Drapeau de la Nouvelle-Zélande

terribles, sortis de quatre poitrines à la fois, retentirent. Le ballon, qui semblait ne plus devoir se relever, venait de refaire encore un bond inattendu, après avoir été frappé d’un formidable coup de mer. Comme s’il eût été délesté subitement d’une nouvelle partie de son poids, il remonta à une hauteur de quinze cents pieds, et là il rencontra une sorte de remous du vent, qui, au lieu de le porter directement à la côte, lui fit suivre une direction presque parallèle. Enfin, deux minutes plus tard, il

l'actuelle Russie, l'ancienne Yougoslavie. Comme la nation est essentiellement le nom d'un sentiment (sentiment d'appartenir à un ensemble politique), ce sentiment peut être exacerbé : on parle alors de nationalisme. L'amour exacerbé de la patrie et du drapeau devient ainsi nationalisme. Le nationalisme existe dans les partis de droite comme de gauche. A l'extrême-droite, il existe des nationalismes racistes, des nationalismes xénophobes. Ils définissent la nation sur la base de critères ethniques, identitaires

Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume Unie, Slovénie, Slovaquie, Suède. Les symboles en sont :Le drapeau qui se compose de douze étoiles dorées disposées en cercle sur fond bleu ; le cercle formé par les étoiles représente l’union des peuples d’Europe et l’égalité des Etats, Il a été adopté le 8 décembre 1955 par le comité des ministres du conseil de

la civilisation occidentale fait bloc autour de la couleur bleue (c’est du reste cette couleur qui emblématique l’Europe sur son drapeau et dans les cinq anneaux olympiques) et présente en matière de couleur une homogénéité culturelle remarquable. Partout, en effet, non seulement en Europe occidentale et en Amérique du Nord, mais aussi en Australie et en Nouvelle Zélande, c’est le bleu qui est cité en tête. Pour l’Amérique du Sud, l’échelle des réponses obtenues est assez différente de ce que l’on

des institutions Remarques préliminaires. Première partie : Introduction. a) L’histoire nationale. Contrairement à la France, notre système juridique est basé sur la même Constitution depuis 1831. En France, on établit une nouvelle constitution à chaque nouvelle république. La nôtre est réformée progressivement. Elle a été l’objet de deux types de réforme à travers les âges: une réforme démocratique (vers le suffrage universel) et une réforme fédérale (vers un Etat fédéral). La Constitution

songe ici naturellement aux armes de destruction massives (armes nucléaire, chimiques, bactériologiques) et à leur vecteurs (missiles). Ce type d’armement peut être utilisé à grande échelle et menace potentiellement la survie de l’humanité. Cette nouvelle donne confère aux questions stratégiques et plus généralement aux conflits internationaux une importance sans précédent. -enfin, troisième évolution : liée aux deux précédentes : la mondialisation des RI. Le développement des échanges internationaux

InfoCommULB.be I Page 1 Histoire moderne & contemporaine 2011-2012 1. Introduction 1.1. Histoire moderne et contemporaine Ce cours couvre une période très vaste, du 15- 16ième au 21ième siècle Propose de faire découvrir des clés de lectures nouvelles dans un cadre d’ensemble pour intégrer les guerres, etc. Il sera ambitieux mais sélectif. Une question transversale et fédératrice concerne l’histoire des médias, la dimension de voyages, des espaces des voies de communication. Transversal car traverse

Saint-Esprit dans les écoles et tribunaux. 28 décembre Loi d'amnistie sur l'affaire Dreyfus. 1901 22 janvier Mort de la reine Victoria, Edouard VII lui succède. 6 mai Reprise du travail à Montceau-les-Mines après 700 jours de grève. 10 mai Troubles en Nouvelle-Calédonie. 1 juillet Loi sur les associations à but non lucratif. 1902 5 février Réduction à 9 heures de la journée de travail pour les mineurs. 8 mai Éruption de la Montagne Pelée en Martinique (28 000†). 11 mai Victoire du Bloc des gauches

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exercé par les gouvernants n’est pas le leur mais celui de l’Etat. On en est venu à regarder cette institution comme une nouvelle personnes juridique, un « être de droit » disait Carré de Malberg, distincte de celle des gouvernants. Il fallait que le pouvoir se « dépersonnalise » en s’institutionnalisant pour que l’institution étatique accède à la personnalité juridique. Cette nouvelle personne juridique qu’est l’Etat est « fictive » en ce sens qu’elle n’a pas d’existence physique mais c’est le propre