Duché de Milan

gouvernants sont soumis en tant que chrétien à un contrôle de l’Eglise en raison de leur pêchés. L’exemple le plus célèbre de contrôle qui a été effectué est fournit dés l’année 390, cela par la pénitence imposée à l’Empereur Théodose Ier par l’évêque de Milan, celui qui a reconnut le Christianisme comme religion d’Etat, et cela lorsque le pouvoir impérial a du se soumettre aux exigences de l’Eglise et donc à sa puissance de contrôle. En 390, l’Empereur Théodose Ier a du faire pénitence en réparation du

est limitée au domaine royal, les biens matériels et les vassaux directs sur lesquels il exerce un pouvoir direct. Les premiers Capétiens ne possèdent qu'un domaine peu étendu, réduit pour l'essentiel à une zone entre Beauvais et Orléans, vestige du duché de France de Robert le Fort. Par une politique habile de la plupart d'entre eux, ils assureront la croissance du domaine royal. Face aux grands du royaume quasi-indépendants, ils possèdent cependant trois atouts : • Ils parviennent à rendre

A la mort de saint Jean (fin Ier siècle), la Révélation est close. 177 Martyrs de Lyon (saint Pothin, sainte Blandine…). 312 Bataille du Pont Milvius. « In hoc signo vinces ». Arc de Constantin à Rome inauguré en 315. 313 (13 juin) Édit de Milan (Constantin donne la liberté de professer la religion catholique). 325 Concile de Nicée, convoqué par Constantin (Arius condamné. St Athanase, le « Credo de Nicée ») 330 Constantin quitte Rome pour s’installer à Byzance qui prend le nom de Constantinople

antithèse parce que le XVIII siècle n’a pas été vécut de la même façon suivant les Etats italiens. B) L’Italie et la restauration (1815-1847) En 1815, l’Italie est une mosaïque d’Etat au nombre de 10 dont 3 micro-Etats : San Marin, le Duché de massa et le Duché de Lucques = ils ne comptent pour rien eux. En revanche il y a 10 Etats qui ont des spécificités intéressantes. - Il y a le royaume de Sardaigne : C’est là que siège la cour. C’est un Etat indépendant dont la capitale est Turin. La maison

précédents. Rôle des guerre italie : Les guerres d’Italie sont une suite de 11 conflits menés par les souverains français en Italie au cours du xvie siècle pour faire valoir leurs droits héréditaires sur le royaume de Naples, puis sur le duché de Milan. * L’INITIATION : 1470-1505. - Des français vont en Italie et l’Université de Paris attire aussi des Italiens. L’humanisme ne sort pas de l’université, des collèges ou de cercles. L’imprimerie jouera un rôle essentiel pour la diffusion des

occupé, Bonaparte se retourne alors contre les Autrichiens, le 9 mai il les bouscule à Lodi et entre dans Milan le 15 mai contrôlant du même coup toute la Lombardie. Sûr de lui Bonaparte refuse de céder aux ordres du Directoire lui enjoignant de prendre les états Pontificaux. Il impose sa paix aux princes vaincus et lève de fortes contributions 20 millions pour le Milanais, 2 millions pour le duché de Parme, 10 millions pour le ducs de Plaisance et celui de Modène. Pendant ce temp l'offensive principale

populations des guerriers des Bituriges, Arvernes, Éduens, Ambarres, Carnutes et Aulerques sous la conduite du légendaire biturige Bellovesos envahissent la plaine du Pô et se joignent aux Insubres tribus celtiques qui fondent vers -600 Mediolanum (Milan). Les relations commerciales lointaines se développent. Vers -600, est fondé le comptoir grec de Massalia (Marseille) sur les bords de la Méditerranée par des marins grecs venus de Phocée (lui conférant son surnom toujours usité de « Cité phocéenne

guerre continuelle pendant près d’un siècle ! En 1422, le nouveau roi de France, Charles VII, accède au trône et règne sur un royaume quasi inexistant : – Les Anglais ont la Normandie, la Bretagne, les Pays de Loire, la Guyenne, l’Aquitaine – Le duché de Bourgogne, hostile à la couronne de France, possédent les territoires : du Nord de la France, avec la Belgique et les Pays-Bas, jusqu’à la Bourgogne. C’est alors que Jeanne d’Arc se met à la tête des armées françaises et délivre Orléans tenue

postuler en envoyant un lettre vantant leurs talents comme la célèbre missive adressée en 1482 par Léonard de Vinci au duc de Milan Ludovico il Moro, ou offrir une œuvre dédicacée pour se faire remarquer. En 1474, une rumeur circule dans Milan selon laquelle le duc veut faire peindre une chapelle à Pavie. Son officier vient se plaindre auprès de lui : « tous les peintres de Milan, bons ou mauvais, me demandent de la peindre et ne cessent de m’importuner à ce sujet ». Mais le plus souvent, l’initiative

promis un châtiment exemplaire. Il ordonna le massacre des habitants. C’est comme ça qu’il y eu plus de 7 000 morts. Ce massacre suscita dans tout l’empire un sentiment d’horreur. Lorsque l’empereur se présentât aux portes de la cathédrale de Milan, l’évêque de Milan, Saint Ambroise l’arrêta : il lui a interdit toute participation au culte. Et excommunie l’empereur, qui s’y opposa. Il dit qu’il s’agissait là d’un « acte de gouvernement ». Mais St Ambroise ne jugeait pas l’empereur en tant que temporel