Drouot

Prader en fit une mise en scène, avec Dominique Rozan, François Chaumette et Alain Pralon. En 1990, on a remarqué la mise en scène d'Andonis Vouyoucas au Gyptis ; en 1991, celle de Pierre Debauche à la Comédie de Saint-Étienne, avec Jean-Claude Drouot, Daniel Benoin et Anne Alvaro. En Angleterre, oncle Vania trouva un interprète remarquable en Laurence Olivier. ____________________________________________________________ _____________________ En novembre 1899, Tchékhov hébergea à Yalta

un homme ? – J’ai vendu un homme ! insista BecqueDanot, toujours gai. – En Afrique ? – Non, pas en Afrique, en France. – En France ! – Parfaitement ! Et même mieux : à Paris ! – À Paris ! – Parfaitement ! Et même mieux : à l’Hôtel des Ventes, rue Drouot. Du coup, nous jugeâmes que l’intrépide marin se gaussait de nous. Le fils naturel de Mgr de Lavigerie se fit l’écho de tous : – Vous vous payez notre poire, capitaine ! Sans s’arrêter à cette apostrophe triviale, Becque-Danlot reprit : 70 – Oui

image de ces vieux républicains, amis incorruptibles de l’Empire, qui restaient comme les vivants débris des deux gouvernements les plus énergiques que le monde ait connus. Si le baron de Piombo déplaisait à quelques courtisans, il avait les Daru, les Drouot, les Carnot pour amis. Aussi, quant au reste des hommes politiques, depuis Waterloo, s’en souciait-il autant que des bouffées de fumée qu’il tirait de son cigare. Bartholoméo di Piombo avait acquis, moyennant la somme assez modique que Madame, mère

logements sociaux se dédensifient. – Les secteurs de logements privés tendent souvent à se densifier. b) Répartition géographique. On a des îlots très denses : essentiellement les quartiers Franklin, Briand, Neppert, Porte du Miroir, Coteaux, ancien Drouot, Brossolette, Nordfeld. Cf. 8.2.C. C) LA POPULATION ÉTRANGÈRE 1) Caractères généraux a) Nombre de nationalités à Mulhouse Une centaine. b) Proportion par rapport à la population totale Au milieu du XIXe siècle, elle représente environ

ces vieux républicains, amis incorruptibles de l’Empire, qui restaient comme les vivants débris des deux gouvernements les plus énergiques que le monde ait connus. Si le baron de Piombo déplaisait à quelques courtisans, il avait les Daru, les Drouot, les Carnot pour amis. Aussi, quant au reste des hommes politiques, depuis Waterloo, s’en souciait-il autant que des bouffées de fumée qu’il tirait de son cigare. Bartholoméo di Piombo avait acquis, moyennant la somme assez modique que Madame

devant Pavie. Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie. » Encore en vie, c’està-dire encore bien en vie. Waterloo : la défaite dans l’honneur En 1815, Napoléon, silencieux, rentre à Paris après la défaite de Waterloo. Son aide de camp Drouot annonce aux courtisans : « Tout est perdu ! » L’empereur, en sursis, rompt alors son mutisme : « Excepté l’honneur ! » © Eyrolles Pratique Sources : Lettre de François Ier à sa mère Louise de Savoie du 24 février 1525. Père Daniel, Histoire de France

va pas éclater de rire. »[5] Lors de la cession de Blot à Leblanc-Barbedienne, il fut indiqué que seuls quinze exemplaires furent vendus et comme l'exemplaire personnel de Blot marquant la limite du tirage portait le n° 16 (cf. vente Blot, Hôtel Drouot, 23 avril 1937), on doit admettre qu'il existe seize épreuves de la fonte Blot. Giganti ou Tête de brigand ou Homme de peine (1885) Parlant de l'envoi de Camille Claudel au Salon des artistes français de 1885, Théodore Véron écrit : «Tête d'homme

de ces vieux républicains, amis in- corruptibles de l’Empire, qui restaient comme les vivants débris des deux gouvernements les plus énergiques que le monde ait connus. Si le baron de Piombo déplaisait à quelques courtisans, il avait les Daru, les Drouot, les Carnot pour amis. Aussi, quant au reste des hommes politiques, depuis Waterloo, s’en souciait-il autant que des bouffées de fumée qu’il tirait de son cigare. Bartholoméo di Piombo avait acquis, moyennant la somme assez mo- dique queMadame, mère

lui portaient un coup au cœur. Il les regardait de coin avec 11 une jalousie exaspérée. Parfois, par les longs après-midis de désœuvrement, il se mettait à les 12 compter. Il se disait : « Voyons, combien j’en trouverai de la Madeleine à la rue Drouot. » Et il allait 13 lentement, inspectant les vêtements, l’œil exercé à distinguer de loin le petit point rouge. Quand il 14 arrivait au bout de sa promenade, il s’étonnait toujours des chiffres : « Huit officiers, et dix-sept 15 chevaliers. Tant

Me Maurice Delestre, commissairepriseur à Paris, assisté de M. Etienne Charavay. Quand Dumas alla faire une visite au nouveau lieutenantgénéral du royaume, celui-ci, déjà renseigné sur l’expédition de 1. M. Gilles était un Soissonnais. 2. L’Hôtel Drouot et la curiosité en 1882, par Paul Eudel. G. Charpentier, 1883, grand in-18. 192 ALEXANDRE DUMAS ET SON ŒUVRE Soissons, vint au-devant du jeune écrivain, lui tendit la main et dit : « Monsieur Dumas, vous venez de faire votre plus beau drame !