Duc d'Orléans

Laboulaye, en 1865. Le projet fut confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, Auguste Bartholdi demanda à l'architecte Eugène Viollet-le-Duc se charger de cette tâche. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagina un pylône métallique supportant les plaques de cuivre martelées et fixées. Auguste Bartholdi :

où il établit plus tard son atelier. Inspiré par les nouvelles théories artistiques qui circulaient à la fin des années 1800, il réalisa d'exceptionnelles oeuvres d'avant-garde. En particulier, les idées radicales de l'architecte français Viollet-le-Duc et l'architecture sinueuse de l'architecture belge Victor Horta ont grandement influencé ses créations. Quand il épouse le 17 février 1909 Adeline Oppenheim, une artiste peintre fille d'un riche banquier américain, Hector Guimard décide d'entreprendre

se situe en Normandie, dans le département de la Manche. Il a été classé monument historique en 1874, répertorié par l’Abbé Grégoire; est classé à l’UNESCO. En 708, construction de la Chapelle par l'évêque Aubert. L’abbaye a été crée en 966 par le Duc de Normandie. 337 la construction des remparts pendant la guerre de 100 ans dans le but de se protéger des anglais. Le coeur gothique a été construit entre 1446 et 1521. Au moment de la révolution, le site sera transformé en prison. A la fin du 19ème

de France Édouard de Laboulaye, en 1865. Le projet fut confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique du repoussé. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagina un pylône métallique supportant les plaques de cuivre martelées et fixées. La statue fait

1844, le gouvernement du roi Louis-Philippe 1er décrète la restauration de la cathédrale de Paris et la construction d’une sacristie. Le chantier de restauration est confié à deux architectes : Eugène Viollet-le-Duc et Jean-Baptiste Lassus. En 1857, la mort de Lassus laisse Viollet-le-Duc, seul maitre d’œuvre. C’est ainsi que débute cette grande campagne de restauration. 1. La façade : Cette façade se présente comme une masse imposante, simple et harmonieuse dont la force et la sobre grandeur

règles absolues pour l'application de certaines formes, il n'y a d'autre règle que l'observation rigoureuse d'un principe qui est celui-ci: rentre tout besoin et tout moyen de construction apparent » Viollet-Le-Duc (architecte), A la recherche de Viollet-Le-Duc, G. Bekaert, 1995. Viollet-Le-Duc constate que la décoration était utilisée pour rendre visible la structure du bâtiment. Il en vient à se questionner si la présence ou non de la structure change-t-elle la lisibilité du bâtiment ? Si elle est

partir du xvie siècle, les architectes spécialisés dans la conception des bâtiments, des fortifications et des machines pour la guerre ont pris le nom d'ingénieurs. Au xixe siècle, certains architectes occidentaux, par exemple Eugène Viollet-le-Duc, s'attachent fortement à l'aspect constructif. (Ils se concentrent en particulier sur les charpentes métalliques et participent au développement de la mécanique statique). L'architecture trouve alors une nouvelle étymologie basée sur le grec Techné

travaille dès ses débuts avec l'architecte Josep Fontseré sur le projet du parc de la Ciutadella. Sa carrière commence vraiment en 1883, avec le début de l'édification de la Casa Vicens. Jeune architecte, il est d'abord inspiré par Eugène Viollet-le-Duc mais bien vite, il rompt avec le style néogothique et se fait remarquer par son originalité et sa fantaisie. Dès ses premiers projets, il fait cohabiter architecture et mobilier. Les principales caractéristiques de son courant sont l'inspiration dans

l'Académie française en 1844. En 1831, il entre dans les bureaux ministériels et devient en 1834 inspecteur général des Monuments historiques. Il effectue alors de nombreux voyages d'inspection à travers la France et confie à l'architecte Eugène Viollet-le-Duc la restauration d'édifices en péril comme la basilique de Vézelay en 1840, la Cathédrale Notre-Dame de Paris en 1843 ou la Cité de Carcassonne, à partir de 1853. Proche de l'impératrice Eugénie, il est fait sénateur en 1853 et anime les salons de la

François-Xavier en prière devant la Vierge à l’Enfant Philippe de Champaigne, Saint Charles Borromée Claude Vignon Le Triomphe de saint Ignace 1628 Ce tableau a été commandé à Claude Vignon pour orner le maître-autel de l’église des Jésuites d’Orléans. L’oeuvre rend hommage au fondateur de l’ordre, saint Ignace, placé entre ses compagnons parmi lesquels on peut identifier saint François-Xavier vêtu de blanc, canonisé comme lui en 1622 et les allégories des quatre parties du monde qui rappellent