e • KlausnN" 1), dans L ere­ mitismo in Occidente nei secoli XI e XII. Milan, 1965, pp. 311-329 (surtout p. 131) ; version allemande du même article sous le titre Delttsche Eremiten, Einsiedler u n d Klausner im Hochmittelalter (10.-1�. Jhdt.), dans Archiv für Kulturgesch ichte, XLV, 1963, pp. 60-90 (surtout pp. 63-64 ) , réimprimé

salut. Il s’oppose à la religion romaine. Les chrétiens vont refuser de participer au culte romain. Au départ, ils sont rejeter, pourchassé, persécuter surtout au III ème siècle. PARAGRAPHE 2 : LA RECONNAISSANCE OFFICIELLE DE L’EGLISE A. L’EDIT DE MILAN (313) (Voir document n°3). L’Empereur Constantin se convertit au christianisme. Il inaugure la paix de l’Eglise, il reconnait la religion comme licite et décide de rendre aux Eglises les biens qu’ils leur avaient étés confisquer. Il y avait des intérêts