Du Fantastique Réel Au Réalisme Magique

néoclassicisme mais est influencé par le romantisme naissant. Dans son œuvre, le néoclassique de la ligne (nette) se combine au romantisme de l'inspiration fantastique et légendaire. William Blake est autant poète que peintre et graveur. Il illustre les poèmes qu’il compose. Sa manière de faire se rapproche de celle de Füssli par son aspect fantastique et ses couleurs irréalistes. C’est un peintre dont le souffle visionnaire est influencé par le maniérisme, Michel-Ange et l’art gothique. L’Allemagne

où l'auteur cherche à exciter l'intérêt du lecteur par la peinture des passions, des mœurs, ou par la singularité des aventures. Pour arriver à susciter cet intérêt, l'auteur crée ainsi des personnages qui font de la narration quelque chose de fantastique qui sont à l'origine des diverses passions chez le lecteur. C'est pour cette raison que nombreux écrivains créent de héros parfaits. C'est ainsi que Boileau définit le héros comme le personnage principal que survit aux aventures "Des héros de roman

Commentez ce jugement de Victor Hugo sur le théâtre : "Le théâtre n'est pas le pays du réel: il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des cœurs humains dans la coulisse, des cœurs humains dans la salle." Reproduire le réel ? S’en évader et aller vers l’imaginaire ? Cette alternative est valable pour tous les

sont alors conscient de marquer une rupture en utilisant la langue de tous les jours pour écrire et traitent de sujets quotidiens. Ils s’enthousiasment pour les évènements qui transforment le paysage politique français. * Coleridge : intègre du fantastique, attirance pour l’orientalisme, vision mystique de la complémentarité des contraires et image du poète prophète. * Wordsworth : intègre le thème neuf de l’enfance comme une harmonie perdue, des souvenirs qui deviendront de la nostalgie avec l’âge

sujets, tout se passe comme si l'artiste devait abdiquer ses prérogatives d'interprète, de visionnaire, d'analogiste, pour ne plus être que le rapporteur objectif des mœurs de son siècle. La référence aux Guichets du Louvre, dont Siclier vante le réalisme est significative de ce point de vue. Ne touche-t-on pas là à une certaine littérature des bons sentiments, à laquelle Gide, il y a quelque temps déjà, avait à bon droit tordu le cou ? Il est aussi vain, au nom de je ne sais quel engagement

lettre, il touche un peu à tous les domaines : théâtre, poésie, roman, et même à la politique où il s’oppose à Napoléon III. Il fut exilé à Guernesey où il écrit la majeure partie de son œuvre. Il écrit les Misérables en 1862, siècle dans lequel le réalisme et le romantisme sont au cœur de la société. Dans cet extrait de ce roman, Cosette recueillie par les Thémardien, doit aller chercher de l’eau dans la forêt. La scène est décrite ici comme une épreuve pour elle. Nous avons alors étudié la peur décrite

Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied contre mon coeur ! Analyse Lors de ses fugues, plusieurs mois de vie nomade sur les routes à la fin de l’été et au début de l’automne 1870, Rimbaud

lecteur = utilisation du merveilleux + fantastique. Thèmes : | Procédés d’écriture | * Mal du siècle * Mélancolie * Nature * Amour * Évasion (voyage, rêve, folie) * Mort | * Lyrisme : champ lexical de l’affectivité. * L’expression du Moi : suremploi de la 1re personne du singulier. * Récit autobiographique * Romans historiques * Recours au langage populaire * Règle d’écriture poétique et dramatique modifiées. | RÉALISME : Guy de Maupassant, Émile Zola La situation

étonnant, qui rompt avec le début du récit et suggère une entrée en enfer. Nous pouvons alors nous demander de quelle manière cette scène crée une atmosphère annonciatrice de la suite. Dans un premier temps, nous étudierons en quoi celle-ci est fantastique ; dans un second temps nous nous intéresserons au portrait d’un antiquaire troublant. Texte : (pages 79 à 81 chez GF Flammarion) Tout à coup il crut avoir été appelé par une voix terrible, et tressaillit comme lorsqu’au milieu d’un brûlant cauchemar

conclusion : "The reiterative use of the two images -mirrors and maps- interact in the novel to stretch the narrative beyond mimetic realism to incorporate an element of mystery, a bafflement at the frontiers of knowing." (SL 267) Sans vouloir trop vite taxer de naïveté ou de rigidité idéologique l'éminente critique, on peut s'étonner de l'étroitesse de sa conception du réalisme et de la mimesis jusqu'au moment où l'on comprend que celle-ci est attachée à une période et à une aire d'exercice très restreintes