Duc d'Albany

occupait la fonction de secrétaire, et qui lui permettait de poursuivre en toute liberté les travaux littéraires auxquels il devait sa précoce réputation. C’est à ce moment qu’il demanda à l'un de ses amis d'enfance, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc, d’effectuer une de ses premières restaurations d’édifice en France. Ce poste lui donna en outre l’occasion de faire dans le Midi, l’Ouest, le Centre de la France et en Corse des voyages d'inspection, dont il publia les relations (1836-1841). Son action

l'Académie française en 1844. En 1831, il entre dans les bureaux ministériels et devient en 1834 inspecteur général des Monuments historiques. Il effectue alors de nombreux voyages d'inspection à travers la France et confie à l'architecte Eugène Viollet-le-Duc la restauration d'édifices en péril comme la basilique de Vézelay en 1840, la Cathédrale Notre-Dame de Paris en 1843 ou la Cité de Carcassonne, à partir de 1853. Proche de l'impératrice Eugénie, il est fait sénateur en 1853 et anime les salons de la

de France, Édouard de Laboulaye, en 1865. Le projet est confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivresdevant être employés à la construction, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique du repoussé. En1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagine un pylône métallique qui supporte les plaques de cuivre martelées et fixées. La statue fait

au Collège de FranceÉdouard de Laboulaye, en 1865. Le projet fut confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique du repoussé. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagina un pylône métallique supportant les plaques de cuivre martelées et fixées.La statue fait partie

scènes de la naissance et de la vie de Jésus avant sa passion. Sur la clôture sud (XIV s), on y a sculpté des scènes des apparitions du Christ après sa Résurrection. Ce sont des sculptures gothiques. La clôture a été restaurée par l’équipe de Viollet-le-Duc au XIXème s. 3° gisant : statue ornant un tombeau et représentant le décédé (avant sa mort), allongé, le plus souvent les mains jointes orant : Personne ou représentation d’une personne en prière Les termes de Lutèce et leurs alentours

historiques » qui publie en 1840 une première liste de 934 monument historiques. La restauration devient alors une discipline en tant que telle, que l'on enseigne et que l'on théorise. L'un des grands personnages de ce mouvement en France est Eugène Viollet-le-Duc, qui nourrira pendant des décennies les débats autour de la restauration des bâtiments. La commission rencontre dans les premières années beaucoup de difficultés. Les confrontations Paris/Province sont nombreuses, et la restauration n'est pas considérée

L'Architecture byzantine en France, datant de 1851, a établit que Saint-Front de Périgueux avait été construit à la fin du x" siècle et au début dit sur le modèle de Saint-Marc de Venise, et consacré eu 1047. Cette conclusion fut adoptée par Viollet-le-Duc, architecte français, et les archéologues, jusqu'en 1882. Par la suite, de nombreux débats ont eu lieu, réfutant cette théorie, en y ajoutant ou en retirant certains éléments. Le chanoine Roux, en 1920, repris l’étude des différents textes autour

vérité des formes qui l’entourent et qu’elle utilise. En France, le propos est moins moraliste et plus rationnel : Eugène Viollet-le-Duc ne rejette pas le matériau moderne (le fer notamment), mais veut au contraire l’afficher en lui donnant une fonction ornementale et esthétique, à la manière des structures gothiques du Moyen Âge. Connu comme un restaurateur, Viollet-le-Duc sera l’inspirateur de nombreux architectes de l’Art nouveau. C’est ainsi qu’en 1893 est érigé à Bruxelles, par Victor Horta, l’Hôtel

l'entourent et dont elle use. En France, le propos est plus ou moins moraliste et plus rationnel : Eugène Viollet-le-Duc ne rejette pas le matériau moderne (le fer notamment), mais veut au contraire l'afficher en lui donnant une fonction ornementale et esthétique, à la manière des structures gothiques du Moyen Âge. Paradoxalement connu comme le chef de file du mouvement Néo-gothique, Viollet-le-Duc sera l'inspirateur de nombreux architectes de l'Art nouveau. Certaines de ses œuvres, notamment ses fresques

au Collège de FranceÉdouard de Laboulaye, en 1865. Le projet fut confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, l'architecteEugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique du repoussé. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagina un pylône métallique supportant les plaques de cuivre martelées et fixées -Les constructeur :