Droits de l'enfant

devoir 1 Auteurs : Martine BAILLET-CONVERS – Martine CROQ Sujet CNED Culture générale et expression 3-0186-DV-WT-00-14_DEV-01 1 Sujet Thème : dans le cadre du thème « Les droits de l’enfant », les maisons de redressement  Savoir lire un document de manière approfondie (objectif de compréhension)  Pour cela, savoir identifier les éléments d’un paratexte et savoir les exploiter  Savoir dégager les idées principales d’un extrait et savoir les reformuler  Savoir comparer des documents

Déclaration des droits de l'enfant - 1959 : Sommet Mondial pour l'Enfance, le plus grand rassemblement de ce type jamais organisé dans l'histoire - 1973 : Convention 138 (signés par 174 Etats dont France et Chine) et Recommandation relatives à l'âge minimum d'admission à l'emploi - 1989 : Assemblée des Nations unies adopte, à l'unanimité, la Convention internationale des droits de l'enfant (obligation « les Etats qui la ratifient à en respecter les 54 articles qui traitent du droit de l'enfant à l'éducation

Bibliographie : - Chasse à l'enfant, Jacques Prévert, Paroles, 1946, réédition Poche Gallimard 1972 - Jeunes délinquants entre éducation et punition, Jacques Bourquin, Le Monde diplomatique, juin 2002 - Présentation du téléfilm "Les Vauriens", Emmanuelle Bouchez, Télérama n°2959, 2006 1.Étude des paratextes 1.1. Tout d'abord, parmi les éléments du paratexte qui nous renseignent sur la provenance du texte ou l'auteur, nous avons dans la partie ½ du document, un texte intitulé « Qui est Jacques

qu’il défendait les persécutés. Grace à ces informations, nouspouvons deviner que le texte de Prévert est au sujet de ce fait divers et qu’il soutiendra les pensionnaires, plus particulièrement l’enfant qui n’a pas été retrouvé puisque le titre du poème Chasse àl’enfant est au singulier. Il est écrit « l’enfant » et non pas les enfants. 1.2. Dans les renseignements concernant la provenance ou l’auteur il y a la note « Jacques Bourquin, Le Mondediplomatique, juin 2002 ». Nous savons donc que c’est

…………………………………………………………………………… page 6 REVUE DE LITTÉRATURE ………………………………………………………………………………… page 7 1-) les conditions socioculturelles de l’application de la convention des droits de l’enfant en Afrique…………………………………………………………………………………………………….. Page 7 2-) les conditions socioéconomiques de l’application de la convention des droits de l’enfant en Afrique……………………………………………………………………………………………………. page 9 PROBLEMATIQUE…………………………………………………………………………………………. page 11 HYPOTHESE …………………………………………………………………………………………………

L’enfant simplement conçu. La notion de personne physique est un concept juridique qui nous permet de désigner ce que l’on appelle dans le langage courant la personne humaine ou encore l’individu. Les personnes physiques sont dotées de la personnalité juridique, c'est-à-dire qu’elles ont la qualité de sujet de droit et sont donc aptes à devenir titulaires de droits et d’obligations. Le principe qui détermine l’acquisition de la personnalité juridique et qui fait de la personne physique un sujet

EMC : l’enfant est un mineur qui a des droits et des devoirsI-Comment sont exercées la protection et l’autorité sur un mineur ? Un mineur est une personne qui n’a pas atteint l’âge de la majorité, c'est-à-dire 18 ans.Cette personne est donc soumise à l’autorité parentale. En effet, un enfant est une personne fragile et vulnérable. Le rôle des parents, ou des responsables légaux, est donc de protéger, d’éduquer et d’assurer le développement de l’enfant afin que celui-ci devienne autonome puis majeur

La protection de l'enfant en droit international privé tunisien : l'exemple de la garde (ou Hadhana)LA PROTECTION DE L'ENFANT EN DROIT INTERNATIONAL PRIVÉ TUNISIEN : L'EXEMPLE DE LA GARDE (OU HADHANA) RIDHA BOUKHARI* Institution particulière au droit musulman, la garde (ou hadhana) se compose principalement de deux éléments : la protection de l’enfant (direction et surveillance) et sa première éducation. Le droit musulman établit à propos de la hadhana un ordre de mérite

L’enfant a en principe deux parents, à ces derniers est attribué des droits et des obligations dont l’obligation d’entretien. L’obligation d’entretien nait en même temps que la naissance de tout enfant quelle que soit sa catégorie et fait partie du droit parental. Le droit parental porte sur la situation de tous les enfants, qu’ils s’agissent « d’enfants légitimes », né pendant le mariage, « d’enfants légitimés », né avant le mariage, « naturel », dont les parents ne sont pas mariés, « adultérin

modalités de son droit de visite et d’hébergement. Par une ordonnance du 19 avril 1988, le magistrat met en place une enquête sociale où l’enfant est entendu par l’enquêteur. Par une seconde ordonnance du 8 novembre 1988, il choisit un médecin expert qui a pour objectif d’entendre l’enfant, de déterminer les causes de son refus, de reprendre des relations avec son père et, en cas de « refus sérieux » de dire si l’absence de relations « était ou non conforme à l’intérêt de l’enfant ». Après le rapport